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Cosa mentale ; art et télépathie au XXe siècle

Couverture du livre « Cosa mentale ; art et télépathie au XXe siècle » de Pascal Rousseau aux éditions Gallimard
  • Date de parution :
  • Editeur : Gallimard
  • EAN : 9782070107452
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Art et télépathie : ce sont là deux termes que l'histoire de l'art moderne a rarement eu l'occasion de croiser. C'est pourtant une piste incroyablement riche et inédite pour comprendre les transformations de l'art au xxe siècle. Pour la toute première fois dans un musée, réunissant une centaine... Voir plus

Art et télépathie : ce sont là deux termes que l'histoire de l'art moderne a rarement eu l'occasion de croiser. C'est pourtant une piste incroyablement riche et inédite pour comprendre les transformations de l'art au xxe siècle. Pour la toute première fois dans un musée, réunissant une centaine d'oeuvres convoquant une grande diversité de médias (peintures, dessins, sculptures, photographies, vidéos, films et installations), l'exposition « COSA MENTALE. Art et télépathie au xxe siècle » propose de relire l'aventure récente de l'art à partir de la fascination des artistes pour une transmission directe de la pensée et des émotions. Sous cet angle, le projet de l'avant-garde est moins de défaire le grand mensonge de la peinture (le trompe-l'oeil) que d'inventer une nouvelle relation, immédiate, entre l'artiste et le spectateur.
Suivant un parcours chronologique allant du symbolisme à l'art conceptuel, « COSA MENTALE » retrace l'histoire d'une utopie trop méconnue et pourtant majeure des avantgardes du xxe siècle : le devenir télépathique de l'art à l'ère de la révolution immatérielle des télécommunications. À partir des oeuvres de quelques grands artistes de la modernité, d'Edvard Munch à Vassily Kandinsky, de Joan Miró à Sigmar Polke, l'exposition montre comment ce fantasme d'une projection directe de la pensée, balayant les conventions du langage, aura un impact considérable sur la naissance des premières formes d'abstractions, mais aussi, de façon tout aussi surprenante, sur le surréalisme et son obsession pour le partage collectif de la création et la libération des automatismes.

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