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Dylan cover

Couverture du livre « Dylan cover » de Stan Cuesta aux éditions Le Layeur
  • Date de parution :
  • Editeur : Le Layeur
  • EAN : 9782915126334
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Alors qu'il vient de recevoir le Prix Nobel de littérature - au grand dam de certains, ce qui prouve qu'il choque toujours autant qu'à ses débuts, il y a 55 ans ! - Bob Dylan poursuit la construction d'une oeuvre fleuve et passionnante, sur scène et sur disques. Une oeuvre dans laquelle on se... Voir plus

Alors qu'il vient de recevoir le Prix Nobel de littérature - au grand dam de certains, ce qui prouve qu'il choque toujours autant qu'à ses débuts, il y a 55 ans ! - Bob Dylan poursuit la construction d'une oeuvre fleuve et passionnante, sur scène et sur disques. Une oeuvre dans laquelle on se perd avec délices, tellement riche qu'on ne sait parfois pas comment l'aborder, un véritable univers.
Ce livre permet de faire le point sur sa discographie, forte de près de 80 albums : les disques officiels en studio, en concert, les coffrets inédits qui explorent son passé et qui sortent à un rythme effréné, les albums pirates emblématiques (le genre est quasiment né à la fin des sixties avec Great White Wonder, un disque consacré aux séances inédites de Dylan).
Car le grand paradoxe de cet artiste immensément productif, c'est que Dylan n'aime pas enregistrer des disques ! Il n'aime pas les studios, ni les producteurs. Il n'aime pas répéter. Ni se répéter. Il chante ses chansons, le groupe, s'il y en a un, essaie de suivre, et il s'en va. Après, la chanson continue à vivre en concert, elle est sans cesse modifiée. Et nous, nous restons scotchés aux versions des disques et nous somme souvent déçus par les concerts. Dylan s'en fout. Il n'écoute pas ses disques. Nous si.
Certains d'entre eux ont été sous-estimés, injustement oubliés ou méprisés, d'autres surestimés, il faut le dire aussi, avec une subjectivité, voire une mauvaise foi, revendiquée ! Ici pas de pompage d'éternels poncifs répétés depuis la nuit des temps ou recopiés sur internet. Stan Cuesta écoute Dylan et écrit sur lui, depuis... des lustres. Il l'aime et le déteste suivant les périodes, comme tout le monde. Et il le dit. Argumente. Ici pas de tiédeur « wikipédiesque ». Du coeur et de la passion. De l'amour.

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