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C'est un beau jour pour mourir - l'amerique de custer contre les indiens des plaines (1865-1890)

Couverture du livre « C'est un beau jour pour mourir - l'amerique de custer contre les indiens des plaines (1865-1890) » de James Welch aux éditions Albin Michel
Résumé:

Entendent résister à l'avancée des Blancs. La guerre de Sécession terminée, c'est à l'armée qu'incombe la tâche de régler le " problème indien ". Ironie de l'histoire, le 25 juin 1876, le général Custer et son régiment sont anéantis par " l'ennemi " sur les rives de la Little Bighorn. Ce... Voir plus

Entendent résister à l'avancée des Blancs. La guerre de Sécession terminée, c'est à l'armée qu'incombe la tâche de régler le " problème indien ". Ironie de l'histoire, le 25 juin 1876, le général Custer et son régiment sont anéantis par " l'ennemi " sur les rives de la Little Bighorn. Ce jour-là, Crazy Horse et Sitting Bull infligent à l'Amérique sa plus désastreuse défaite. Et pourtant, elle annonce la fin d'un monde : lors des années qui vont suivre, tous les Indiens finiront parqués sur des réserves. C'est la version indienne de l'Histoire que James Welch s'attache ici à faire revivre. Relatant par-delà les mythes et les malentendus un des épisodes les plus sombres de l'histoire américaine, il dit la fierté et le désespoir d'un peuple privé de ses droits, devenu étranger sur sa propre terre. Ce James Welch a écrit un livre qui fera date. Dans un récit passionné, il prend position en tant qu'écrivain, citoyen américain et, plus important encore, en tant qu'indien. Il nous donne à tous l'occasion de nous pencher sur ce que les tragédies de l'Histoire nous ont enseigné ou ce que nous n'avons pas su apprendre. James Welch ne fait pas l'apologie de la guerre, pas plus qu'il ne fait preuve de manichéisme. Il a peut-être écrit le premier livre historique qui donne le point de vue indien. Certains ne manqueront pas de l'accuser de révisionnisme, mais il ne fait qu'apporter des voix indiennes en complément à l'Histoire.

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