Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
Riche de douze mille dessins et de cinquante mille estampes, le cabinet d'arts graphiques des musées d'Orléans est l'un des mieux dotés de France. Son histoire se confond avec celle de la passion de quelques hommes visionnaires - Desfriches, Bizemont, Marcille, Fourché - qui ont eu à coeur de conserver les traces les plus fragiles, mais aussi les plus significatives, du premier de tous les arts. Projection fulgurante d'une idée, recherche parfois hésitante ou mise au propre appliquée d'un projet, le dessin préside en effet à toutes les formes d'expression artistique.
Après avoir reçu les musées de Montauban, d'Angers et de Besançon, le musée du Domaine départemental de Sceaux accueille le musée des Beaux-Arts d'Orléans pour en exposer un florilège de près de deux cents feuilles réalisées entre la fin du XVIe siècle et la première moitié du XXe. Dans la diversité des techniques et des manières se révèle avec force la permanence d'une quête dont Vouet, Watteau, Boucher, Fragonard, David, Géricault, Ingres ou Picasso furent, parmi beaucoup d'autres, les héros.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
La romance cartonne auprès des jeunes lecteurs, voici une liste qui les ravira !
Des ouvrages pour les adultes et les plus jeunes, qui aident à découvrir et comprendre la culture sourde
Notre héros, sous le nom de code "César", documente les tortures au péril de sa vie...