Les grands maitres de la grande loge de france du xviiie au xxiie siecle

• Date de parution : 04/05/2022
• Editeur : Numerilivre
• EAN : 9782366321708
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : (-)
• Collection : (-)
• Genre : Sciences appliquées
• Thème : Sciences appliquées
• Prix littéraire(s) : (-)

L'histoire de la Grande Loge de France demeure mal connue, y compris de ses membres pour qui les noms des Grands Maîtres successifs ne répandent, généralement, qu'un faible écho sur les colonnes de leur loge, en particulier ceux du passé. Afin de rectifier cette singulière atrophie mémorielle,... Voir plus

L'histoire de la Grande Loge de France demeure mal connue, y compris de ses membres pour qui les noms des Grands Maîtres successifs ne répandent, généralement, qu'un faible écho sur les colonnes de leur loge, en particulier ceux du passé. Afin de rectifier cette singulière atrophie mémorielle, cet ouvrage présente, pour la première fois, la vie, l'action et l'oeuvre de tous ceux qui ont assuré la direction de la plus ancienne Obédience française. Et ce, depuis 1743, date de l'institutionnalisation du terme de Grande Loge de France, jusqu'à nos jours, en passant par les années 1822-1895, où le Suprême Conseil de France administra les loges écossistes, via une Obédience portant le titre de Grande Loge Centrale de France et son chef celui de Grand Commandeur Grand Maître. Depuis 1895 les Grands Maîtres ont pris, seuls, le relai, mais sans pour autant être mieux identifiés que leurs prédécesseurs. Cette galerie de portraits biographiques, étalée sur trois siècles et plus, apporte donc un éclairage nouveau sur l'histoire de la Grande Loge de France, souligne sa spécificité comme ses valeurs fondamentales et redonne vie à un certain nombre de personnalités de l'Ecossisme, dont certaines ont, parallèlement servi l'histoire de la Nation. Voilà pourquoi ces quarante-trois personnages méritent sans doute que soit conservée leur mémoire, tant à l'intérieur de l'Obédience qu'à l'extérieur, puisqu'ils rappellent qu'il ne saurait y avoir d'Art Royal sans hommes pour le faire vivre, hommes totalement différents les uns des autres et donc, de ce fait, parfaitement complémentaires.