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Jeremie Dres

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Avis sur cet auteur (3)

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    Couverture du livre « Le jour où j'ai rencontré Ben Laden Tome 2 » de Jeremie Dres aux éditions Delcourt

    Matatoune sur Le jour où j'ai rencontré Ben Laden Tome 2 de Jeremie Dres

    Avec ce premier tome de Le jour où j’ai rencontré Ben Laden, Jérémie Dres raconte le parcours de deux jeunes de la Cité des Minguettes de Vénissieux, Mourad Benchellali et Nizar Saassi, partis jusqu’à Kandahar rejoindre les Talibans. C’est une enquête à partir de leurs interviews que Jérémie...
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    Avec ce premier tome de Le jour où j’ai rencontré Ben Laden, Jérémie Dres raconte le parcours de deux jeunes de la Cité des Minguettes de Vénissieux, Mourad Benchellali et Nizar Saassi, partis jusqu’à Kandahar rejoindre les Talibans. C’est une enquête à partir de leurs interviews que Jérémie Dres propose pour tenter de comprendre le phénomène d’embrigadement mais aussi l’enchaînement des événements qui mène deux jeunes européens à retrouver le terroriste le plus connu dans un camp d’Al-Qaïda.
    Un brin d’histoire

    Le roman graphique commence par la rencontre du dessinateur avec Mourad en juin 2019 et la statue de Marianne qui tourne le dos à la Cité ! Mourad rappelle que de sa cité est partie, en octobre 1983, la marche des Beurs suite aux violences policières contre les jeunes des quartiers dits sensibles. Tout un symbole ! Ce mouvement devenu marche pour l’égalité et contre le racisme a fédéré beaucoup de comités de soutien à travers la France pour finir par une manifestation pacifique d’une ampleur inégalée à Paris et à Strasbourg. Sauf que les promesses n’ont pas été tenues.

    Au pied de son immeuble, se trouvait la salle de prière animée par son propre père. En 1990, son père se rapproche de l’Arabie Saoudite et ses prêches deviennent de plus en plus rigoristes et conservateurs.

    Nizar, lui, Jérémie Dres le rencontre un peu plus tard mais toujours en juin 2019. D’emblée, les remords et l’incompréhension envahissent son discours. Mais aussi, sa difficulté, jeun,e à exprimer son avis, ses choix dans un quartier où les jeux de pouvoir étaient communs.

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    https://vagabondageautourdesoi.com/2022/08/18/jeremie-dres-le-jour-ou-jai-rencontre-ben-laden/

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    Couverture du livre « Nous n'irons pas voir Auschwitz » de Jeremie Dres aux éditions Cambourakis

    Matatoune sur Nous n'irons pas voir Auschwitz de Jeremie Dres

    J’ai découvert Jérémie Dres avec son nouveau roman graphique qui sortira courant août pour cette rentrée littéraire 2022. En regardant ce qu’il avait déjà dessiner, j’ai trouvé celui-ci qui, par son titre, Nous n’irons pas voir Auschwitz m’a agréablement attirée.

    La grand-mère de Jérémie Dres...
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    J’ai découvert Jérémie Dres avec son nouveau roman graphique qui sortira courant août pour cette rentrée littéraire 2022. En regardant ce qu’il avait déjà dessiner, j’ai trouvé celui-ci qui, par son titre, Nous n’irons pas voir Auschwitz m’a agréablement attirée.

    La grand-mère de Jérémie Dres vient dé décéder et l’idée de retrouver son pays d’origine, la Pologne juive, devient indispensable.Alors, il se dégage une semaine dans son emploi du temps, organise son road-trip avec un certain nombre de rendez-vous, notamment avec des jeunes de sa génération.

    Jérémie Dres raconte ses découvertes, ses rencontres qui lui permettent, de retrouver un peu de ses racines. Du coup son frère décide de le rejoindre pour partager son périple.

    Jérémie Dres raconte ses découvertes, ses rencontres qui lui permettent de retrouver un peu de ses racines.
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    https://vagabondageautourdesoi.com/2022/08/08/jeremie-dres-nousnironspasvoirauschwitz/

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    Couverture du livre « Profession solidaire : chroniques de l'accueil » de Jeremie Dres et Jean-Francois Corty et Michel Welterlin aux éditions Les Escales

    Jen sur Profession solidaire : chroniques de l'accueil de Jeremie Dres - Jean-Francois Corty - Michel Welterlin

    La question migratoire, un peu passée sous silence ces derniers mois, est pourtant toujours autant d’actualité. Elle brûle les fondements de nos humanités. L’Europe n’est plus une terre d’accueil mais de rejet et d’ignorance. Les migrants s’entassent dans des camps, quand ils ne sont pas...
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    La question migratoire, un peu passée sous silence ces derniers mois, est pourtant toujours autant d’actualité. Elle brûle les fondements de nos humanités. L’Europe n’est plus une terre d’accueil mais de rejet et d’ignorance. Les migrants s’entassent dans des camps, quand ils ne sont pas refoulés, noyés ou gravement malmenés pendant leur périple. Un exode sordide qui ne trouve pas fin une fois arrivé aux portes de nos pays occidentaux, quid au passage des droits de l’homme.
    Certain homme par leur implication distille l’espérance. C’est le cas de Jean-François Corty dont on suit la construction de l’engagement. De l’adolescent qui cherche modèle à l’homme qui œuvre en accord avec des convictions altruistes et sensibles. La peur réside en l’homme et pousse à conserver son confort sans même tenter d’apaiser les plus défavorisés. Le délit de solidarité n’existe plus et il suffirait que chacun fasse sa part. Les hommes qui souffrent opposent les solidarités au lieu de faire corps. Il n’est pas tolérable qu’en France des humains est froid, faim, ou soif. Nous ne pouvons estimer vivre dans un pays moderne et développé si dans l’entresol de nos regards meurent des hommes vulnérables. Quelle soit née ici ou ailleurs, la population vivant en France devrait accéder à la satisfaction de ses besoins primaires.
    Ces propos sont essentiels pour œuvrer à plus d’humanité politique et d’entraide au sein de la population. Les migrants ne traversent pas des années d’enfer si ce n’est pour en fuir un plus grand. Les discours de rejet autour de l’immigration sont des discours de privilégiés, d’humains ne vivant pas sous les bombes, sous la dictature, sous une misère qui induit à fuir pour espérer. L’exil est une solution de survie, pas de confort. Nous devons prendre conscience de nos avantages quand bien même ils ne sont pas suffisants pour tous. La confrontation des misères desserts les plus démunis, pas les nantis. Notre gouvernement oppose les précarités pour demeurer puissants. Tant que la haine s’exerce entre les peuples du bas il s’en lave les mains.
    Un témoignage sans langue de bois qui assume et crie les contradictions entre humain et politique entre misère et pouvoir. L’engagement de cet homme ouvre à la profonde bienveillance de ce monde. Des hommes comme lui apposent du baume aux blessures d’injustices. C’est clair, concis sans retenu. Il dit, il clame, il dénonce et ça fait un bien fou. Le graphisme ne m’a pas du tout séduite mais il va plutôt bien avec la sobriété des propos et surtout il n’entache pas l’essentialité du discours militant et engagé.
    L’agenda médiatique et politique ne doit pas s’intercaler avec l’urgence humanitaire. Notre société œuvre à contresens de l’espoir et porte des valeurs avilissantes pour la vie. Cet ouvrage indispensable nous le rappel.
    Les Escales (Steinkis), 4 juin 2020
    128 pages

    A découvrir autour de cette lecture :
    Un article : d’Eric Fottorino dans le 1 du 7 février 2018
    "C’est une tache. Une tache sur ce début de XXIème siècle à peine majeur. Cette tâche, ce ne sont pas les hommes, les femmes, les enfants -en bas âge parfois- que nous envoient les guerres les violences et les dictatures en tous genres. Cette tâche, c’est notre incapacité à traiter humainement des êtres humains qui ont surmonté l insurmontable, la maltraitance des bourreaux ordinaires, des trafiquants de misère, le cynisme intéressé des passeurs qu’on appellerait bien "trépasseurs" si le mot existait. Face à l’afflux de réfugiés, nos États opposent une défense qu’ils croient légitime puisque, selon le vieil adage érigé en slogan, "on ne peut pas accueillir toute la misère du monde". Pour autant la tâche s’étend sur notre pays, jadis pays des droits de l’homme. Cette tâche, c’est un déni d’hospitalité, un mépris de l’autre qui arrive certes illégalement et sans papiers, mais plus mort que vif."
    Un roman : La route des Balkans de Christine de Mazières qui signe un récit sensible, sans pathos et très actuel
    Un récit : Le prince à la petite tasse d’Emilie de Thurckheim, pudique et bienveillant il assouplit le regard et incite à une plus grande ouverture d’âme.
    Un album jeunesse : Moi, Dieu merci, qui vis ici de Thierry Lenain et Olivier Balez Un récit poétique et politique qui exprime le droit pour chacun a vivre une vie en paix. « Je suis né là-bas. Un jour, j'ai dû fuir. Aujourd'hui, je suis ici, en vie. "

    https://unmotpourtouspourunmot.blogspot.com/2020/09/profession-solidaire-chroniques-de.html

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