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Trésors alimentaires des Andes ; botanique, histoire, économie, nutrition, usages médicaux et culinaires

Couverture du livre « Trésors alimentaires des Andes ; botanique, histoire, économie, nutrition, usages médicaux et culinaires » de Gerard Guillaume et Agnes Doney aux éditions Desiris
  • Date de parution :
  • Editeur : Desiris
  • EAN : 9782364031715
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

En Amérique du Sud, les Andes ont toujours été un berceau pour les cultures vivrières. Cette zone géographique a vu naître la pomme de terre, l'arachide et la tomate. Des cultures moins connues, comme le quinoa, la canihua, la kiwicha, la maca, ont été domestiquées par les anciens agriculteurs... Voir plus

En Amérique du Sud, les Andes ont toujours été un berceau pour les cultures vivrières. Cette zone géographique a vu naître la pomme de terre, l'arachide et la tomate. Des cultures moins connues, comme le quinoa, la canihua, la kiwicha, la maca, ont été domestiquées par les anciens agriculteurs andins.

Ces cultures ont une longue histoire, utilisées en toute sécurité par les populations locales dont elles ont assuré la nutrition et le bien-être pendant des siècles, et sont appelées à se développer sur tous les continents.

Toute la richesse de ces graines et de ces tubercules vient d'abord de leur valeur nutritionnelle, et plus particulièrement de leur teneur en protéines. On se rapproche de la qualité des protéines apportées par la viande et le lait - idéal pour les végétariens et végétaliens - et l'absence de gluten fait que ces pseudo-céréales conviennent parfaitement en cas d'intolérance au gluten et de maladie coeliaque. Elles sont également sources de composés bioactifs tels que les polyphénols, de fibres alimentaires et de sels minéraux.

Ces cultures, longtemps négligées, ont été « redécouvertes » et bénéficient aujourd'hui d'un regain d'intérêt qui n'est pas sans danger : leur statut a évolué mais l'attention portée par l'industrie agroalimentaire, l'engouement pour le « bio », la nutraceutique, la cosmétique... les confrontent à un véritable « piratage biologique ».

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