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La mort d'un clochard

Couverture du livre « La mort d'un clochard » de Michel Fournis aux éditions Societe Des Ecrivains
Résumé:

Etudes secondaires classiques où seules la littérature et l'Histoire avec le Latin valaient la peine.
Début de Vie active : embarqué marine nationale et marine marchande.
Vie sociale : agent commercial, vrp, vente produits High Tech ( vidéo, hifi) Une autre vie : agent territorial chargé de... Voir plus

Etudes secondaires classiques où seules la littérature et l'Histoire avec le Latin valaient la peine.
Début de Vie active : embarqué marine nationale et marine marchande.
Vie sociale : agent commercial, vrp, vente produits High Tech ( vidéo, hifi) Une autre vie : agent territorial chargé de l'accueil des personnes marginalisées en Centre de Nuit.
Retraité le jour et « Ecrivain public » la nuit.... parfois.
Aujourd'hui retraité, l'auteur à une certaine période de sa vie professionnelle, a travaillé dans un centre d'accueil de nuit, où venaient frapper à la porte toutes les misères d'une grande ville, qui, se nourrissant des pauvres, tentait de les parquer, de les cacher... de les ignorer pour mieux s'en préserver.
Un jour, la misère disparaît. Devant ce constat inhabituel, une jeune étudiante en ethnographie et son directeur de stage, professeur d'université, décident de faire des recherches sur ce phénomène actuel, et partant, de remonter le temps afin de savoir ce qu'était « la pauvreté », sous l'ancien régime, pendant la Révolution et l'essor industriel du 19è siècle.
Quand on parle d'un « Pauvre », de qui parle-t-on?
S'appuyant sur des documents traitant de ce sujet, l'auteur permet de suivre à la trace, depuis le Moyen-Age jusqu'à nos jours, la longue marche des pauvres gens.
Un Asile de Nuit, tente d'aider avec ses moyens, non la réinsertion ni la réadaptation sociale, mais l'accueil simple de celui qui a faim et celui qui a froid. Point de départ de la quête de ces deux universitaires, l'asile de nuit reste le seul phare allumé dans la ville « des lumières » et apporte un regard nouveau sur le « pauvre », qui n'est pas un mendiant, mais un travailleur privé d'emploi, donc de subsistance.
Retrouver l'histoire des pauvres hères, c'est remonter le temps et par là même retrouver notre propre histoire, à chacun d'entre nous.

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