Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
Affaibli par le poids des années, FitzChevalerie cherche un moyen de secourir la dernière personne qui semble avoir encore besoin de lui en ce monde.Malgré l'envie du Fou d'aider son vieil ami à poursuivre les ravisseurs d'Abeille, son état de santé lui interdit tout nouveau danger. Et aujourd'hui connu de tous à la cour, le noble lignage de Fitz ne lui permet plus la liberté dont il jouissait autrefois. En dépit de ces difficultés, il lui faudra se conformer aux ordres du roi ou subir les conséquences de ses actes pour mener à bien sa mission, qui sera peut-être la dernière...Partagé entre tristesse, haine et faiblesse, Fitz doit à nouveau emprunter les piliers d'Art et rattraper coûte que coûte Dwalia et ses sbires. Aura-t-il la force de recouvrer ses anciens talents d'assassin, d'accomplir sa quête, pour son vieil ami et sa fille ?
Ah, elle a l’art de délayer Robin Hobb !
450 pages et il ne se passe pas grand-chose.
Dans le tome précédent, on avait quitté Abeille qui venait de se faire enlever.
A la fin de celui-ci, rien de bien nouveau, on n sait toujours pas ce qu’elle est devenue.
Avoir attendu tout ce temps pour ça. Combien de tomes encore avant de le savoir ?
Heureusement qu’elle nous a rendu Fitz tellement attachant, même à l’aube de la vieillesse, sinon je crois que je ne terminerais pas la série. Bon, je le ferai quand même, je voudrais bien savoir où est passée Abeille
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