Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Pour mourir, le monde

Couverture du livre « Pour mourir, le monde » de Yan Lespoux aux éditions Agullo
  • Date de parution :
  • Editeur : Agullo
  • EAN : 9782382460924
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Un roman d'aventure magnétique et foisonnant. À la suite de ses personnages ballotés par l'Histoire et les éléments dans des décors grandioses, Yan Lespoux nous entraîne à la recherche de la lumière dans le tumulte du monde.
Quand les empires sombrent, quand les sociétés se délitent, des... Voir plus

Un roman d'aventure magnétique et foisonnant. À la suite de ses personnages ballotés par l'Histoire et les éléments dans des décors grandioses, Yan Lespoux nous entraîne à la recherche de la lumière dans le tumulte du monde.
Quand les empires sombrent, quand les sociétés se délitent, des brèches se créent qui permettent de s'immiscer dans les interstices de l'Histoire.
1627, sur la route des Indes, dans la fureur d'une ville assiégée, dans le dédale des marais et des dunes battues par le vent, l'aventure est en marche et trois héros ordinaires verront leur destins réunis par une tempête dantesque...
Il y a Marie sur la côte landaise. Pour échapper aux autorités qui la recherchent, elle s'est réfugiée dans une communauté de pilleurs d'épaves sous la coupe d'un homme brutal. La jeune fille à peine sortie de l'adolescence refuse pourtant de baisser la tête.
Au Brésil, il y a Diogo, orphelin engagé dans la guérilla portugaise qui tente de reprendre Salvador de Bahia aux Hollandais.
Et à Goa, il y a Fernando, engagé de force dans l'armée portugaise, qui met tout en oeuvre pour échapper à sa condition.

Donner votre avis

Articles (3)

Avis (17)

  • Pour mourir, le monde est un fabuleux roman d’aventures se déroulant au XVIIe siècle qui embarque le lecteur de la route des Indes aux rivages atlantiques.
    En épigraphe, Yan Lespoux a choisi un extrait de Antonio Vieira dont il s’est inspiré pour le titre de son roman : « Un lopin de terre pour...
    Voir plus

    Pour mourir, le monde est un fabuleux roman d’aventures se déroulant au XVIIe siècle qui embarque le lecteur de la route des Indes aux rivages atlantiques.
    En épigraphe, Yan Lespoux a choisi un extrait de Antonio Vieira dont il s’est inspiré pour le titre de son roman : « Un lopin de terre pour naître ; la Terre entière pour mourir. Pour naître le Portugal ; pour mourir, le Monde. »
    Au mois de janvier 1627, sur la côte du Médoc, au cours d’une tempête effroyable, la caraque São Bartolomeu de la flotte portugaise revenant des Indes vient de s’échouer sur un banc de sable. Dans une mer glacée, Fernando Teixeira se débat pour échapper à la noyade, quand, une vague plus grosse et plus puissante que les autres le soulève et le propulse sur le rivage. Le voilà sauvé des eaux, il doit alors marcher pour se réchauffer et peut-être trouver du secours, mais il comprend vite qu’il vaut mieux se cacher s’il veut rester en vie et échapper aux costejaires, ces pilleurs d’épaves, misérables gens, tributaires de conditions hostiles, attirés par le butin que convoyait le navire et qui tendent à imposer à tous leurs propres lois. Une jeune femme, « une fille crasseuse, membre d’une tribu de sauvages vêtus de peaux de bêtes » lui fait alors signe de la rejoindre… Elle se prénomme Marie.
    C’est ainsi dans cette tourmente que débute le roman.
    Retour en arrière .
    Fernando a du à son corps défendant devenir soldat, l’armée portugaise souffrant d’un manque d’hommes pour renforcer les garnisons de Goa et de divers comptoirs de la côte occidentale de l’Inde. « Toujours au mauvais endroit au mauvais moment depuis qu’il avait vu le jour », il a donc du quitter Lisbonne et embarquer pour les Indes.
    Marie, quant à elle, vit dans le Médoc. Elle doit quitter la maison de ses parents et va bientôt devoir se réfugier chez son parrain qui dirige un camp de résiniers avec brutalité. Fière et rebelle, elle tente de faire sa place.
    Et puis, il y a Diogo Silva, ce jeune brésilien de São Salvador de Bahia dont les parents ont été tués lors d’une attaque hollandaise. Recueilli par les Jésuites qui œuvraient à la conversion et à l’éducation des Indiens Tupinambas, il va bientôt devoir résister aux hollandais avant d’être amené à embarquer sur le São Joao sur l’ordre du commandant en chef de la flotte portugaise, dom Manuel de Meneses.
    Ce sont trois personnages très attachants que nous allons suivre, trois jeunes gens, pauvres, mais décidés à prendre leur destin en main, Marie, Fernando et Diego, ces trois héros ordinaires dont les destins finiront par se rejoindre lors d’une tempête dantesque.
    Inspiré par des faits réels, et notamment des récits d’un naufrage sur la côte du Médoc en 1627 lors d’une tempête épouvantable et à partir donc, d’une solide documentation historique et bibliographique, Yan Lespoux nous offre avec ce premier roman un formidable bouquin où se mêlent avec brio réalité et fiction.
    Se déroulant entre 1623 et 1627, ce récit d’aventures maritimes nous embarque sur la Route des Indes jusqu’au littoral atlantique, nous faisant aborder de multiples rivages et découvrir tout un pan du monde tant du point de vue géographique qu’historique : le Médoc, le canal du Mozambique, Goa, São Salvador de Bahia, Bijapur, Lisbonne, Cap-Vert, Cascais, La Corogne pour finalement s’échouer sur ces côtes landaises.
    C’est avec grand intérêt que j’ai suivi les pérégrinations de ces jeunes gens auxquels je me suis très vite attachée.
    Le fond historique est passionnant et Yan Lespoux a su rendre avec réalisme et parfois crudité les scènes de batailles navales montrant bien la fierté et la détermination des commandants prêts à tout pour conquérir ou reprendre ces terres lointaines, tout comme l’âpre et souvent cruelle énergie déployée par cette communauté marginale vivant sur les côtes du Médoc.
    J’ai d’ailleurs été médusée par la puissance des moyens autant humains que technologiques déployés dans cette conquête par L’Espagne et le Portugal.
    L’auteur excelle également à nous faire ressentir au propre comme au figuré, les conditions de vie extrêmement difficiles auxquelles sont confrontées les marins.
    J’ai apprécié l’épaisseur que Yan Lespoux a donné à des personnages secondaires tels que Simão, tourné entièrement vers l’aventure, qui part avec Fernando ou Ignacio, ce grand Indien Tupinamba, ami de Diogo, toujours avec son arc en bandoulière et sa massue à la main.
    Quant à Marie, difficile de ne pas être admirative devant sa force de caractère, son ingéniosité, sa perspicacité et son courage. Une féministe avant l’heure !
    Pour mourir, le monde est un roman historique richissime et un roman d’aventures haletant conduit avec maîtrise mais auquel j’ai trouvé cependant quelques longueurs.
    À noter sa très belle couverture en parfaite adéquation avec le roman.

    Chronique illustrée à retrouver ici : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/2024/05/yan-lespoux-pour-mourir-le-monde.html

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)
  • Ce roman historique est aussi un thriller et Yan Lespoux reconstitue les faits grâce à de longues descriptions et il nous fait voyager du Portugal au Brésil. C'est une aventure épique dans laquelle on découvres une multitude de personnages dont le trio qu'on suivra essentiellement par un destin...
    Voir plus

    Ce roman historique est aussi un thriller et Yan Lespoux reconstitue les faits grâce à de longues descriptions et il nous fait voyager du Portugal au Brésil. C'est une aventure épique dans laquelle on découvres une multitude de personnages dont le trio qu'on suivra essentiellement par un destin qui s'entremêle.
    La plume nous embarque et nous tient en haleine avec différents arcs narratives. Des batailles, des rebondissements, de l'actions, on fera aussi des va et viens sur plusieurs temporalités.

    "Un mois encore et ils rejoignaient l'Inde. Fernando sentit Goa bien avant de la voir. Il prenait son quart de garde sur le pont. Les voiles blanches tendues se confondaient avec un ciel que les nuages passant devant la lune rendaient laiteux. C'était une de ces nuits grises où le vent porte la promesse d'une pluie qui se fait attendre, où la houle écume sans se faire trop violente. En émergeant de l'écoutille, Fernando pris sa respiration pour se gorger du vent salé. Mais c'est une odeur, mélange de terre chaude détrempée par l'averse et d'humus, qui l'assaillit. Le sel était là, mais il se mêlait à une senteur de sous-bois. "

    "Elle pensa à Vincente de Brito dont elle allait trahir la confiance. Et elle pensa à elle. Nul ne saurait plus lui dire que faire après cela. En volant ces joyaux, elle affirmait sa rupture avec un monde qu'elle méprisait autant qu'il la dédaignait. Tous ceux qui, depuis des années, avaient fait d'elle cette élégante mais négligeable poupée au service de gens qui auraient dû être ses pairs si le destin n'avait pas fait obstacle au chemin qui lui était tracé, sauraient dès lors qu'elle était autre chose. Et que cette autre chose était plus dangereuse qu'ils ne le pensaient et bien plus libre qu’ils ne l’étaient eux-mêmes, pièces d'échec dont les déplacements étaient limités par des règles immuables, arbitraires et stupides. Ils l'avaient dégradée. Ils en avaient fait un pion. Elle était en fait une reine."

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)
  • Le roman, Yan Lespoux étant historien, repose sur des faits avérés comme la prise de San Salvador de Bahia aux Hollandais ou la perte spectaculaire de navires portugais dans le golfe de Gascogne. Plus remarquable que la documentation est encore la parfaite immersion dans le XVIIème siècle. Aucun...
    Voir plus

    Le roman, Yan Lespoux étant historien, repose sur des faits avérés comme la prise de San Salvador de Bahia aux Hollandais ou la perte spectaculaire de navires portugais dans le golfe de Gascogne. Plus remarquable que la documentation est encore la parfaite immersion dans le XVIIème siècle. Aucun détail ne semble anachronique, les paroles, les comportements, et les manières de penser de chaque personnage sonnent tout à fait juste.
    Les protagonistes sont nombreux, beaucoup plus que les trois que j'ai cités, et il est assez amusant de remarquer que les vrais « sauvages » de ce roman sont les habitants de la côte du Médoc, pilleurs d'épaves qui n'hésitent pas à tuer pour quelques possessions des naufragés. Par comparaison, Ignacio le Tupinamba paraît beaucoup plus civilisé. Il semble que ce siècle se montre plus favorable aux voleurs, aux menteurs, aux fripouilles qu'aux honnêtes gens, ou à ceux qui comptent essentiellement sur la chance. Seule la peur de la justice divine, et de l'Inquisition, maintient un semblant d'ordre.
    En dépit de quelques descriptions un peu répétitives des lacs, dunes et forêts landaises, le style est plaisant à lire, solide mais sans effets inutiles. J'ai beaucoup aimé le réalisme des traversées à bord des caraques, ces gros navires marchands aussi trapus que patauds lorsque la mer est forte. Les marins, marchands et soldats à bord de la flotte menée par dom Manuel de Meneses de retour vers Lisbonne, en feront les frais.
    Nul besoin d'avoir le pied marin pour aimer ce roman historique prenant dont le très beau titre est emprunté au poète Antonio Vieira :
    « Un lopin de terre pour naitre ; la Terre entière pour mourir.
    Pour naitre, le Portugal ; pour mourir, le monde. »

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)
  • Depuis quelques temps, j’avais une envie d’aventure. Dans mon exploration de la rentrée littéraire sur la blogosphère, j’avais repéré ce roman qui s’annonçait comme une belle expédition. Tout était donc réuni pour me satisfaire.

    « Pour mourir, le monde » nous présente trois arcs narratifs se...
    Voir plus

    Depuis quelques temps, j’avais une envie d’aventure. Dans mon exploration de la rentrée littéraire sur la blogosphère, j’avais repéré ce roman qui s’annonçait comme une belle expédition. Tout était donc réuni pour me satisfaire.

    « Pour mourir, le monde » nous présente trois arcs narratifs se déroulant entre le Portugal, les Indes et le Brésil au 17ème siècle. On suit de jeunes personnages qui ont décidés d’échapper au destin qu’on leur assigné. A travers leur histoires, Yan Lespoux nous fait vivre de grands moments de navigation, de batailles sur mer et de naufrages.

    Mais le contexte historique prend le pas sur les acteurs, pour lesquels je n’ai pas eu d’empathie. Les scènes de bateau se succèdent et j’ai eu l’impression que le récit tournait en rond et n’avançait pas vraiment. Il n’y a que dans le dernier quart du livre que le roman prend tout son intérêt. Dans cette dernière partie, tous les personnages sont réunis et l’aventure peut commencer.

    Yan Lespoux a un grand talent pour la langue qu’il utilise à merveille pour faire de magnifiques et longues descriptions des décors et de l’atmosphère. Certains passages de son texte sont des modèles d’immersion qui plonge le lecteur dans l’ambiance. Seulement, la mise en place des protagonistes est un peu trop longue pour moi. Au bout de 300 pages, la lassitude m’a gagné et il m’a manqué un certain nombre de péripéties pour ne pas m’ennuyer.

    Peut-être n’étais-je pas en bonne condition pour lire ce livre, peut-être ne suis-je pas le bon client pour ce type de roman, peut-être m’attendais-je à autre chose, mais malheureusement, je n’ai pas pris le plaisir escompté par cette lecture. Ce n’est bien sûr que mon simple ressenti personnel et je vous laisse vous faire votre propre avis, en sachant que la plupart des lecteurs ont adoré l’expérience.

    https://leslivresdek79.wordpress.com/2023/12/27/901-yan-lespoux-pour-mourir-le-monde/

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)
  • « Pour mourir, le Monde » de Yan Lespoux est un beau roman d’aventure.
    Ce premier roman est foisonnant de tempêtes, naufrages, voyages, personnages.
    Au XVIIe siècle, de la côte landaise au Brésil en passant par l’Inde, on suit les aventures de Marie, Diogo et Fernando, trois héros ordinaires...
    Voir plus

    « Pour mourir, le Monde » de Yan Lespoux est un beau roman d’aventure.
    Ce premier roman est foisonnant de tempêtes, naufrages, voyages, personnages.
    Au XVIIe siècle, de la côte landaise au Brésil en passant par l’Inde, on suit les aventures de Marie, Diogo et Fernando, trois héros ordinaires pris dans la grande Histoire du Monde.

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)
  • Un roman d'aventures comme on les aime ! Très bien écrit, s'appuie sur les faits historique, rassemble des personnages qui ne sont ni bons ni méchants et chacun a son histoire, bref, j'ai vraiment beaucoup aimé, et je le conseille à tous les amis depuis cet été.

    Un roman d'aventures comme on les aime ! Très bien écrit, s'appuie sur les faits historique, rassemble des personnages qui ne sont ni bons ni méchants et chacun a son histoire, bref, j'ai vraiment beaucoup aimé, et je le conseille à tous les amis depuis cet été.

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)
  • Vous aimez les romans d'aventure? Le premier roman de Yan Lespoux est fait pour vous!

    Ici, nous suivons la destinée de trois héros : Fernando au Brésil, Diogo en Inde et Marie dans le Médoc ( bien sûr!). En les suivant, vous entrerez dans un monde fait de voyage, de batailles, de naufrages,...
    Voir plus

    Vous aimez les romans d'aventure? Le premier roman de Yan Lespoux est fait pour vous!

    Ici, nous suivons la destinée de trois héros : Fernando au Brésil, Diogo en Inde et Marie dans le Médoc ( bien sûr!). En les suivant, vous entrerez dans un monde fait de voyage, de batailles, de naufrages, de trahison et de lutte pour sa survie, mais aussi de violence et d'humanité.

    La destinée de ces trois personnages au caractère fort et au courage sans faille, qui luttent pour leur vie dans une époque dure et impitoyable, se rejoint au final et offre au lecteur un beau roman d'aventure.

    Le travail documentaire et impressionnant et la plume de Yan Lespoux belle et fluide, pour décrire un univers complexe, qui m'était jusqu'alors inconnu, peuplé d'évasion et d'exotisme.

    Malgré quelques longueurs, j'ai aimé suivre la trajectoire de ces héros ordinaires, au destin extraordinaire, à travers les mers et les continents, mais aussi à travers l'Histoire du Portugal et des grandes explorations maritimes.

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)
  • "Pour mourir, le monde" est le premier roman de l’historien  Yan  Lespoux. Les magnifiques illustrations proposées par les éditions Agullo  (première et quatrième de couverture représentant une nef portugaise et  jaquette figurant une carte détaillée du comptoir Goa à la fin du seizième siècle)...
    Voir plus

    "Pour mourir, le monde" est le premier roman de l’historien  Yan  Lespoux. Les magnifiques illustrations proposées par les éditions Agullo  (première et quatrième de couverture représentant une nef portugaise et  jaquette figurant une carte détaillée du comptoir Goa à la fin du seizième siècle) donnent envie de feuilleter ce livre. La citation mise en exergue, extraite d'un poème à la gloire des hardis navigateurs lusitaniens, fait rêver le lecteur et l'éclaire sur le titre énigmatique de l'ouvrage.
    L’auteur nous propose une étonnante fiction basée sur le naufrage de l'Armada portugaise des Indes dans le golfe de Gascogne en janvier 1627.
    Il met en scène trois personnages du peuple : Marie, fille indomptable d'un fermier landais, Fernando jeune soldat embarqué pour les Indes et Diogo adolescent devenu orphelin lors de la prise de Bahia (Brésil) par les Hollandais. Petits pions de l’Histoire qui les dépasse, ils aspirent à un avenir meilleur et tentent de survivre par tous les moyens. Une exceptionnelle tempête hivernale dans l'Atlantique va provoquer la rencontre de leurs destins.
    C'est un grand roman d'aventures, plein de tempêtes, de batailles navales et de naufrages. L'auteur excelle dans les descriptions des navires (caraques,  galions,  caravelles), de l’éprouvante vie à bord (promiscuité,  mal de mer, famine, peur) et de la beauté des paysages marins et terrestres (en particulier les dunes,  forêts, marais et lacs landais).
    L'intrigue devient de plus en plus haletante au fil des pages jusqu'à un surprenant dénouement.
    Bref, c'est un roman palpitant de bout en bout, fort bien documenté et écrit dans un style enlevé.
    Je remercie Lecteurs.com et Orange pour cette belle découverte.

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)

Donnez votre avis sur ce livre

Pour donner votre avis vous devez vous identifier, ou vous inscrire si vous n'avez pas encore de compte.