Que lire en ce moment ? Voici ce que des lecteurs et lectrices passionnés vous conseillent !
Simon, l'aveugle, «sent» et scrute la vie de Bologne la nuit, reconstituant sa propre géographie du monde à travers les scanners sur lesquels il est branché : taxis de nuit, voitures de police, CB de routiers, téléphones portables. Il reconnaît les voix, attribue à chacune une personnalité, une couleur : une voix douce et chaude sera bleue, une voix âcre et rude rouge, etc. Grazia, une jeune inspectrice, enquête sur des crimes en série qui sèment la panique à Bologne. L'assassin opère dans le milieu étudiant. Il est insaisissable : il tue ses victimes chez elles, les laisse entièrement nues et horriblement mutilées. Mais l'ordinateur révèle que chaque nouvelle victime dont la mort remonte à plusieurs mois ou à plusieurs années est en fait «la même» que la précédente. La jeune femme comprend que l'assassin est un loup-garou, un «iguane» qui chaque fois prend la peau de sa dernière victime... En dépit de ses transformations, une seule personne dans la ville est capable d'identifier l'iguane à la voix verte : Simon l'aveugle...
Quand Simon n'écoute pas du jazz, il scanne les fréquences radios de la police, des taxis ou des portables. Il sait tout de ce qui se passe à Bologne la nuit. Pour lui qui est aveugle, les voix ont chacune leur couleur et leur personnalité. Alors lorsque l'Iguane sévit et commet ses meurtres, seul Simon peut l'identifier à sa voix verte.
Voilà un formidable thriller atypique dont le récit choral alterne entre Simon, l'Iguane et l'inspecteur Grazia Negro sur fond de jazz. A déguster en écoutant du Chet Baker...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Que lire en ce moment ? Voici ce que des lecteurs et lectrices passionnés vous conseillent !
Revenu sur les terres de son enfance, l'auteur entame un dialogue avec ce petit garçon plein d'ambitions qu'il a été...
Nous suivons Mathilde Levesque, agrégée de lettres, dans un lycée du 93, pendant une année scolaire...
Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction