Des ouvrages pour les adultes et les plus jeunes, qui aident à découvrir et comprendre la culture sourde
Que 72 pages lues avec difficulté ! Le pitch est attirant tout comme l’ambiance steampunk qui s’y profile, les dessins de Paris sont jolis mais les dessins des personnages ne sont pas agréables !
Par moment j’ai eu l’impression d’être à notre époque alors que c’est de la fantasy steampunk qui vire au fantastique puis tout aussi rapidement je me suis retrouvée dans un manga avec tous les codes que j’ai pu identifier dans le genre !
Une déception à laquelle j’attribue malgré tout 2 étoiles pour le Paris de l’époque et le fonds de l’histoire que j’ai perdu de vue assez rapidement !
Dommage, la couverture est sympathique et m’a promis quelque chose que je n’ai pas retrouvé.
#Wahkan #NetGalleyFrance
Paris 1889. Un tueur en série rôde sur la Tour Eiffel alors que l'Exposition universelle se prépare. L'Inspectrice Eléonore Kowalski est sur le coup et se voit affublée d'une jeune recrue, Jules Castignac. La traque peut commencer.
Le scénariste Maxe L'Hermenier place une intrigue polar dans un Paris rétro futuriste. On est bien en 1889 mais avec une dimension SF distillée plutôt habilement. Le récit est agréable à lire et offre une aventure complète divertissante.
Brice Cossu et Alexis Sentenac (dessinateurs notamment sur l'album Goldorak) croquent parfaitement le Paris Steampunk y plaçant pas mal de trouvailles astucieuses. Je dois avouer ne pas être trop fan des visages hyper expressifs qui rappellent les mangas et japanimes de mon enfance mais j'imagine que ça passera très bien auprès du jeune public.
Ce récit complet offre un polar rétro futuriste, frais et amusant. Une lecture sans prétention qui en appelle peut-être d'autres tant cet univers paraît déclinable sur des aventures supplémentaires.
David Eliot est un jeune garçon plutôt récalcitrant. Son père, autoritaire et brutal, ne supporte pas son dernier écart de conduite : renvoyé du prestigieux collège Beton ! L'opprobre ultime, le déshonneur !
Fort heureusement, une lettre arrive au domicile des Eliot au même moment.
Cette lettre, c'est une demande d'admission au collège Groosham Grange, établissement disciplinaire strict parfait pour redresser le jeune garçon, situé sur une île sans moyen de visite en dehors d'un seul et unique jour de vacances par an !
David y est envoyé dans l'heure.
Dans le train, il rencontre Jill et Jeffrey, eux aussi en route pour l'école, mais celle-ci leur à été présentée comme un collège pour jeune fille à l'une, et comme un camp d'entraînement militaire à l'autre.
Étrange...
Mais moins que les professeurs, l'ambiance et les élèves sur place !
Écrite presque 10 ans avant celle d'un célèbre sorcier à cicatrice, le roman jeunesse d'Horowitz dont s'est inspiré Maxe L'Hermenier possède tout ce qu'il faut pour faire un bon Chair de poule pour enfants.
Ambiance mystérieuse, personnages attachants, vampires, loups garous et autre chimère, un peu d'angoisse, du courage, des rencontres, de l'amitié et un peu de désobéissance. Le cocktail est parfait !
Et si vous y voyez une quelconque ressemblance avec les débuts de l'œuvre de J.K Rowling, c'est normal ! La dame est fan !
Secrets, esprit de camaraderie, magie, peurs et révélations font de cette histoire un excellent premier tome très complet où il se passe toujours quelque chose.
Et encore une fois, Clément Lefèvre nous gâte !
De la douceur dans les yeux de ces enfants brisés aux ambiances sinistres de cette île brumeuse, des couloirs humides aux lumières blafardes qui savent se faire chaleureuses au moment opportun, son trait doux et délicat emmène cette histoire encore plus loin.
Une belle alchimie se crée et il me tarde de retrouver David et ses camarades pour la suite !
Nouvelle adaptation en bulles, cette fois du célèbre roman jeunesse d'Anthony Horowitz.
Maxe l'Hermenier collabore ici avec Clément Lefèvre dont j’affectionne le crayon.
Le ton est donné en couverture et en effet on est vite dans une ambiance sombre dan s cette école qui n’est pas sans rappeler celle du célèbre sorcier. J’ai trouvé l’histoire sympathique, elle aura sûrement plus d’impact sur le public visé, un premier tome qui donne le ton mais très court. Graphiquement, sans surprise, j’ai adoré, un jeu de lumière adéquat dans un décor sombre avec des personnages variés au regard expressif.
Je soulignerai également la belle édition offrant du relief à la couverture et un signet.
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