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Bifteck

Couverture du livre « Bifteck » de Martin Provost aux éditions Libretto
  • Date de parution :
  • Editeur : Libretto
  • EAN : 9782369143574
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils. Dès sa puberté, en pleine guerre de 14, André, fils unique de Loïc et Fernande, se découvre un don très particulier, celui de faire « chanter la chair » - et pas n'importe laquelle. Celle des femmes qui viennent faire la queue à la... Voir plus

Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils. Dès sa puberté, en pleine guerre de 14, André, fils unique de Loïc et Fernande, se découvre un don très particulier, celui de faire « chanter la chair » - et pas n'importe laquelle. Celle des femmes qui viennent faire la queue à la boucherie Plomeur, dans l'espoir de goûter au plaisir suprême. André assume gaiement et avec talent le devoir conjugal des absents partis sur le front. Mais l'armistice survient et les maris reviennent. Un matin, André trouve devant la boucherie un panier en osier avec à l'intérieur un bébé, puis un deuxième, un troisième? Du jour au lendemain, le voilà père de sept enfants et poursuivi par un mari jaloux décidé à lui nuire. Afin de protéger la chair de sa chair pour qui il se découvre un amour infini, il décide de prendre la mer et de rallier les lointaines Amériques. En chemin, il échoue sur une île déserte.

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Avis (8)

  • André naît à Quimper dans la boucherie paternelle où il apprendra tout.
    Lire, compter et débiter la viande.
    Il fait « chanter la chair ».
    La viande bien sûr, mais aussi la chair des femmes esseulées.
    La file d'attente est interminable devant la boucherie Plomeur.
    Mais la guerre se termine...
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    André naît à Quimper dans la boucherie paternelle où il apprendra tout.
    Lire, compter et débiter la viande.
    Il fait « chanter la chair ».
    La viande bien sûr, mais aussi la chair des femmes esseulées.
    La file d'attente est interminable devant la boucherie Plomeur.
    Mais la guerre se termine et les hommes rentrent.
    Alors un matin, un panier d'osier contenant un bébé est déposé devant la porte de la boucherie.
    Puis deux, trois........ jusqu'à sept.
    Malgré son jeune âge, André est ravi de cette progéniture est endosse avec bonheur son rôle de père.

    Un court roman jubilatoire.
    C'est un conte, une fable , qui se poursuit dans un voyage qui touche au fantastique.
    J'ai adoré le style, l'humour, l'histoire.
    Ce qui était improbable mais compréhensible au début devient insensé, de la science fiction et se termine par une invention qui a la part belle de nos jours.
    Quelle imagination, chez Martin Provost.
    Quelle sensibilité aussi.
    Amour paternel, amour charnel, un vrai bonheur.

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  • Mais quel étrange livre que celui ci....
    Voici André le boucher qui fait chanter les steak pour ces dames, boucher qui aime la chair, la bonne chair...
    Et le voilà précoce et qui va découvrir l'amour qui n'auras d'autre résultats que de faire grandir la file d'attente de la boucherie, car...
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    Mais quel étrange livre que celui ci....
    Voici André le boucher qui fait chanter les steak pour ces dames, boucher qui aime la chair, la bonne chair...
    Et le voilà précoce et qui va découvrir l'amour qui n'auras d'autre résultats que de faire grandir la file d'attente de la boucherie, car voilà notre boucher va se révéler "bon amant" et de ses escapades vont arrivés quelques jolis bébés que les mamans vont gentiment lui confié...
    Notre rocambolesque boucher va alors prendre une surprenante décision que je vous laisserais découvrir et vous invite a l'accompagner dans son voyage burlesque, drôle et imaginatif a souhait!!
    Un livre étonnant mais qui nous fait passer un excellent moment d'humour et de fantaisie.

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  • Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils. Dès sa puberté, en pleine guerre de 14, André, fils unique de Loïc et Fernande, développe un don très particulier, celui de faire « chanter la chair » - et par n’importe laquelle : celle des femmes qui viennent faire la queue à la...
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    Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils. Dès sa puberté, en pleine guerre de 14, André, fils unique de Loïc et Fernande, développe un don très particulier, celui de faire « chanter la chair » - et par n’importe laquelle : celle des femmes qui viennent faire la queue à la boucherie Plomeur, dans l’espoir de goûter au plaisir suprême. André assume gaiement et avec talent le devoir conjugal des absents partis au front. Mais l’armistice survient et les maris reviennent. Un matin, André trouve devant la boucherie un panier en osier avec à l’intérieur, un bébé. Puis un deuxième, un troisième….Du jour au lendemain, voilà André père de sept enfants, et poursuivi par un époux jaloux décidé à lui faire la peau. Avec la chair de sa chair, André s’enfuit à Concarneau et affrète un bateau. Direction l’Amérique !

    Petit bouquin mais qui démarre au quart de tour. Pas le temps de penser, André arrive et tout s’emballe. La chair, la viande, il n’y a que cela de vrai !!!!!!!!!!!!
    Bon, reprenons. André est issu d’une famille de bouchers-charcutiers. C’est une histoire de famille…………….. Tout se passe très bien, ce petit garçon précoce apprend à lire, à compter et écrire dans la boutique de ses parents. La puberté arrive et là, des femmes de matelot à la sous-préfète, toutes les femmes du canton défilent dans la boutique dans l’espoir doigts d’André….. Et qui fait se pâmer l’heureuse élue. Je vous dois la vérité ; l’heureuse élue se retrouvera entre les mains expertes d’André car il a un DON : il fait chanter la chair de toutes ces femmes…………………
    Las, à force de faire chanter la chair, les petits fruits arrivent : 1 puis 2…. Jusqu’à 7 bébés sont déposés devant la boucherie au grand dam des parents qui en périssent.
    De harpiste soliste sur chair, André devient papa poule, puis marin sur cornu…………
    Nous entamons la deuxième partie de cet opus. Là, nous entrons dans une autre dimension. Les enfants se nourrissent de poissons et, surtout, de leur père. Ce voyage initiatique les emmène jusque sur une île déserte où André découvre que ses enfants n’ont plus besoin de lui et il retourne à la terre-mère et cela se passe comme une nouvelle naissance : il nait à la terre.

    Ce roman Atypique se déguste jusqu’à la moelle !!!!! Les mots vous font saliver sourire, réfléchir. Ce bouquin est plein d’une sensualité jouissive et gaie. En un mot, pardon, en 2 mots : j’ai adoré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 1heure trente de bonheur

    J’ai retrouvé la sensualité qui émanait de son film : Séraphine

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  • c'est un conte un peu loufoque mais qui se lit facilement! en cherchant un peu on y trouve une allégorie du temps qui passe.

    c'est un conte un peu loufoque mais qui se lit facilement! en cherchant un peu on y trouve une allégorie du temps qui passe.

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  • Si vous voulez vous échapper de cette période où tout fait grise mine, voici un véritable ovni littéraire qui vous surprendra et je l'espère vous émerveillera!!

    Ce livre atypique à mi-chemin entre la fable a été écrit par Martin Povost, cinéaste, il a réalisé trois films (...
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    Si vous voulez vous échapper de cette période où tout fait grise mine, voici un véritable ovni littéraire qui vous surprendra et je l'espère vous émerveillera!!

    Ce livre atypique à mi-chemin entre la fable a été écrit par Martin Povost, cinéaste, il a réalisé trois films ( Tortilla y cinema, Le ventre de Juliette et Séraphine qu'il vient de tourner avec Yolande Moreau).

    4 ième de couverture: Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils. Dès sa puberté, en pleine guerre de 14, André, fils unique de Loïc et Fernande, développe un don très particulier, celui de faire « chanter la chair » – et pas n’importe laquelle : celle des femmes qui viennent faire la queue à la boucherie Plomeur, dans l’espoir de goûter au plaisir suprême. André assume gaiement et avec talent le devoir conjugal des absents partis au front. Mais l’armistice survient et les maris reviennent. Un matin, André trouve devant la boucherie un panier en osier avec à l’intérieur un bébé. Puis un deuxième, un troisième, un quatrième... sont déposés devant sa porte. Du jour au lendemain, voilà André père de sept enfants et poursuivi par un mari jaloux décidé à lui nuire ! Afin de protéger la chair de sa chair pour qui il se découvre un amour infini, il décide de prendre la mer et de rallier les lointaines Amériques. En chemin, la remuante tribu échoue sur une île déserte…

    J'ai adoré ce livre très sensoriel où le toucher, le goût et l'odorat sont constamment sollicités. Provost aiguise notre appétit de lecteurs en nous offrant un conte moderne! J'ai été surprise par la syntaxe et le choix des mots empruntés au lexique de la boucherie!!!! Une invitation au rêve.... et en ces temps compliqués un regard sur la vie et sur l'amour....

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  • André est boucher et possède un don assez spectaculaire : celui de "faire chanter la chair". Durant la guerre, les hommes étant au combat, les femmes du village viennent se consoler chez André ! Lorsque la guerre prend fin et que les hommes sont de retour, il retrouve 7 enfants à sa porte. Il...
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    André est boucher et possède un don assez spectaculaire : celui de "faire chanter la chair". Durant la guerre, les hommes étant au combat, les femmes du village viennent se consoler chez André ! Lorsque la guerre prend fin et que les hommes sont de retour, il retrouve 7 enfants à sa porte. Il décide alors de fermer la boucherie pour s'occuper et materner ses petits. Mais le père d'une des fillettes menace André. Ce dernier choisit alors de s'enfuir avec ses enfants...

    J'avais repéré ce titre depuis un bon moment et sa sortie en poche m'a poussée à la lire. L'histoire du début est assez comique et m'a beaucoup attiré... puis petit à petit, ça devient un peu n'importe quoi. Alors oui, il s'agit bien évidemment d'un conte assez fantasque, mais je n'ai pas du tout accroché à partir du moment où André s'en va avec ses enfants par bateau vers les Amériques... Je n'en dis pas plus, mais je suis ressortie de cette lecture, assez déçue. C'est dommage surtout que le début semblait assez prometteur... mais bon ce n'est que mon avis personnel !
    Il faut vraiment avoir une ouverture d'esprit car la deuxième partie du roman, est complétement fantastique et donc non réaliste... J'ai vraiment du mal à le conseiller ou même à en dire du bien, ce qui est pourtant assez rare venant de ma part...
    Il se lit très vite (malgré la fin étrange ... je sais je me répète !) car il s'agit d'un très court roman (et heureusement, sinon j'aurais très vite abandonné...)

    Bref, si vous voulez quand même le lire, faites-le et venez me dire ce que vous en avez pensé !

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  • Martin Provost est un homme de cinéma. On le connaît notamment pour Séraphine (avec Yolande Moreau), et récompensé en 2009 par 7 César. Bifteck est son troisième roman. C’est un texte très court, et à sa lecture on imagine déjà le film qui pourra en être tiré, tant les images naissent avec...
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    Martin Provost est un homme de cinéma. On le connaît notamment pour Séraphine (avec Yolande Moreau), et récompensé en 2009 par 7 César. Bifteck est son troisième roman. C’est un texte très court, et à sa lecture on imagine déjà le film qui pourra en être tiré, tant les images naissent avec facilité.

    Des rebondissements en pagaille, du loufoque qui tend au merveilleux, de l’humour à chaque page et des vérités grandes ou petites, des bons mots et des subtilités de langue…

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