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50 millions de lecteurs...
Je ne devrais pas dire ça, mais ça m'est rapidement tombé des mains, pourtant j'ai essayé de m'accrocher sur une 50aine de pages.
N'est pas philosophe qui veut, snifff ;(.
Du coup, ça fait 50 millions - 1.
50 millions de lecteurs pour le roman original de Jostein Gaarder et je ne l’ai pas lu.
Il faut dire que le souvenir des cours de philo où le prof partait un peu dans tous les sens ne m’y a pas encouragée.
La sortie du premier tome de cette BD était donc l’occasion rêvée pour améliorer mes connaissances en philosophie, matière que j’ai toujours trouvé assez complexe.
C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai suivi Sophie partie à la découverte des grands courants philosophiques de la Grèce antique au Baroque après avoir reçu de mystérieux messages dans sa boîte aux lettres lui demandant « Qui es-tu ? » et « D’où vient le monde ? ».
La façon dont la jeune fille, tantôt géante, tantôt minuscule, est projetée au cœur des époques et des réflexions et traverse les décors est originale et m’a parfois rappelé Alice au Pays des Merveilles.
Cette adaptation pleine d’humour et très actuelle nous représente une Sophie engagée dans l’écologie et féministe qui n’hésite pas à se mettre en colère et à « décrocher » le phylactère lorsqu’Aristote déclare que « La femme est un homme imparfait ».
Vincent Zabus (auteur d’origine namuroise) et le dessinateur Nicoby nous offrent un très bel ouvrage qui nous permet de découvrir les fondements de la philosophie de manière ludique.
Un indispensable que je ne manquerai pas de consulter souvent et qui m’amènera peut-être à lire le roman original.
Le monde de Sophie, tome 1, la philo de Socrate à Galilée.
Le tome 2 (le dernier) est prévu pour l’automne 2023.
La fille du directeur de cirque a disparu. Kidnappée. Prétendue noyée.
La fille du directeur de cirque, elle a trois ans. N'a plus de maman. Très vite, du père non plus il ne restera rien. Les souvenirs s'estompent. Trompent.
Parce qu'on ne sait plus parfois. Ce qui est souvenir et ce qui est souvenir d'une chose imaginée.
C'est l'une des premières histoires que raconte Petter. Il est un très jeune garçon, la première fois, peut-être quatre ans.
Parce qu'à quatre ans, Petter sait lire et écrire.
Il sait des histoires.
Tellement d'histoires qui vont et viennent dans sa tête, en ébullition constante.
Petter est précoce. HPI. Neuro-atypique. Surdoué.
Dites-le comme vous voulez.
Petter grandit avec un père qu'il voit peu, d'abord une fois par semaine. Puis une fois par mois. Avec une mère comme une princesse ou une sorcière, en tout cas elle est là, elle prend toute la place dans le conte. Toute la place. Avant de mourir.
Parce qu'il n'a jamais voulu être écrivain, Petter les vend, ses ébauches de romans, ses esquisses de théâtre, ses tours et contours d'histoires. Il vend des idées à des auteurs en mal d'imagination. Comme ça qu'il gagne sa vie.
Qu'il la gagne et la dépense.
Il y aura beaucoup de femmes dans sa vie. Pas autant que d'histoires, mais quand même. Puis un jour, il y en aura une.
A ne plus savoir ce qui est souvenir et ce qu'on a imaginé...
J'ai laissé l'auteur me mener, me malmener aussi parfois. Non pas que je m'ennuyais, mais voilà, les choses suivaient leur cours, pas de quoi en faire toute une histoire.
La dernière partie du livre a justifié tout le reste.
Je n'ai pas été surprise, plutôt impressionnée par la construction du roman. Très très bien fait, absolument maîtrisé.
La fille du directeur de cirque a disparu. Kidnappée. Prétendue noyée.
La fille du directeur de cirque, elle a trois ans. N'a plus de maman. Très vite, du père non plus il ne restera rien. Les souvenirs s'estompent. Trompent.
Parce qu'on ne sait plus parfois. Ce qui est souvenir et ce qui est souvenir d'une chose imaginée.
C'est l'une des premières histoires que raconte Petter. Il est un très jeune garçon, la première fois, peut-être quatre ans.
Parce qu'à quatre ans, Petter sait lire et écrire.
Il sait des histoires.
Tellement d'histoires qui vont et viennent dans sa tête, en ébullition constante.
Petter est précoce. HPI. Neuro-atypique. Surdoué.
Dites-le comme vous voulez.
Petter grandit avec un père qu'il voit peu, d'abord une fois par semaine. Puis une fois par mois. Avec une mère comme une princesse ou une sorcière, en tout cas elle est là, elle prend toute la place dans le conte. Toute la place. Avant de mourir.
Parce qu'il n'a jamais voulu être écrivain, Petter les vend, ses ébauches de romans, ses esquisses de théâtre, ses tours et contours d'histoires. Il vend des idées à des auteurs en mal d'imagination. Comme ça qu'il gagne sa vie.
Qu'il la gagne et la dépense.
Il y aura beaucoup de femmes dans sa vie. Pas autant que d'histoires, mais quand même. Puis un jour, il y en aura une.
A ne plus savoir ce qui est souvenir et ce qu'on a imaginé...
J'ai laissé l'auteur me mener, me malmener aussi parfois. Non pas que je m'ennuyais, mais voilà, les choses suivaient leur cours, pas de quoi en faire toute une histoire.
La dernière partie du livre a justifié tout le reste.
Je n'ai pas été surprise, plutôt impressionnée par la construction du roman. Très très bien fait, absolument maîtrisé.
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