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La vie de Benvenuto Cellini écrite par lui-même (1500-1571)

Couverture du livre « La vie de Benvenuto Cellini écrite par lui-même (1500-1571) » de Benvenuto Cellini aux éditions Klincksieck
Résumé:

VOICI UNE DES AUTOBIOGRAPHIES les plus célèbres de la Renaissance. Benvenuto Cellini eut une destinée fabuleuse : orfèvre et sculpteur de la Renaissance, sa renommée dépasse les frontières de l'Italie. Il cisèle, martèle, fond l'or et l'argent des grands de ce monde. Au-delà des faveurs des... Voir plus

VOICI UNE DES AUTOBIOGRAPHIES les plus célèbres de la Renaissance. Benvenuto Cellini eut une destinée fabuleuse : orfèvre et sculpteur de la Renaissance, sa renommée dépasse les frontières de l'Italie. Il cisèle, martèle, fond l'or et l'argent des grands de ce monde. Au-delà des faveurs des princes, des rivalités et cabales des cours, il reste un homme libre, choisissant ses « patrons ».
Mais c'est surtout ses Mémoires, publiées en 1728, qui le rendront célèbre. A peine publiée, cette Vita, dictée à la fin de sa vie, est devenue un classique : traduite par Goethe, elle inspira Berlioz, Lamartine et bien d'autres... Ce récit d'aventures d'un personnage qui se décrit hâbleur, impulsif, violent, jouisseur et sans scrupules se lit comme un roman de cape et d'épée où le héros poursuivi pour assassinat, emprisonné par le pape, accusé de vol et de sodomie, côtoie un certain MichelAnge et un roi nommé François Ier. On lit cette Vita pour le seul plaisir, emporté par le mouvement endiablé, une intrigue toute en rebondissements et en surprises, le déroulement sur fond d'histoire d'une carrière au contact des grands de ce monde qui interviennent en personne. Cellini a dû être un bavard intarissable ; même reconstitués de mémoire, ses discussions excitées et ses harangues menaçantes gardent une force incisive, parfois relevée de mots malsonnants, que la traduction s'est fait un devoir de préserver. Ses compagnons devaient beaucoup s'amuser ; l'insolence est toujours risible et les Florentins y étaient passés maîtres.

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