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Quand Miles Halter à seize ans quitte le foyer familial pour la vie en pensionnat, c'est dans une quête d'un grand peut-être. Il va vivre en quelques mois des expériences inoubliables qui sans le savoir vont peut-être être la source d'insondables questionnements...
Ce roman nous projette dans le tumulte adolescent avec toute l'intensité qu'on lui connaît. L'amitié, les émois, les transgressions sont au centre des préoccupations de ces jeunes gens qui brûlent d'énergie.
On les suit avec fébrilité entre transparence et complexité. On vit de l'intérieur les sentiments qu'ils tentent d'amadouer à coup de vapeur d'alcool et de fumée de cigarettes. L'écriture est fluide, réaliste avec de la provoc, de l'humour, des familiarités. Les personnages sont attachants et de profils différents. Miles est plutôt du genre naïf, tandis qu'Alaska est secrète et intrigante.
Les contradictions sont sincères et unanimes, mais on ne tombe pas dans la facilité pour autant. On se pose des questions et on débat philosophie un peu avant, mais bien plus encore après le basculement. La mort et la manière d'aborder son deuil donnent une résonance à la vie avec son cortège "de pourquoi et comment". C'est souvent ambigu et décomplexant. Et on s'imbibe des exaltations, autant que des doutes et des frayeurs.
Il y a quelque chose de profondément humain et formateur, de léger et d'infiniment sérieux. Ce récit est plus qu'un roman jeunesse, parce qu'il cultive cette part d'ultime, de grave et d'inachevé.
Deux adolescents, Hazel Grace et Augustus Waters se sont rencontrés au sein du groupe de soutien pour lutter contre les effets secondaires du cancer… Elle sous oxygène, lui sur une jambe, entament une belle relation d’amitié que la maladie tarde à faire évoluer en histoire d’amour. Ils partagent humour et légèreté, et grâce à la littérature, ils se lancent dans un projet fou et ambitieux, dont la réalisation leur permettra de dévorer la vie et de faire briller, le temps d’une escapade à Amsterdam, leurs étoiles contraires.
Classé roman jeunesse, c’est aussi une bonne prescription pour adultes.
J'avais apprécié Nos étoiles contraires; j'ai peu aimé Le théorème des Katherine.
Colin est surdoué mais préférerait être un génie ! Il vient d'être largué par sa 19éme Katherine; son ami Hassan, plutôt drôle( et enrobé: il a des seins) essaie de le convertir, en vain mais il veut le sortir de sa déprime en profitant des vacances pour partir à l'aventure: ils arriveront dans un village qui annonce une tombe bien improbable. Ils y rencontrent Sisley, sa mère et son petit copain, un autre Colin.
C'est assez loufoque.
Pendant tout le temps, le surdoué espère son moment de génie en élaborant le théorème des Katherine: il permettrait de savoir qui quitte qui et au bout de combien de temps; sauf qu'il y a une faille, sa mémoire l'a trahi: c'est lui qui a largué K2 au CM1. Tout est à refaire.
La conclusion de Colin est que l'avenir n'est pas prévisible...tout ça pour ça!
Heureusement il y a de l'humour et de l'autodérision mais je reste déçue
Ce livre est tout simplement incroyable. Il nous fait découvrir une nouvelle manière de voir la vie à travers les yeux de personnages qui ne savent pas quand elle va se terminer. J'ai personnellement adopter les personnages comme si c'était mes meilleures amis. L'histoire est drôle, triste et heureuse à la fois et est super bien écrite.
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