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Bruxelles, 22 mars 2016, journal de deux victimes ; vivre après les attentats

Couverture du livre « Bruxelles, 22 mars 2016, journal de deux victimes ; vivre après les attentats » de Thomas D'Ansembourg et Laurence Van Ruymbeke aux éditions Luc Pire
  • Date de parution :
  • Editeur : Luc Pire
  • EAN : 9782507055103
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Partie 1 : Journal de deux victimes Résumé Le 22 mars 2016, Tanguy et Sandrine étaient au mauvais endroit au mauvais moment. Le premier, dès 7 heures 30, à l'aéroport de Bruxelles-National ; la seconde, dans le métro qui roulait vers la station de Maelbeek aux alentours de 9 heures. Tous deux... Voir plus

Partie 1 : Journal de deux victimes Résumé Le 22 mars 2016, Tanguy et Sandrine étaient au mauvais endroit au mauvais moment. Le premier, dès 7 heures 30, à l'aéroport de Bruxelles-National ; la seconde, dans le métro qui roulait vers la station de Maelbeek aux alentours de 9 heures. Tous deux blessés dans les attentats qui, à Bruxelles, ont tué 32 personnes et en ont atteint des centaines d'autres, ils ont tout mis en oeuvre pour se reconstruire. Après avoir guéri de leurs blessures visibles, ils se sont attaqués aux autres, si difficiles à panser. Depuis lors, leur parcours, sur les plans médical, administratif, judiciaire, professionnel, familial et social, est semé, sinon d'embûches, au moins de questions. À travers leurs histoires croisées, racontées durant un an dans ce touchant journal de bord, le lecteur prend toute la mesure de l'impréparation d'un pays à l'horreur dont il se croyait à l'abri. Et de la force qu'il faut pour se relever. Partie 2 - Vivre après les attentats Résumé Qu'avons nous appris de ces tragédies ? Plus de méfiance, de rejet et de mesures de sécurité ou plus de conscience, de responsabilité et de mesures de solidarité ? Avons-nous accepté la remise en question courageuse - tant personnelle que collective - des systèmes de pensée qui créent une société capable de générer un tel torrent de haine ? La connaissance de soi est un enjeu de santé publique, si ce n'est pas de sécurité publique. On ne parle plus de développement « personnel » mais de développement social durable. Nous n'éviterons pas les conflits, ni la colère et la peur qui les génèrent. Il s'agit aujourd'hui de faire les apprentissages nécessaires pour vivre et transformer ces situations en rencontres si pas fécondes du moins respectueuses. Car la paix, ça s'apprend !

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