Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
Sur une planète où les premiers colons ont été laisser à l’abandon, l’arrivée d’une seconde vague voulant chasser les premiers passent mal. La guerre est déclarée. Si la seconde vague a l’avantage technologique, les premiers arrivants ont un atout non négligeable : les femmes qui portent un hôte peuvent se téléporter. Les jeunes femmes sont donc conscrites pour devenir des militaires ayant un rôle clé pour conserver la planète. Dans cet univers, les femmes sont donc écoutées, respectées et importantes. Ca semble trop beau pour être vrai, est ce que ça a toujours été le cas, est ce que ça va durer ? Entre formation militaire originale, stratégie, survie, guerre, manipulations et manigances internes, on est confronté à une histoire dense, addictive et aboutie. L’idée de départ et l’univers sont dingues. Plus la toile se met en place, plus on apprécie suivre cette aventure. Les dessins méritent aussi le terme de touffu. Ils empruntent les caractéristiques de différents styles selon les cases. Certaines sont très manga, d’autres plus comics voire bd franco-belge ou aquarelle.
C’est un éclectisme risqué mais l’équilibre trouvé fonctionne, c’est un coup de maitre. Chaque style de graphisme est lié à une situation type ce qui renforce l’immersion. C’est une saga originale, complexe et difficile à lacher. J’ai hate de lire la suite.
Sur une planète où les premiers colons ont été laisser à l’abandon, l’arrivée d’une seconde vague voulant chasser les premiers passent mal. La guerre est déclarée. Si la seconde vague a l’avantage technologique, les premiers arrivants ont un atout non négligeable : les femmes qui portent un hôte peuvent se téléporter. Les jeunes femmes sont donc conscrites pour devenir des militaires ayant un rôle clé pour conserver la planète. Dans cet univers, les femmes sont donc écoutées, respectées et importantes. Ca semble trop beau pour être vrai, est ce que ça a toujours été le cas, est ce que ça va durer ? Entre formation militaire originale, stratégie, survie, guerre, manipulations et manigances internes, on est confronté à une histoire dense, addictive et aboutie. L’idée de départ et l’univers sont dingues. Plus la toile se met en place, plus on apprécie suivre cette aventure. Les dessins méritent aussi le terme de touffu. Ils empruntent les caractéristiques de différents styles selon les cases. Certaines sont très manga, d’autres plus comics voire bd franco-belge ou aquarelle.
C’est un éclectisme risqué mais l’équilibre trouvé fonctionne, c’est un coup de maitre. Chaque style de graphisme est lié à une situation type ce qui renforce l’immersion. C’est une saga originale, complexe et difficile à lacher. J’ai hate de lire la suite.
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