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China Miéville

China Miéville

China Miéville est né à Londres en 1972. Diplômé de Cambridge (anthropologie), et de l'Université de Londres (économie), il cumule les prix avec ses romans, nouvelles et novelas. Son premier roman, King Rat (à paraître en RVA en 2006) fut nominé pour le Prix Bram Stoker et le Prix de l'Internatio...

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China Miéville est né à Londres en 1972. Diplômé de Cambridge (anthropologie), et de l'Université de Londres (économie), il cumule les prix avec ses romans, nouvelles et novelas. Son premier roman, King Rat (à paraître en RVA en 2006) fut nominé pour le Prix Bram Stoker et le Prix de l'International Horror Guild. Les droits cinématographiques ont d'ailleurs été achetés par un groupe anglais très célèbre. Perdido Street Station a obtenu le Prix Arthur C. Clarke, le British Science Fiction Award et le Grand Prix de l'Imaginaire (meilleur roman et meilleure traduction) en 2004. Avec La Balafre, il confirme son immense succès et fait partie de tous les plus grands prix. Son dernier roman, The Iron Council, vient de paraître et enthousiasme déjà la presse et les lecteurs. China Miéville est le nouveau prodige des littératures de l'imaginaire, mêlant SF, fantasy urbaine, horreur et roman social !

Avis sur cet auteur (11)

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    Couverture du livre « Perdido street station t.2 » de China Miéville aux éditions Pocket

    kadeline sur Perdido street station t.2 de China Miéville

    Perdido Street Station est un roman publié en deux partie en France. J’ai fait une erreur stratégique en attendant trop entre la lecture des deux parties, ce n’est pas le genre d’univers qu’il faut laisser reposer sous peine d’oublier des détails clés. C’était vraiment une lecture très...
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    Perdido Street Station est un roman publié en deux partie en France. J’ai fait une erreur stratégique en attendant trop entre la lecture des deux parties, ce n’est pas le genre d’univers qu’il faut laisser reposer sous peine d’oublier des détails clés. C’était vraiment une lecture très intéressante sombre, glauque, cracra au possible, de la dark fantaisy bien dark. Le nom du roman évoque la gare de la ville, centre d’une partie de l’intrigue. Ici la ville est le personnage principal, son fonctionnement et sa survie forme le coeur de l’intrigue tandis que les différents personnages servent l’accès aux lecteurs. Parmi ceux-ci, nous avons un chercheur et une artiste. Le scientifique est très gris, a un petit côté savant fou ce qui va entrainer certains nombres de soucis qui le dépasse. Quand on lui donne une énigme à résoudre, il se lance à corps perdu et ne voit pas venir le fait que ça va mal tourner. Il a aussi une relation cachée inter-espèce avec une merveilleuse artiste. Celle-ci va être recruté par le chef de la pègre. Tout comme notre chercher, l’appel d’un sacré challenge fait perdre toute prudence. Travailler pour le grand chef de la mafia en quoi est-ce que ça pourrait mal tourner ? Si c'est vraiment la ville, l’héroïne, on se focalise en particulier sur les bas-fonds. Comment on survit ? Comment on s'entraide ou se dénonce ? Comment on se retrouve mêlé à des histoires qui nous ne dépassent ? La première partie pose l’univers et déploie la toile de l’intrigue. C’est dense, lent, on ne sait pas où on va mais on y va car c’est fascinant. La seconde partie est centrée sur l’action, pas le temps de reprendre son souffle tout s’enchaine. C’est un contraste bien maitrisé mais qu’il faut accepter.
    L’univers est dingue mais attention c’est une histoire à découvrir quand on a le moral, l'estomac bien accroché et une bonne capacité de cerveau disponible. Entre la complexité de l’univers, l’intrigue où tout s’enchevêtre et la plume très travaillée, ce n’est pas une histoire facile d’accès mais elle en vaut la peine.

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    Couverture du livre « Perdido street station t.1 » de China Miéville aux éditions Pocket

    kadeline sur Perdido street station t.1 de China Miéville

    Perdido Street Station est un roman publié en deux partie en France. J’ai fait une erreur stratégique en attendant trop entre la lecture des deux parties, ce n’est pas le genre d’univers qu’il faut laisser reposer sous peine d’oublier des détails clés. C’était vraiment une lecture très...
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    Perdido Street Station est un roman publié en deux partie en France. J’ai fait une erreur stratégique en attendant trop entre la lecture des deux parties, ce n’est pas le genre d’univers qu’il faut laisser reposer sous peine d’oublier des détails clés. C’était vraiment une lecture très intéressante sombre, glauque, cracra au possible, de la dark fantaisy bien dark. Le nom du roman évoque la gare de la ville, centre d’une partie de l’intrigue. Ici la ville est le personnage principal, son fonctionnement et sa survie forme le coeur de l’intrigue tandis que les différents personnages servent l’accès aux lecteurs. Parmi ceux-ci, nous avons un chercheur et une artiste. Le scientifique est très gris, a un petit côté savant fou ce qui va entrainer certains nombres de soucis qui le dépasse. Quand on lui donne une énigme à résoudre, il se lance à corps perdu et ne voit pas venir le fait que ça va mal tourner. Il a aussi une relation cachée inter-espèce avec une merveilleuse artiste. Celle-ci va être recruté par le chef de la pègre. Tout comme notre chercher, l’appel d’un sacré challenge fait perdre toute prudence. Travailler pour le grand chef de la mafia en quoi est-ce que ça pourrait mal tourner ? Si c'est vraiment la ville, l’héroïne, on se focalise en particulier sur les bas-fonds. Comment on survit ? Comment on s'entraide ou se dénonce ? Comment on se retrouve mêlé à des histoires qui nous ne dépassent ? La première partie pose l’univers et déploie la toile de l’intrigue. C’est dense, lent, on ne sait pas où on va mais on y va car c’est fascinant. La seconde partie est centrée sur l’action, pas le temps de reprendre son souffle tout s’enchaine. C’est un contraste bien maitrisé mais qu’il faut accepter.
    L’univers est dingue mais attention c’est une histoire à découvrir quand on a le moral, l'estomac bien accroché et une bonne capacité de cerveau disponible. Entre la complexité de l’univers, l’intrigue où tout s’enchevêtre et la plume très travaillée, ce n’est pas une histoire facile d’accès mais elle en vaut la peine.

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    Couverture du livre « Celui qui dénombrait les hommes » de China Miéville aux éditions Fleuve Editions

    Djelae sur Celui qui dénombrait les hommes de China Miéville

    Un roman qui démarre par un petit garçon qui dévale une colline en criant que sa mère a tué son père, puis qui annonce que c'est plutôt son père qui a tué sa mère, ou bien une autre personne.... Le roman s'ouvre avec cette interrogation et ce jeune garçon devenu adulte se remémore son passé. La...
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    Un roman qui démarre par un petit garçon qui dévale une colline en criant que sa mère a tué son père, puis qui annonce que c'est plutôt son père qui a tué sa mère, ou bien une autre personne.... Le roman s'ouvre avec cette interrogation et ce jeune garçon devenu adulte se remémore son passé. La plume de China Mieville que je connaissais déjà est toujours aussi poétique ! Par contre, le livre reste nébuleux du début à la fin.... Aucune réponse, tout est à l'interprétation du lecteur et c'est ce qui m'a dérangé car en fin de compte je n'ai pas réellement compris l'intrigue. Le récit aurait gagné en densité avec plus d'explications! J'ai terminé ce roman de fantasy assez perplexe... Je n'ai pas compris le sens de l'histoire et où voulait m'emmener l'auteur, dommage.

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    Couverture du livre « Merfer » de China Miéville aux éditions Fleuve Editions

    Musemania sur Merfer de China Miéville

    Merci aux éditions Pocket et à Babelio pour l'envoi de ce livre dans le cadre de la "Masse Critique Mauvais genres".

    Mes premières impressions sont un peu mitigées. D'un côté, j'ai apprécié ce livre pour l'avoir parcouru comme un roman d'aventure. De manière détournée, l'auteur aborde de...
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    Merci aux éditions Pocket et à Babelio pour l'envoi de ce livre dans le cadre de la "Masse Critique Mauvais genres".

    Mes premières impressions sont un peu mitigées. D'un côté, j'ai apprécié ce livre pour l'avoir parcouru comme un roman d'aventure. De manière détournée, l'auteur aborde de nombreux thèmes encore d'actualité; dont notamment, la peur de l'étranger, de la différence. D'un autre côté, j'ai, parfois, eu du mal à m'y intégrer car le langage et l'écriture sont vraiment particuliers : de nombreux termes sont inventés et propres à l'univers de ce livre. Les noms des personnages sont longs et complexes. En tout cas, ce n'est pas toujours facile de s'y retrouver. A côté de cela, il faut reconnaître le talent de créativité dont fait preuve l'auteur.

    Habituellement, j'apprécie les descriptions de type cinématographique dans les livres, ce qui me permet de me "téléporter" dans le décor implanté par l'auteur et de me plonger entièrement dans le bouquin. Ici, cela m'a été beaucoup plus ardu.

    Malgré cette hésitation, cela reste une bonne découverte pour moi. Même si, je ne pense pas consacrer toutes mes prochaines lectures à ce genre littéraire, il est possible qu'à l'avenir je me plonge à l'occasion dans l'un ou l'autre livre de ce type.

    Chronique complète : http://musemaniasbooks.blogspot.com/2017/11/merfer-de-china-mieville-genre-science.html

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