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Doa

Doa

DOA (Dead On Arrival) est romancier et scénariste. Il est l’auteur à la Série
Noire de Citoyens clandestins (Grand Prix de littérature policière 2007), du Serpent
aux mille coupures, de L’honorable société, écrit avec Dominique Manotti (Grand
Prix de littérature policière 2011) et de Pukhtu Primo ...

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DOA (Dead On Arrival) est romancier et scénariste. Il est l’auteur à la Série
Noire de Citoyens clandestins (Grand Prix de littérature policière 2007), du Serpent
aux mille coupures, de L’honorable société, écrit avec Dominique Manotti (Grand
Prix de littérature policière 2011) et de Pukhtu Primo (Prix Mystère de la critique
2015). DOA poursuit avec Pukhtu Secundo la fresque monumentale débutée dans
Pukhtu Primo, exploration viscérale et sans concessions qui nous entraîne
au « cœur des ténèbres ». À l’ère du Big Brother planétaire, il aime qu’on n’en
sache pas trop sur lui.

Articles en lien avec Doa (1)

Avis sur cet auteur (45)

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    Couverture du livre « Le serpent aux mille coupures » de Doa aux éditions Folio

    Miss Marple sur Le serpent aux mille coupures de Doa

    Allergiques à l’hémoglobine, passez votre chemin !
    Ah!je voulais changer de genre de lectures, moins de pensées négatives, d’introspection, davantage d’action, j’ai été servie !
    Et pourtant l’action se déroule majoritairement dans le Tarn et Garonne, pas loin de chez moi, avec des...
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    Allergiques à l’hémoglobine, passez votre chemin !
    Ah!je voulais changer de genre de lectures, moins de pensées négatives, d’introspection, davantage d’action, j’ai été servie !
    Et pourtant l’action se déroule majoritairement dans le Tarn et Garonne, pas loin de chez moi, avec des protagonistes locaux, à l’accent local, des expressions reconnaissables, des noms qui fleurent bon le sud ouest, tout est prêt pour prendre un peu l’air !!
    mais l’air vient d’ailleurs, d’Italie, d’Espagne, d’Amérique du sud et même encore de plus loin, on n’est donc plus du tout dans le local puisque la denrée principale, vendue, revendue, volée et disparue est bien sûr la drogue, intéressant tous ces gens à plusieurs niveaux ; ajoutez à cela une prise d’otage et vous avez les prémices d’un roman sacrément décoiffant .
    Ah j’allais oublier, les forces de l’ordre, gendarmerie.. on est à la campagne et policiers haut gradés venus eux aussi d’Espagne ou mutés de Paris , en plein désarroi professionnel et vous avez la totale !
    Ce roman, écrit en 2009 , il y a un siècle apparemment !! nous révèle les tenants et aboutissants de cette cavale et m’ont fait découvrir des pratiques qui sont sans doute totalement dépassées 15 ans plus tard !
    Bien que très violent et brutal, à mon goût, je n’ai pas pas fait de cauchemars, ce polar m’ appris pas mal et j’ai apprécié ce changement de littérature !
    Merci donc à la médiathèque de ma ville qui l’avait mis en avant !!

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    Couverture du livre « Pukhtu primo » de Doa aux éditions Gallimard

    Blandine sur Pukhtu primo de Doa

    et bien en fait je n'ai pas d'avis car j'ai abandonné... trop ardu,

    et bien en fait je n'ai pas d'avis car j'ai abandonné... trop ardu,

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    Couverture du livre « Pukhtu primo » de Doa aux éditions Gallimard

    Aa67 sur Pukhtu primo de Doa

    Avant d'acquérir le dernier livre de DOA intitulé "retiaire(s)", je me suis dit qu'il fallait au moins que je lise un de ses best-sellers précédents. Bien m'en a pris car l'auteur m'a impressionné par son rythme, son adaptation au milieu étudié mais surtout par la somme d'infos, d'archives et de...
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    Avant d'acquérir le dernier livre de DOA intitulé "retiaire(s)", je me suis dit qu'il fallait au moins que je lise un de ses best-sellers précédents. Bien m'en a pris car l'auteur m'a impressionné par son rythme, son adaptation au milieu étudié mais surtout par la somme d'infos, d'archives et de recherches qu'il a dû rassembler avant de projeter l'ensemble dans ce polar.
    On est immergé avec lui dans une sorte de schizophrénie nationale se manifestant aussi bien chez les autochtones d'Asie Centrale que les américains en place depuis le 11 septembre 2001 voire même jusqu'à l'intérieur des services secrets.
    Le décor est planté dès la première page : attentat à Kaboul lors d'une réunion avec le ministre norvégien et une accompagnatrice.
    Puis, très vite les personnages locaux afghans qui génèrent la trame de fond sont introduits. Agal le père mélancolique, chef afghan, à qui il ne reste qu'un fils Sher Ali. On suit tous ces vies aussi bien dans leurs luttes que dans leurs cohabitations avec l'ennemi, c'est selon ; selon les circonstances, l'instant présent ou l'opportunité à saisir.
    S'imbrique là-dedans la vie des militaires sur le terrain, Ghost, Rider, Fox et quelques autres personnages que DOA dépeint parfaitement.
    Pour faire court, les 670 pages visitent une multitude de thèmes et de lieux : OTAN, CIA, talibans, drogues, djihad, Al-Qaïda, chimie, Politique, Argent le tout en surfant entre Russie, Iran, Asie Centrale, le Pentagone et j'en passe.
    Argent et honneur, Politique et drogue, Enfants et poussière, Chimie pharmaceutique et planète.
    Mais il faut prévenir que cette lecture se mérite. le rythme est rapide et le récit nous plonge dans ce monde que nous ne devinons qu'à peine. Une vie parallèle qui continue même si nous n'avons, hélas, n'avons actuellement d'yeux que pour la guerre en Ukraine.

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    Couverture du livre « Retiaire(s) » de Doa aux éditions Gallimard

    Aa67 sur Retiaire(s) de Doa

    C'est bien du DOA.

    J'ai adoré l'écouter lors de la présentation de son livre à la Librairie Kléber de Strasbourg le 4 avril. Il y a révélé une personnalité, une culture et une discrétion qui ont été hyper intéressantes pour moi. Cette chaleur que l'on sent à la description de ses personnages...
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    C'est bien du DOA.

    J'ai adoré l'écouter lors de la présentation de son livre à la Librairie Kléber de Strasbourg le 4 avril. Il y a révélé une personnalité, une culture et une discrétion qui ont été hyper intéressantes pour moi. Cette chaleur que l'on sent à la description de ses personnages vient bien du fond de son âme.
    Je me réjouissais de lire son petit dernier mais, il y a un mais.
    Peut-être parce que j'avais spécialement apprécié les deux tomes de Pukhtu, suis-je restée sur ma fin en refermant Retiaire(s) ?
    Peut-être que DOA, qui ayant dû modifier son plan initial, à savoir en faire une série TV, a tourné en rond dans une énième histoire de came ?
    Retiaire(s) est certes une excellente immersion dans le monde des brigades anti-stups, dans celui de la plaque tournante de la coke, dans la dure réalité de survie et de fierté manouche ; il n'en est pas pour autant le meilleur des DOA.
    Son approche documentaire est inattaquable, son écriture tout autant.
    Les personnages sont également réussis, travaillés et tous très intéressants.
    Au travers du trajet de la drogue et des fonctionnements des ports maritimes, on voyage dans mult pays comme la Bolivie, le Pérou, la Colombie, l'Argentine, la Grèce, le Maroc et surtout l'Espagne. Marseille étant le point culminant pour nos héros policiers tels qu'Amélie Vasseur, Didier d'Agormo et quelques autres.
    Les manouches, les ripoux comme les douaniers corrompus, donnent au scénario ce côté plausible qui nous fait adhérer à l'enquête. le tout illustre parfaitement à quel point cette poudre blanche rend tout le monde dingue.
    Alors pourquoi ce manque de peps me suis-je demandée ? ça doit tenir à l'histoire de fond qui, à mes yeux, a manqué de "sang neuf" de la part de DOA. Je ne vois que cela.
    C'est en conclusion un bon livre pour un voyage en train, mais j'attends avec impatience que DOA me fasse rechavirer comme cela a été le cas pour ses précédents polars.