"Parole de libraire" spécial jeunesse avec Khatleen, de la librairie Le Divan Jeunesse, découvrez les coups de coeur des ados du club de lecture
Dans ce "Parole de libraire" spécial jeunesse présenté par Khatleen, de la librairie Le Divan Jeunesse, découvrez les coups de cœur des ados du club de lecture. Léonore, 14 ans, nous présente "Animale" de Victor Dixen (Pôle fiction) :...
"Parole de libraire" spécial jeunesse avec Khatleen, de la librairie Le Divan Jeunesse, découvrez les coups de coeur des ados du club de lecture
Maria Ernestam, auteure suédoise, née le 28 novembre 1959, commence sa carrière littéraire en 2005 avec son premier roman “Caipirinha with Death”. Ses romans, qui mêlent habilement psychologie et suspens, traitent des rapports humains avec humour. Un style reconnu en Suède et qui donne au Peigne de Cléopâtre un souffle revigorant.
Un jeune couple et leur chat, las de la vie en ville s’installe à la campagne.
Les voisins, très sympathiques au début se révèlent de plus en plus inquiétants.
De plus, leur chat terrorise la petite chatte du couple.
Tout d’abord, j’ai adoré la couverture.
Normal, j’adore les chats !
Et puis l’auteure en parle très bien, on sent la passion et le vécu.
L’histoire n’est pas déplaisante, écrite dans un style vif et agréable.
Par contre, la fin est arrivée et je n’ai rien compris.
Mais qui étaient donc ces satanés voisins ?
Lisbeth vit dans un petit village de Suède, au bord de la mer.
Institutrice bienveillante, et trop gentille, elle écope de toutes les corvées depuis sa tendre enfance !
Quand sa directrice envisage de réduire ses horaires pour confier ses heures de sport à un expert, un champion de ski ! Elle ne se laisse pas abattre et conçoit un plan machiavélique (mais tout gentil)
Un roman où on découvre qu'il suffit parfois d'une coupe de cheveux ratée pour reprendre confiance en soi ; un roman qui prône la communication comme remède aux incompréhensions et aux bleus de l'âme ; un roman qui montre comment il n'est jamais trop tard pour corriger de vieilles habitudes.
Bref, un roman feel-good, qui m'a fait sourire et rire aux éclats.
Je connaissais déjà Maria Ernestam par "Le peigne de Cléopâtre", mais elle donne ici une autre facette de son talent
Pour son anniversaire, Eva reçoit de sa petite fille un joli carnet couvert de roses ... elle décide d'y écrire ses souvenirs. C'est donc sa vie que nous allons suivre pendant près de 400 pages... l'histoire de cet enfant mal aimé qu'elle a été, l'enfant avec ce projet fou de tué sa mère, l'enfant qui se blinde pour en pas souffrir et se venge de bien cruelles et créatives manières, finit par grandir et tomber amoureuse... Tout celà entrecoupé par sa vie d'aujourd'hui dans ce petit village de Suède, la vie d'une femme de 56 ans, qui s'occupe de ses rosiers et d'une vieille personne, vit avec Sven, voit ses amies et boit du vin.
C'est bien écrit, assez fluide mais je me suis quand même profondément ennuyée face à cette vie de lamentations. Je n'ai pas réussi à m'attacher ni à m'émouvoir face à ce vécu qui ne m'a pas semblait si horrible. Heureusement le final a tout rattrapé, en nous dévoilant enfin comment elle était passé à l'acte, et comment elle s'est retrouvé à vivre dans ce village on lui passe ses jérémiades.
Eva, 56 ans, cultive ses rosiers, partage sa vie avec Sven, papote aves ses amies, s’occupe d’une vieille dame plus qu’acariâtre et le soir venu, se sert un verre de vin et écrit au long de nuits d’insomnie dans un cahier offert par sa petite-fille pour son anniversaire...Elle commence à raconter son enfance et sa jeunesse aux côtés d’un père aimant mais faible et d’une mère, belle, égocentrique et destructrice qui ne l’aime pas et n’a de cesse de l’humilier jusqu’à sa rencontre avec un jeune marin anglais John avec qui elle vivra une très belle histoire d’amour...Elle n’en sera pas “sauvée” pour autant ... Eva raconte doucement le fil de sa vie, ses choix, ses erreurs. Les rapports complexes entre mère et fille sont terrifiants, les sentiments d’amour et de haine sont dépeints avec une très grande puissance et pourtant ne croyez pas que ne se dégage de ce roman que la violence des sentiments, il y aussi beaucoup de sérénité, de douceur, de tendresse, d’humour aussi... Bien des surprises vous attendent au détour des pages, j’avais du mal à le lâcher et n’eussent été un besoin impérieux de dormir et des occupations incontournables( cela m’arrive de lire une journée entière si je le peux ) je l’aurais lu d’une seule traite. A chaque fois que je le reprenais, c’était avec une grande tendresse pour Eva...Le titre vous parait énigmatique ?
Lisez-le et vous saurez tout des oreilles de Buster et de leur rôle dans l’histoire !
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