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Depuis les années soixante, la plus belle pour aller danser porte un prénom : Sylvie. Sylvie, figure de proue mythique du bon vieux temps de feu les Carpentier. Sylvie, présentée en Amérique comme «le plus beau cadeau de la France depuis la statue de la Liberté». Sylvie, déifiée au Japon, ce pays «porte-bonheur» où elle rencontra son second mari, un jour de 1981. Sylvie, star internationale aux millions de disques vendus, aux milliers de couvertures de magazines, submergée de prix et de récompenses dont une seule pourtant fit sa fierté et aurait fait pleurer son père : une étoile et un petit morceau de ruban rouge piqués sur le revers de son tailleur noir, en 1998, dans un salon de l'Élysée. Sylvie, un prénom rond comme le visage des icônes de Bulgarie, son pays d'origine, un hymne scandé sur tous les airs depuis des générations par les admirateurs de «La Blonde», comme la surnomment affectueusement ses fans. Mais connaît-on vraiment Sylvie Vartan, l'idole des jeunes au féminin ? Que sait-on réellement de son mariage avec Johnny, de leurs ruptures fracassantes et de leurs retrouvailles savamment orchestrées ? Comment a-t-elle traversé toutes les modes, troquant sa panoplie yé-yé pour des extravagances de paillettes ? Pourquoi la reine du music-hall n'a-t-elle jamais triomphé au cinéma ? Après des mois d'enquête, ponctués de rencontres et d'interviews inédites, Emmanuel Bonini dresse, pour la première fois, le portait de feu et de glace d'un mythe qui, depuis plus de quarante ans, fait résonner un refrain bulgare dans le coeur des Français.
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