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Katarina Mazetti

Katarina Mazetti

Née en 1944, Katarina Mazetti est journaliste à la radio suédoise. Auteur de livres pour la jeunesse et de romans pour adultes, elle a rencontré un succès phénoménal avec le Mec de la tombe d'à côté, traduit en de nombreuses langues. Aux éditions Gaïa, elle a publié Le Mec de la tombe d'à côté (2...

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Née en 1944, Katarina Mazetti est journaliste à la radio suédoise. Auteur de livres pour la jeunesse et de romans pour adultes, elle a rencontré un succès phénoménal avec le Mec de la tombe d'à côté, traduit en de nombreuses langues. Aux éditions Gaïa, elle a publié Le Mec de la tombe d'à côté (2006 ; Babel n° 951), Les Larmes de Tarzan (2007 ; Babel n° 986), Entre Dieu et moi, c'est fini (2007 ; Babel n° 1050), Entre le chaperon rouge et le loup, c'est fini (2008 ; Babel n° 1064), La fin n'est que le début (2009 ; Babel n° 1086), Le Caveau de famille (2011) et Mon doudou divin (2012).

 

Crédit photo : ©Thronullberg Stor

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Avis sur cet auteur (164)

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    Couverture du livre « Le Viking qui voulait épouser la fille de soie » de Katarina Mazetti aux éditions Actes Sud

    sylvie adam sur Le Viking qui voulait épouser la fille de soie de Katarina Mazetti

    Deux familles, au Xème siècle, vont se rejoindre. L'une est originaire de Kiev et le frère et la soeur (Milka et Radoslav) sont obligés de quitter leur ville, sur le point d'être pillée. Ils embarquent alors avec des commerçants venus du nord. Milka tombe amoureuse de ce beau navigateur (Svarte)...
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    Deux familles, au Xème siècle, vont se rejoindre. L'une est originaire de Kiev et le frère et la soeur (Milka et Radoslav) sont obligés de quitter leur ville, sur le point d'être pillée. Ils embarquent alors avec des commerçants venus du nord. Milka tombe amoureuse de ce beau navigateur (Svarte) venu du nord. Mais quand celui-ci la présente à son père, ce dernier lui apprend qu'il a été obligé de le promettre en mariage à l'une de ses voisines. Milka et Radoslav vont devoir s'habituer à leur nouvelle vie en Suède.
    C'est facile à lire et on a de très belles images. C'est une manière de découvrir l'histoire, et la vie des Vikings à cette époque. Il y a beaucoup de suspense, notamment quand Svarte part à la recherche de sa mère qui a quitté le foyer alors qu'il n'était encore qu'un enfant. Tendresse et haine se chevauchent entre les membres de cette famille, perturbée par le départ de cette maman. Ne pas passer à côté de ce beau roman historique !

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    Couverture du livre « Le Viking qui voulait épouser la fille de soie » de Katarina Mazetti aux éditions Actes Sud

    ChantalChantaki sur Le Viking qui voulait épouser la fille de soie de Katarina Mazetti

    N'ayant jamais rien lu sur les Vikings, je me suis lancée dans la lecture de cette saga sans vraiment savoir à quoi m'attendre. C'est là que la magie opère! Ma curiosité a payé et au fil des pages, j'ai été emballée par l'histoire, et n'avais plus envie d'abandonner mon livre. J'ai été...
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    N'ayant jamais rien lu sur les Vikings, je me suis lancée dans la lecture de cette saga sans vraiment savoir à quoi m'attendre. C'est là que la magie opère! Ma curiosité a payé et au fil des pages, j'ai été emballée par l'histoire, et n'avais plus envie d'abandonner mon livre. J'ai été transportée dans la Suède du Xème siècle, et même si je l'avoue, j'ai eu un peu de mal à retenir les noms des lieux, j'ai très vite apprécié la compagnie des différents personnages de ce roman historique. J'ai aimé découvrir le mode de vie et les coutumes ancestrales des Vikings, et j' en ai beaucoup appris à leur sujet. Une lecture très dépaysante!

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    Couverture du livre « Ma vie de pingouin » de Katarina Mazetti aux éditions Actes Sud

    Kryan sur Ma vie de pingouin de Katarina Mazetti

    "Tous les humains sont des icebergs. Il faut se souvenir que neuf dixièmes de nous sont invisibles sous la surface. C'est ce qui rend l'existence si intéressante."

    Un roman humain tendre et triste à la fois.

    "Tous les humains sont des icebergs. Il faut se souvenir que neuf dixièmes de nous sont invisibles sous la surface. C'est ce qui rend l'existence si intéressante."

    Un roman humain tendre et triste à la fois.

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    Couverture du livre « Entre Dieu et moi, c'est fini » de Katarina Mazetti aux éditions Actes Sud

    Sandrine Fernandez sur Entre Dieu et moi, c'est fini de Katarina Mazetti

    Trop grande, trop mûre, trop cynique, Linnea n’entre pas dans le moule et, à quinze ans, être différente, c’est souvent être seule. Alors quand elle rencontre Pia, c’est la révélation. Une âme sœur, une confidente, une amie pour la vie. Non, pas tout à fait. Parce qu’après cent vingt jours de...
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    Trop grande, trop mûre, trop cynique, Linnea n’entre pas dans le moule et, à quinze ans, être différente, c’est souvent être seule. Alors quand elle rencontre Pia, c’est la révélation. Une âme sœur, une confidente, une amie pour la vie. Non, pas tout à fait. Parce qu’après cent vingt jours de rires, de larmes, d’échanges, de complicité, de menus plaisirs et de grandes joies, Pia s’est jetée sous un train. Un suicide sans explications qui laisse Linnea sur le carreau, anéantie, seule à nouveau face à ce deuil impossible. Alors l’adolescente décide de raconter ses souvenirs à …un mur. Le mur au fond du dressing de sa grand-mère. Un mur qui se tait, qui ne juge pas, ne répond pas, reçoit ses confidences sans objecter, sans questionner. Un mur devant lequel, elle vide son sac pour tourner la page et aller de l’avant.

    Un petit roman sur l’amitié et la mort qui ne paie pas de mine a priori mais qui sait attendrir, remuer, émouvoir et amuser. Malgré le drame, le ton n’est pas larmoyant. Linnea a perdu son amie mais elle a conservé son sens de l’humour et ce regard distancié sur ce et ceux qui l’entourent. On s’attache à ce duo d’amies qui se démarquent de leurs camarades. On partage leurs petits secrets, leurs parties de rigolade, leurs questionnements sur la vie, la mort, l’amour et l’existence de Dieu.
    Beaucoup de fraîcheur, des dialogues souvent très drôles, un appétit de vivre et, tout au fond, l’immense douleur de la perte, la culpabilité de n’avoir rien vu venir et de continuer la route, seule. Un cocktail détonant pour un roman tendre, savoureux et qui fait réfléchir. A découvrir.

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