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Karen Foley

Karen Foley

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Avis sur cet auteur (18)

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    Couverture du livre « L'ivresse des sens » de Karen Foley aux éditions Harlequin

    Caro Caro sur L'ivresse des sens de Karen Foley

    Dédoat, fils d’un cuisinier enrobé et d’une danseuse trop maigre, a depuis sa naissance un physique repoussant, à tel point que ses parents le cachent.

    Doué cependant d’une intelligence fulgurante, son entrée à l’école est un choc et se passe de la plus horrible des manières. Il prend...
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    Dédoat, fils d’un cuisinier enrobé et d’une danseuse trop maigre, a depuis sa naissance un physique repoussant, à tel point que ses parents le cachent.

    Doué cependant d’une intelligence fulgurante, son entrée à l’école est un choc et se passe de la plus horrible des manières. Il prend conscience de son apparence, sujet de moquerie tout comme son prénom ou encore son esprit. Affublé d’un corset pendant de nombreuses années pour lui éviter de devenir bossu, il se réfugie dans la contemplation puis l’étude des oiseaux. Son étrangeté le rend cependant attirant pour la gent féminine et il enchaîne les conquêtes, sans passion aucune.

    Trémière, fille de Rose et de Lierre, est née belle comme le jour. Mais rien ne semble l’intéresser, elle passe ses journées assise sans bouger, plongée dans la contemplation, comme en extase. Sa mère, la jugeant bête, la confie à sa grand-mère qui l’adore et l’isole du monde. Son expérience de l’école est également problématique. Isolée, elle enchaîne tant bien que mal les années, sans susciter l’intérêt des autres ni découvrir le sien. Jusqu’au jour où elle se fait engager comme mannequin pour mettre en valeur des bijoux.

    Devenus célèbres tous deux, c’est sur le plateau d’une émission télévisée qu’ils se rencontrent, et tombent littéralement amoureux. N’étaient-ils pas faits pour se compléter parfaitement… ?

    Comme toujours les romans d’Amélie Nothomb me fascinent. Avec son imagination plus que débordante, elle crée des personnages hautement improbables, si décalés mais pourtant tellement vrais et d’aplomb dans leur réalité. En découle un récit à la fois joyeux et cruel, qui fait réfléchir et divertit. Cette fois elle a puisé son inspiration dans Riquet à la houppe, un conte de Charles Perrault, que j’ai relu ensuite. J’avoue avoir beaucoup aimé et la version initiale et celle d’Amélie ! Un roman à mettre entre toutes les mains.

    https://mesmotsmeslivres.wordpress.com/2017/02/04/riquet-a-la-houppe-damelie-nothomb/

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    Couverture du livre « L'ivresse des sens » de Karen Foley aux éditions Harlequin

    Amandine Brion sur L'ivresse des sens de Karen Foley

    Enide et Honorat eurent un fils qu’ils prénommèrent Déodat. Malheureusement pour eux, non seulement ce fut un bébé très laid, mais il le resta toute son enfance, mais aussi durant toute son adolescence et même une fois adulte. L’extrême laideur de Déodat fit de lui un enfant moqué et rejeté par...
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    Enide et Honorat eurent un fils qu’ils prénommèrent Déodat. Malheureusement pour eux, non seulement ce fut un bébé très laid, mais il le resta toute son enfance, mais aussi durant toute son adolescence et même une fois adulte. L’extrême laideur de Déodat fit de lui un enfant moqué et rejeté par les autres. Cela eut pour conséquence de forger son caractère en faisant de lui un garçon doté d’un grand sens de l’observation et de l’analyse. Déodat était un garçon intelligent, qui fut toujours en avance sur son âge depuis sa naissance.

    Quand Rose et Lierre eurent une fille, ils l’appelèrent Trémière. En effet, quel meilleur choix de prénom pour le fruit de la rose et du lierre ? Trémière fut toujours considérée d’une extrême beauté, de son premier jour à l’âge adulte. Néanmoins, cela ne lui fut pas plus facile à vivre que la laideur de Déodat. Etre doté d’une beauté hors norme suscite également le rejet des autres. Par ailleurs, la naïvité et la simplicité d’esprit de Trémière ne l’aidaient pas à se faire des amis. Elle fut elle aussi le souffre-douleur de ses camarades d’école. Ce rejet combiné à sa simplicité lui valurent une étrange capacité à la contemplation.

    Amélie Nothomb réécrit le conte de Charles Perrault, en le situant dans un Paris contemporain. Elle ne cherche pas à le réinventer ni vraiment à le revisiter, mais à le développer. Pour cela, elle se focalise sur les années d’enfance de Déodat et de Trémière, en racontant la façon dont ces deux enfants se sont construits malgré un physique atypique (voire « monstrueux »). De ce point de vue, ce conte a quelque chose d’universel puisqu’il parle de la méchanceté enfantine et du rejet (voire du harcèlement).

    Je suis agréablement surprise par le Riquet à la houppe d’Amélie Nothomb. Cela faisait en effet de nombreuses années que je n’étais plus emballée par ses romans. Alors même qu’elle n’invente rien de nouveau dans ce conte, elle réussit à l’écrire et à le développer avec une justesse et une sincérité qui m’ont beaucoup touchées. Son roman-conte est très fidèle au conte de Charles Perrault, tout en réussissant l’exploit de l’améliorer en le modernisant.

    Que tous ceux qui boudent Amélie Nothomb depuis quelques années n’hésitent pas à se lancer dans ce très joli conte !

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    Couverture du livre « L'ivresse des sens » de Karen Foley aux éditions Harlequin

    Christophe85 sur L'ivresse des sens de Karen Foley

    Ce roman est une réécriture du "Riquet à la Houppe" de Charles Perrault parue en 1697.
    Pour en savoir plus sur ce conte populaire, je vous invite à lire l'article de Wikipédia :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Riquet_à_la_houppe

    L'auteure nous raconte l'histoire de Déodat, un garçon très...
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    Ce roman est une réécriture du "Riquet à la Houppe" de Charles Perrault parue en 1697.
    Pour en savoir plus sur ce conte populaire, je vous invite à lire l'article de Wikipédia :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Riquet_à_la_houppe

    L'auteure nous raconte l'histoire de Déodat, un garçon très laid mais très intelligent et de Trémière, une fille très belle mais "sans esprit." Avec humour et passion, elle retrace leur parcours, leur vie de l'enfance jusqu’à l'âge adulte.
    Comme à chaque fois, Amélie Nothomb excelle dans l'art des prénoms. C''est devenu en quelque sorte sa marque de fabrique.
    L'amour tient une place centrale dans l'histoire. En effet même si au départ tout les oppose (l'aspect physique, les facultés intellectuelles..) Deodat et Trémière vont finir par se rencontrer et s'aimer follement.

    Conclusion : un très joli conte revu à la "sauce Nothomb" qui procure un vrai plaisir de lecture.

    Je vous le recommande vivement !

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    Couverture du livre « L'ivresse des sens » de Karen Foley aux éditions Harlequin

    Anne-Cécile (Cousines de lectures) sur L'ivresse des sens de Karen Foley

    Une rentrée littéraire (je sais, je suis en retard) n'en serait pas une sans nouveau livre d'Amélie NOTHOMB, qui depuis de nombreuses années publie un livre à la fin de chaque mois d'août.

    Dans RIQUET A LA HOUPPE, Amélie NOTHOMB nous narre les destins croisés de Déodat et Trémière. Le...
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    Une rentrée littéraire (je sais, je suis en retard) n'en serait pas une sans nouveau livre d'Amélie NOTHOMB, qui depuis de nombreuses années publie un livre à la fin de chaque mois d'août.

    Dans RIQUET A LA HOUPPE, Amélie NOTHOMB nous narre les destins croisés de Déodat et Trémière. Le premier est épouvantablement laid mais fort intelligent, la seconde est magnifique mais désespérement sotte.

    Comme d'habitude, aucun résumé du livre en quatrième de couverture, sûrement parce qu'il est impossible de réduire à quelques lignes les histoires - pourtant toujours courtes - qui sortent de la tête d'Amélie NOTHOMB. Elle adapte ici le conte de PERRAULT, et je dois avouer que celui-ci m'était totalement inconnu.

    Lorsqu'on aime un auteur, la déception que nous provoque un de ses livres est souvent à la mesure de notre amour.

    Or j'adore Amélie NOTHOMB. Son côté décalé, dans la vie comme dans ses livres, son humour, son cynisme, sa passion pour le champagne, les prénoms farfelus de ses personnages, les contes qu'elle revisite, la subtilité de son écriture et ce talent pour évoquer des choses parfois très sérieuses au travers d'histoires qui paraissent légères et superficielles à celui qui ne va pas plus loin que le bout de son nez.

    C'est dire si RIQUET A LA HOUPPE m'a fâchée. Il m'est déjà arrivé de ne pas adhérer totalement à un livre d'Amélie NOTHOMB, mais j'y trouvais toujours de quoi conclure par un "pas si mal, mais peut mieux faire, et a d'ailleurs déjà fait beaucoup mieux". Mais j'avoue que cet opus-là ne mérite même pas les encouragements. Du courage, c'est à moi qu'il en a fallu pour ne pas abandonner cette lecture en route, c'est dire... étant donné qu'en 30 ans de lecture c'est un seul et unique livre que je n'ai pas terminé...

    L'auteur m'a totalement perdue. Je n'ai peut-être rien compris, mais je n'y ai rien retrouvé de tout ce que j'aime chez elle. Bien sûr, la qualité de l'écriture est toujours là mais quid de l'humour, des jeux de mots, du sens caché de l'histoire? Pour moi en fait, d'histoire il n'y en a pas, et que dire des envolées d'Amélie NOTHOMB sur la passion de Déodat pour les oiseaux? J'ai soupiré et sauté quelques lignes. Je suis pourtant habituée et friande des délires de l'auteur, mais quand ils servent l'histoire ou les personnages, et j'ai trouvé que cela n'était pas le cas, qu'ici ça n'apportait rien. Les personnages enfin : leurs prénoms singuliers si caractéristiques d'Amélie NOTHOMB ne suffisent pas à les rendre attachants, leurs malheurs comme leur bonheur m'ont laissée totalement indifférente.

    Allez, ce raté ne remet pas en cause les pépites qu'Amélie NOTHOMB est capable de produire. Si vous êtes déjà fan, vous le savez. Si vous découvrez l'auteur, ne vous arrêtez surtout pas à mon avis d'amoureuse décue et lisez sans plus attendre HYGIENE DE L'ASSASSIN, STUPEUR ET TREMBLEMENTS, METAPHYSIQUE DES TUBES, et surtout, surtout, UNE FORME DE VIE et ACIDE SULFURIQUE. Il y a quinze Amélie NOTHOMB dans ma bibliothèque, et assurément seize en août 2017 : amoureuse trompée mais fidèle!

    http://cousineslectures.canalblog.com/archives/2016/12/11/34659585.html

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