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L'art pompier ; les feux de l'académisme

Couverture du livre « L'art pompier ; les feux de l'académisme » de Guillaume Morel aux éditions Place Des Victoires
Résumé:

L'art académique (fin XIXe), dit "Art Pompier", est de retour en grâce, notamment du fait de l'appropriation de son esthétique par Hollywood.
L'Académie des Beaux-Arts de France a vu le jour sous le règne de Louis XIV. Le temps passe, mais les formations restent: les élèves apprennent à rendre... Voir plus

L'art académique (fin XIXe), dit "Art Pompier", est de retour en grâce, notamment du fait de l'appropriation de son esthétique par Hollywood.
L'Académie des Beaux-Arts de France a vu le jour sous le règne de Louis XIV. Le temps passe, mais les formations restent: les élèves apprennent à rendre les formes par la pratique du dessin d'après nature ou d'après l'antique, d'où les nombreux voyages des élèves à Rome.
A la fin du XIXe, l'art académique, art officiel, se voit critiqué par les nombreuses écoles qui voient le jour. Sous le second empire, il reçoit ironiquement le surnom d'art pompier par les avant-gardistes de l'époque, en référence aux casques brillants des glorieux soldats peints qui rappellent les casques de pompier; le terme dénonce également le "pompeux" des scènes représentées.
En ce temps, les Académistes illustrent l'idéal classique avec une précision quasi photographique étonnante. Ils privilégient des scènes historiques et orientalistes, monumentales, où les nus sont très courants, comme la magnifique
Naissance de Vénus d'Alexandre Cabanel.
Vous retrouverez dans cet ouvrage les oeuvres des plus grands académistes de la seconde moitié du XIXe, comme l'ont été Alexandre Cabanel, Ernest Meissonier, William Bouguereau et Jean-Léon Gérôme.

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