Du suspense, des enquêtes et des mystères pour les enfants et les ados !
Ça sent la pègre tout ça... Un empire bâti sur des valeurs bien immorales. Pas totalement surpris.
Je ne suis pas un lecteur habituel de Largo Winch, mais on retrouve l'argent et l'intérêt pour les femmes.
Sauf à recoller les morceaux au tome 3, je ne vois pas de lien marquant avec la série native.
Philippe Berthet reste le roi des Pin-ups !!!
Voici ma première lecture d'un Thorgal et j'ai adoré.
J'ai été tenue en haleine du début à la fin ; et quelle fin !
Les dessins et le scenario sont remplis de brutalité, de suspense mais aussi de solidarité et de courage.
Bien sûr, il y a les méchants et les gentils.
On retient son souffle, on assiste à un accouchement peu commun, on suit un petit garçon plein de courage et un père prêt à tout pour sauver les siens.
Un plaisir de lecture.
Dans le premier tome de La fortune des Winczlav, nous faisions connaissance avec Vanko Winczlav, qui avait dû quitter le Monténégro en 1848 pour des raisons politiques.
Il s'était installé aux États-Unis et la deuxième génération, avec ses fils Milan et Sandor, nous permettait d’en savoir plus sur la famille Winczlav, en couvrant une période allant jusqu’en 1910.
Avec le tome 2, ce sont les enfants de Milan Winczlav, Thomas et Lisa, qui nous font voyager dans l'Oklahoma et en Europe, avec en toile de fond, la Première Guerre mondiale.
En effet, Milan et sa femme Julie Lafleur, la tireuse à la carabine, se sont séparés peu de temps après la naissance de leurs jumeaux. Julie est partie en France avec Lisa. C’est là que, devenue adulte, cette dernière s’est passionnée pour l’aviation et particulièrement les exploits de Louis Blériot.
Ayant appris à piloter, elle ne pense plus dorénavant qu’à se mesurer aux plus grands, en particulier le fameux Baron Rouge (Manfred von Richtofen 1892-1918).
Tom, à la suite du décès de son grand-père maternel, se retrouve à la tête d’une distillerie de whisky. Mais l’attrait qu’il a pour les femmes et la mise en place du Volstead Act (instaurant la Prohibition) ne risquent-ils pas de mettre en péril sa fortune naissante ?
C’est un plaisir de découvrir cette troisième génération de la famille Winczlav, qui va bientôt devenir Winch. Les deux premiers albums de cette série, ainsi que le troisième (Danitza 1965 à venir) peuvent, sans aucun problème, être lus indépendamment des albums de la série originelle, Largo Winch.
Ce récit insère habilement une histoire familiale fictive dans des événements historiques importants tels que la Guerre de Sécession (1861-1865) ou la Guerre de 14-18, mais également la Ruée vers l’Ouest (1848) et vers l’Or noir (1860), la Prohibition (1919-1933), le Krach de 1929.
On peut se rendre compte, avec cette saga initiée par Jean Van Hamme (scénario) et Philippe Berthet (dessin), qu'une fortune peut se faire, ou se défaire, en raison des affres de l’Histoire.
Vivement le dernier tome de cette série, qui nous dévoile la façon dont a été bâti l'empire légué par Nerio Winch à son fils adoptif Largo.
dans le dernier espadon , le scenariste s empare pour al 3e fois de l univers d edgar j jacobs, le créateur de la serie, avec une gourmandise evidente
ici, l inalterable olrik , refourgue le dernier des espadons à l IRA qui souhaite faire sauter Buckingham palace. Van hamme sublime l univers de jacobs en apposant sa propre patte
il donne vie avec encore plus d humanité que d habitude aux deux héros
deguisements, rebondissements , il ne manque rien, pas meem un repas au centaur club, le repaire de blake et mortimer
le tout sublimé par le trait de teun Berserik et peter van Dongen
pour son dernier scenario de Blake et Mortimer , Van hamme signe un adieu magistral à la série
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