Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
des multiples usages que l'avènement de la photographie a engendrés, celui de la prise de vue post mortem - ou après décès - constitue l'un des plus remarquables.
liée par essence à la perception et à la représentation de la mort dans une société donnée et aux rites funéraires de son époque, cette pratique, courante à la fin du xixe siècle, a progressivement régressé sans toutefois jamais s'éteindre. réservée aux monarques, aux puissants ou aux illustres, la confection du "dernier portrait", visant à inscrire pour l'immortaliser le visage du disparu, relève depuis l'antiquité de l'art des peintres, sculpteurs, graveurs et dessinateurs.
dès 1850, la photographie a prolongé et régénéré cette tradition en la rendant accessible au plus grand nombre.
on trouvera dans cet ouvrage une sélection rigoureuse de cette iconographie particulière, extraite de l'oeuvre de photographes célèbres ou anonymes, figeant en une troublante éternité des visages inconnus ou fameux.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
La romance cartonne auprès des jeunes lecteurs, voici une liste qui les ravira !
Des ouvrages pour les adultes et les plus jeunes, qui aident à découvrir et comprendre la culture sourde
Notre héros, sous le nom de code "César", documente les tortures au péril de sa vie...