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Seishu Hase

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Avis sur cet auteur (4)

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    Couverture du livre « Le chien qui voulait voir le sud » de Takashi Murakami et Seishu Hase aux éditions Akata

    Ines Perluette @la_bibliotheque_de_perluette sur Le chien qui voulait voir le sud de Takashi Murakami - Seishu Hase

    Ils ne vont pas réussir à me faire pleurer ! Je l'ai pensé tout au long du récit, de chapitres en chapitres, je sentais que tout était en place pour tirer des larmes aux lecteurs. Des destins brisés, des vies gâchées, et toujours ce chien qui passe de maître en maître apporter un peu de joie...
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    Ils ne vont pas réussir à me faire pleurer ! Je l'ai pensé tout au long du récit, de chapitres en chapitres, je sentais que tout était en place pour tirer des larmes aux lecteurs. Des destins brisés, des vies gâchées, et toujours ce chien qui passe de maître en maître apporter un peu de joie dans ces existences sombres. Mais moi, je suis un cœur de pierre, je ne pleure pas facilement ! Je ne vais pas mentir, j'ai craqué, j'ai été submergée par l'émotion au dernier chapitre et je les ai eues mes larmes (et même pas dans un moment triste ! ).

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    Couverture du livre « Le chien qui voulait voir le Sud » de Seishu Hase aux éditions Picquier

    Regine Zephirine sur Le chien qui voulait voir le Sud de Seishu Hase

    Après « son odeur après la pluie », voilà un autre récit qui a du chien et qui nous vient du Japon. J’ai aimé le titre qui laisse deviner une longue aventure et c’est bien ce qui arrive à Tamon, ce chien perdu qui erre aux alentours d’Iwate, région dévastée par le tsunami. Le chien est bien...
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    Après « son odeur après la pluie », voilà un autre récit qui a du chien et qui nous vient du Japon. J’ai aimé le titre qui laisse deviner une longue aventure et c’est bien ce qui arrive à Tamon, ce chien perdu qui erre aux alentours d’Iwate, région dévastée par le tsunami. Le chien est bien dressé, il semble comprendre ce qu’on attend de lui et c’est évident qu’il a eu un maitre mais qu’a-t-il pu lui arriver ?
    « Il l’observa. Cela semblait être un corniaud de chien japonais et de berger allemand. Il avait le tronc plus allongé qu’un chien japonais, le bassin plus bas. Et sa queue était plus longue. »
    Tamon a la faculté de se faire aimer dès le premier regard et d’être adopté par des personnes marginales où en souffrance. Mais ce n’est pas un maitre que ce chien cherche, c’est plutôt le moyen de filer vers le sud qui l’attire comme la piste d’un gibier. Il semble même qu’il porte bonheur à ses éphémères maitres.
    Tamon suit sa destinée qui se trouve au sud du Japon et rien ne le fera changer d’avis.
    On ne saura que dans les derniers chapitres la raison qui l’a poussé à faire ce long et périlleux voyage.
    Ce chien qui sait réconforter, qui semble comprendre l’âme humaine est une vraie thérapie sur patte. Il est capable de sentir le danger et il est doté d’un courage exceptionnel. En bref, le chien idéal, l’animal de compagnie rêvé. Accessoirement, il peut vous servir de bouillotte si vous êtres frileux. Pas étonnant que tous s’attachent à ce brave toutou.
    Oui, moi itou, je l’ai bien aimé, ce chien-chien pas du tout à sa mémère, mais la toutou-thérapie a fini par me lasser.
    De rencontre en rencontre, ça devient répétitif et les bons sentiments à chaque page, c’est vite ennuyeux. On en vient à souhaiter que le voyage prenne fin. Fin qui ne m’a pas convaincue.
    Quant au style, il a autant de saveur qu’un bol de croquettes lyophilisées.
    Ce livre est apprécié au Japon puisqu’il a été récompensé, mais cette lecture n’est pas pour moi.
    Et mon chat, qui l’a lu lui aussi, m’a dit en baillant : « ça casse pas trois pattes à un canard » et, sans vouloir offenser les canards, je partage son avis.

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    Couverture du livre « Le chien qui voulait voir le Sud » de Seishu Hase aux éditions Picquier

    VALERIE DESMARTIN sur Le chien qui voulait voir le Sud de Seishu Hase

    Ce roman est curieux et original. Nous découvrons, à travers de l'histoire de cet animal, plusieurs tranches de vie de personnages divers dans leurs univers variés. Le suspense est toujours présent: on n'apprend qu'à la fin la raison pour laquelle le chien voulait aller vers le sud.
    J'ai bien...
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    Ce roman est curieux et original. Nous découvrons, à travers de l'histoire de cet animal, plusieurs tranches de vie de personnages divers dans leurs univers variés. Le suspense est toujours présent: on n'apprend qu'à la fin la raison pour laquelle le chien voulait aller vers le sud.
    J'ai bien aimé, même si, au début, je n'étais pas "emballée" par le récit.

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    Couverture du livre « Le chien qui voulait voir le Sud » de Seishu Hase aux éditions Picquier

    Domi Mots sur Le chien qui voulait voir le Sud de Seishu Hase

    Une jolie fable sur l’humanité du chien. Plutôt paradoxal, non ?

    L’histoire du chien Tamon et de son périple, du nord au sud du Japon.
    Que cherche Tamon ou plutôt qui cherche t’il à rejoindre au sud ?

    Sur cette route de plus de 1000 km, il croisera les vies d’un petit délinquant, d’un...
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    Une jolie fable sur l’humanité du chien. Plutôt paradoxal, non ?

    L’histoire du chien Tamon et de son périple, du nord au sud du Japon.
    Que cherche Tamon ou plutôt qui cherche t’il à rejoindre au sud ?

    Sur cette route de plus de 1000 km, il croisera les vies d’un petit délinquant, d’un braqueur, d’un passionné de course en montagne, d’une prostituée ou d’un vieux chasseur gravement malade.

    Ceux qui partagent un bout de vie avec Tamon jouissent d’un moment de paix, d’affection, de consolation, voire de rédemption. Dans des vies souvent difficiles, brisées, il représente un « mamorigami », un ange gardien, un chien douceur et protection.

    Un chien qui fait du bien à tous ceux qu’il rencontre, même dans des situations extrêmes comme celle du vieillard malade, Yaichi.
    « Yaichi était persuadé que c’était parce que le chien avait flairé l’odeur de la solitude et de la mort. Etait-il possible qu’il ait interrompu sa quête des siens pour rester auprès de lui, soulager sa solitude et attendre près de lui, le moment de sa mort inéluctable ? »

    Ce roman met particulièrement en valeur la nature de notre ami à quatre pattes : l’affection sincère et désintéressée, l’empathie, l’absence de jugements et sa fidélité à toute épreuve.
    Ce n’est pas mièvre mais au contraire, bien observé, juste et sensible.

    Si vous aimez les animaux, vous passerez un très bon moment de lecture. En revanche, prévoyez peut-être quelques mouchoirs en papier.
    Bien sûr, c’est une fable, donc les traits sont accentués. Je n’ai surtout pas dit caricaturés.
    En ce qui me concerne : récit concernant des animaux + littérature japonaise = je suis tout de suite partante, et la plupart du temps, séduite.

    https://commelaplume.blogspot.com/

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