Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Le prix de Rome ; le "grand tour" des architectes soviétiques sous Mussolini

Couverture du livre « Le prix de Rome ; le
Résumé:

À la mort de Lénine en 1924, les mouvements de l'avant-garde architecturale, dont le constructivisme, vibrent à l'unisson de la Révolution de 1917. Depuis 1921, ils apportent leur écot à la Nouvelle Politique Économique, au Plan d'électrification de l'URSS et essayent de définir une " esthétique... Voir plus

À la mort de Lénine en 1924, les mouvements de l'avant-garde architecturale, dont le constructivisme, vibrent à l'unisson de la Révolution de 1917. Depuis 1921, ils apportent leur écot à la Nouvelle Politique Économique, au Plan d'électrification de l'URSS et essayent de définir une " esthétique communiste " au service du prolétaire et de la kolkhozienne. L'Union Soviétique, l'Allemagne et les États-Unis forment alors la troïka de l'Internationale moderniste. Le premier plan quinquennal est lancé en 1928. Villes nouvelles et chantiers industriels tournent à plein régime. Davantage préoccupé par ces grands chantiers, Staline semble se désintéresser de l'enjeu architectural. Pourtant, à partir du concours pour le Palais des Soviets (1932) et de l'adoption du Plan Général de reconstruction de Moscou (1935), la Rome éternelle va devenir, au prix d'un face-à-face avec l'Italie fasciste, un " modèle " de réalisme socialiste inattendu...

Donner votre avis