Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
Il y a la voix de Georges, « charpentier municipal », employé à la vérification de la conformité du stade ; les voix de Suzanne, sa femme ; d' Ariane, de Thomas, d'Antoine ; et, plus haute, plus tenace, plus incantatoire, la voix de Sylvain, le « fils de perdition », l'enfant « né le souffle coupé », qui parle « comme un dieu mais marche de travers ». C'est la Genèse et c'est l'Apocalypse, le Jardin, les Abîmes, la Parole, le fratricide et les tribulations des commencements du monde. La Bible aujourd'hui, à Genève, par un des écrivains les plus originaux de la nouvelle génération.
Marianne Alphant, Libération Voilà un roman terrible, incantatoire, halluciné. C'est le long cri de révolte d'un enfant écrasé, sorte de Job sacrifié par un monde totalitaire. Or son pays c'est la Suisse, transformée soudain en terrain vague apocalyptique, en bunker où la Genèse est mise à mort. Toutes nos angoisses sont concentrées dans ces pages, portées par un chant magnifique et noir.
Patrick Grainville, Le Figaro
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