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Stephane Corvisier

Stephane Corvisier
Né à Paris en 1973, Stéphane Corvisier a fait des études de lettres et de théâtre. Il est aujourd'hui professeur et travaille occasionnellement pour le cinéma.

Avis sur cet auteur (4)

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    Couverture du livre « Reine de nuit » de Stephane Corvisier aux éditions Grasset Et Fasquelle

    Joris Carabia sur Reine de nuit de Stephane Corvisier

    Très surpris par le déroulement de l'intrigue, Monsieur Corvisier à su mener jusqu'au bout ses promesses en termes de langage et personnages. Bravo !

    Très surpris par le déroulement de l'intrigue, Monsieur Corvisier à su mener jusqu'au bout ses promesses en termes de langage et personnages. Bravo !

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    Couverture du livre « Drama queen palace » de Stephane Corvisier aux éditions Grasset Et Fasquelle

    Virginie H sur Drama queen palace de Stephane Corvisier

    Grandeur et décadence...Homosexualité et alcool...pour se perdre, s'oublier, étourdir la honte et la solitude.

    Une tragédie servie par une narration (trop) précieuse à grands renforts d'interjections italiennes ou de locutions latines, des phrases (trop) travaillées, une ambiance (trop)...
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    Grandeur et décadence...Homosexualité et alcool...pour se perdre, s'oublier, étourdir la honte et la solitude.

    Une tragédie servie par une narration (trop) précieuse à grands renforts d'interjections italiennes ou de locutions latines, des phrases (trop) travaillées, une ambiance (trop) nostalgique...

    Beaucoup de "trop" dans ce court roman ! Je suis passée à côté, insensible à la douleur des personnages, à l'émotion exacerbée (celle d'Armand prof homosexuel et musicologue, celle de Fabiola, diva fragile).
    Je n'ai pas compris la finalité de ce livre comme s'il n'était que le constat d'une déchéance, qu'un état des lieux avant la chute.
    Dommage !

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    Couverture du livre « Drama queen palace » de Stephane Corvisier aux éditions Grasset Et Fasquelle

    Yannick Chassort sur Drama queen palace de Stephane Corvisier

    Son premier roman, Reine de nuit, publié en 2011, a remporté le prix Mottart de l’Académie française, prix soutenant la création littéraire. Véritable épopée burlesque, ce premier ouvrage a révélé un auteur dont la langue, douce et délicate, devenait brutale et cruelle. Cinq ans plus tard,...
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    Son premier roman, Reine de nuit, publié en 2011, a remporté le prix Mottart de l’Académie française, prix soutenant la création littéraire. Véritable épopée burlesque, ce premier ouvrage a révélé un auteur dont la langue, douce et délicate, devenait brutale et cruelle. Cinq ans plus tard, Stéphane Corvisier, professeur de littérature de son état, revient avec un nouvel opus, intitulé Drama Queen Palace, toujours aux éditions Grasset. Le résultat donne une histoire sarcastique et ambitieuse, le tout présenté dans un écrin fait de raffinement et de lyrisme.
    Le lecteur part à la rencontre de deux personnages hauts en couleur, si différents l’un de l’autre qu’ils en viennent à se compléter. Le lieu ? C’est un palace de la Riviera française, où la jet-set s’alanguit sous le soleil de la Côte d’Azur avant de s’abrutir d’alcool lors de diverses réceptions et soirées. Armand Deshordes séjourne alors dans un hôtel de luxe, attendant avec impatience le retour de sa meilleure amie, répondant au doux nom de Fabiola di Orsola. Car Fabiola est une célèbre cantatrice sur le retour et qui est partie se reposer de peur de perdre sa voix, abandonnant derrière elle Armand qui s’adonne à son péché mignon : l’alcool. Et Armand n’hésite pas à boire, espérant trouver, dans les degrés, la possibilité d’oublier ses amours, toutes vouées à l’échec. Jusqu’au jour où, brisant cette solitude qui lui pèse, il fait une rencontre décisive, celle de Redjep, qui se drape du rôle de gigolo. Une rencontre à la fois pleine de désir, brutale et érotique, et fatale dans ce monde luxueux et sans concession de la jet-set.
    Avec Drama Queen Palace, Stéphane Corvisier s’attache alors à décrire toutes les petites futilités d’un monde qui a déjà été énormément exploité à travers deux personnages largement stéréotypés : Armand, un alcoolique, écume les réceptions et les bars dans l’espoir de trouver l’étincelle d’un salut et l’ébauche d’une relation qu’il idéalise à outrance, tandis que Fabiola reste cette femme superficielle et toujours entourée d’une cour. Mais derrière ces stéréotypes, le vernis se craquèle et dévoile des personnages blessés, aux sentiments exacerbés par cette solitude dont ils ne peuvent se départir. Et il ne suffit que de quelques mots pour que Stéphane Corvisier parvienne à faire en sorte que le lecteur prenne conscience de l’envergure de l’amitié qui unit Armand et Fabiola. D’un roman aux personnages repus dans leur solitude, on passe à un roman sur l’amitié indéfectible avec virtuosité, tandis que le lecteur se délecte de cette écriture, de ce style feutré qui parvient à compenser les excentricités de ses personnages principaux.
    L’écriture est véritablement le point fort de l’ouvrage : Stéphane Corvisier déploie avec brio son style et son talent pour mettre en scène ses personnages comme un peintre compose un tableau. Drama Queen Palace prend alors une forme théâtrale dans sa composition : ce sont trois actes qui amèneront le lecteur à un final où prendra véritablement sens cette amitié qui lie ces deux reines du drame avant le baisser du rideau. L’auteur affûte alors sa prose, délivrant, avec ce second ouvrage, un magnifique roman oscillant entre le tragique et le burlesque, le drame et la comédie, centré sur deux personnages fragiles qui se révèlent particulièrement sympathiques.


    https://unepauselitteraire.com/2016/07/11/drama-queen-palace-de-stephane-corvisier/

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    Couverture du livre « Reine de nuit » de Stephane Corvisier aux éditions Grasset Et Fasquelle

    JackieO sur Reine de nuit de Stephane Corvisier

    je n'ai pas pu adhérer à l'histoire de cette femme, qui parfois frise le ridicule. La fin par contre lui redonne tout son sens et réhabilite le livre . Premier roman aussi .

    je n'ai pas pu adhérer à l'histoire de cette femme, qui parfois frise le ridicule. La fin par contre lui redonne tout son sens et réhabilite le livre . Premier roman aussi .

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