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Martin Provost

Martin Provost
Martin Provost est né en 1957. Cinéaste, il a réalisé trois films (Tortilla y cinema, Le Ventre de Juliette et Séraphine. Il est également l'auteur de Bifteck (Phébus, 2010).

Avis sur cet auteur (8)

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    Couverture du livre « Bifteck » de Martin Provost aux éditions Libretto

    dominique petrone sur Bifteck de Martin Provost

    Mais quel étrange livre que celui ci....
    Voici André le boucher qui fait chanter les steak pour ces dames, boucher qui aime la chair, la bonne chair...
    Et le voilà précoce et qui va découvrir l'amour qui n'auras d'autre résultats que de faire grandir la file d'attente de la boucherie, car...
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    Mais quel étrange livre que celui ci....
    Voici André le boucher qui fait chanter les steak pour ces dames, boucher qui aime la chair, la bonne chair...
    Et le voilà précoce et qui va découvrir l'amour qui n'auras d'autre résultats que de faire grandir la file d'attente de la boucherie, car voilà notre boucher va se révéler "bon amant" et de ses escapades vont arrivés quelques jolis bébés que les mamans vont gentiment lui confié...
    Notre rocambolesque boucher va alors prendre une surprenante décision que je vous laisserais découvrir et vous invite a l'accompagner dans son voyage burlesque, drôle et imaginatif a souhait!!
    Un livre étonnant mais qui nous fait passer un excellent moment d'humour et de fantaisie.

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    Couverture du livre « Bifteck » de Martin Provost aux éditions Libretto

    Colette LORBAT sur Bifteck de Martin Provost

    Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils. Dès sa puberté, en pleine guerre de 14, André, fils unique de Loïc et Fernande, développe un don très particulier, celui de faire « chanter la chair » - et par n’importe laquelle : celle des femmes qui viennent faire la queue à la...
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    Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils. Dès sa puberté, en pleine guerre de 14, André, fils unique de Loïc et Fernande, développe un don très particulier, celui de faire « chanter la chair » - et par n’importe laquelle : celle des femmes qui viennent faire la queue à la boucherie Plomeur, dans l’espoir de goûter au plaisir suprême. André assume gaiement et avec talent le devoir conjugal des absents partis au front. Mais l’armistice survient et les maris reviennent. Un matin, André trouve devant la boucherie un panier en osier avec à l’intérieur, un bébé. Puis un deuxième, un troisième….Du jour au lendemain, voilà André père de sept enfants, et poursuivi par un époux jaloux décidé à lui faire la peau. Avec la chair de sa chair, André s’enfuit à Concarneau et affrète un bateau. Direction l’Amérique !

    Petit bouquin mais qui démarre au quart de tour. Pas le temps de penser, André arrive et tout s’emballe. La chair, la viande, il n’y a que cela de vrai !!!!!!!!!!!!
    Bon, reprenons. André est issu d’une famille de bouchers-charcutiers. C’est une histoire de famille…………….. Tout se passe très bien, ce petit garçon précoce apprend à lire, à compter et écrire dans la boutique de ses parents. La puberté arrive et là, des femmes de matelot à la sous-préfète, toutes les femmes du canton défilent dans la boutique dans l’espoir doigts d’André….. Et qui fait se pâmer l’heureuse élue. Je vous dois la vérité ; l’heureuse élue se retrouvera entre les mains expertes d’André car il a un DON : il fait chanter la chair de toutes ces femmes…………………
    Las, à force de faire chanter la chair, les petits fruits arrivent : 1 puis 2…. Jusqu’à 7 bébés sont déposés devant la boucherie au grand dam des parents qui en périssent.
    De harpiste soliste sur chair, André devient papa poule, puis marin sur cornu…………
    Nous entamons la deuxième partie de cet opus. Là, nous entrons dans une autre dimension. Les enfants se nourrissent de poissons et, surtout, de leur père. Ce voyage initiatique les emmène jusque sur une île déserte où André découvre que ses enfants n’ont plus besoin de lui et il retourne à la terre-mère et cela se passe comme une nouvelle naissance : il nait à la terre.

    Ce roman Atypique se déguste jusqu’à la moelle !!!!! Les mots vous font saliver sourire, réfléchir. Ce bouquin est plein d’une sensualité jouissive et gaie. En un mot, pardon, en 2 mots : j’ai adoré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 1heure trente de bonheur

    J’ai retrouvé la sensualité qui émanait de son film : Séraphine

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    Couverture du livre « Bifteck » de Martin Provost aux éditions Libretto

    Sophie Le Guillou sur Bifteck de Martin Provost

    c'est un conte un peu loufoque mais qui se lit facilement! en cherchant un peu on y trouve une allégorie du temps qui passe.

    c'est un conte un peu loufoque mais qui se lit facilement! en cherchant un peu on y trouve une allégorie du temps qui passe.

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    Couverture du livre « Bifteck » de Martin Provost aux éditions Libretto

    Véro Valade sur Bifteck de Martin Provost

    Si vous voulez vous échapper de cette période où tout fait grise mine, voici un véritable ovni littéraire qui vous surprendra et je l'espère vous émerveillera!!

    Ce livre atypique à mi-chemin entre la fable a été écrit par Martin Povost, cinéaste, il a réalisé trois films (...
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    Si vous voulez vous échapper de cette période où tout fait grise mine, voici un véritable ovni littéraire qui vous surprendra et je l'espère vous émerveillera!!

    Ce livre atypique à mi-chemin entre la fable a été écrit par Martin Povost, cinéaste, il a réalisé trois films ( Tortilla y cinema, Le ventre de Juliette et Séraphine qu'il vient de tourner avec Yolande Moreau).

    4 ième de couverture: Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils. Dès sa puberté, en pleine guerre de 14, André, fils unique de Loïc et Fernande, développe un don très particulier, celui de faire « chanter la chair » – et pas n’importe laquelle : celle des femmes qui viennent faire la queue à la boucherie Plomeur, dans l’espoir de goûter au plaisir suprême. André assume gaiement et avec talent le devoir conjugal des absents partis au front. Mais l’armistice survient et les maris reviennent. Un matin, André trouve devant la boucherie un panier en osier avec à l’intérieur un bébé. Puis un deuxième, un troisième, un quatrième... sont déposés devant sa porte. Du jour au lendemain, voilà André père de sept enfants et poursuivi par un mari jaloux décidé à lui nuire ! Afin de protéger la chair de sa chair pour qui il se découvre un amour infini, il décide de prendre la mer et de rallier les lointaines Amériques. En chemin, la remuante tribu échoue sur une île déserte…

    J'ai adoré ce livre très sensoriel où le toucher, le goût et l'odorat sont constamment sollicités. Provost aiguise notre appétit de lecteurs en nous offrant un conte moderne! J'ai été surprise par la syntaxe et le choix des mots empruntés au lexique de la boucherie!!!! Une invitation au rêve.... et en ces temps compliqués un regard sur la vie et sur l'amour....