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Il s'agit mon deuxième essai avec ce roman. La première fois, il m'est littéralement tombé des mains. Pas cette fois-ci. Si ce ne fut pas un grand succès, ce ne fut pas un échec de lecture non plus, plutôt une ambivalence.
Commençons par ce que j'ai aimé. Le style de Paul Auster. Ce roman est sublime par l'écriture, les mots, la musique qui s'en dégage. Il est tellement bien écrit que ce sont les mots qui m'ont bercé et m'ont permis d'aller au bout de ma lecture.
Ce que je n'ai pas aimé ? Et bien tout le reste : l'histoire trop rocambolesque à mon goût, des personnages qui s'enchainent mais pour lesquels il n'est pas possible de s'attacher, le héros M.S. Fogg trop innocent et égocentrique. J'ai d'ailleurs failli abandonner ma lecture à cause de ce personnage.
Un avis mitigé donc, mais la découverte de la olume d'un auteur que je n'avais jamais lu.
J'ai fini le roman "4321" de Paul Auster, j'ai ralenti tant que j'ai pu ma lecture mais voila l'histoire est finie.
Vous connaissez surement la trame du roman, la vie d'Archibald Ferguson et ses quatre destins.
Il y a une phrase que tout le monde s'est posé au moins une fois dans sa vie; " Qu'aurait été mon existence si j'avais rencontré telle personne, si j'avais pris telle chemin..."
La vie est faite de hasard heureux et malheureux.
Archie est un personnage attachant, il est bosseur, fidèle en amitié pas très heureux en amour. Sa vie suit son petit bonhomme de chemin, du New-Jersey à New-York de l'université de Princeton à celle de Columbia, son amour des livres, de la musique ou encore du cinéma. Bien sur la vie lui fait des crocs en jambes, des accidents de la vie, des retours de manivelles.
Pendant plus de 1000 pages on déambule dans les couloirs du temps, de la guerre froide aux assassinats des frères Kennedy, des émeutes raciales au meurtre de Martin Luther King pour finir à la guerre du Viêt-Nam.
Paul Auster a su encore une fois me surprendre et m'étonner.
"4321" n'a rien à voir avec ses romans précédents, le style a changé, des phrases plus longues un point de vue politique intéressant dans cette Amérique en pleine effervescence.
j'ai adoré ce roman à tiroir, je vous le recommande vivement.
Premier tome de la trilogie new-yorkaise de Paul Auster.
Choppez les premiers mots du roman et hop ! Surfez sur les méandres du cerveau d’un auteur qui vous embarque dans l’histoire étourdissante d’un polar métaphysique qui pose cette fichue question de nos origines, de l’origine du langage et fait entrer le livre et l’auteur dans le livre et le personnage comme dans un Don Quichotte moderne à New-York…
Bizarre. J’ai été scotchée et n’ai pas pu quitter cette histoire érudite par moment, perdue dans ses dédoublements par d’autres… De Babel à nos jours, via un carnet rouge, on souhaite bonne chance à Quinn…
Un texte qui m’a laissé une drôle d’impression pas forcément plaisante… Ni déplaisante non plus. Mais qui s’accroche au cerveau… Comme d’un cerveau à l’autre… Qui m’a pressée de lire autre chose de plus léger bien que trilogie veut aussi dire tome 2 que je lirai plus tard parce que quand même, je suis curieuse d’une suite qui sera probablement l’identique sous une autre forme mais où je saurais peut être ce qu’est devenu Quinn bien qu’on sait que Quinn est perdu.
Comme nous tous en fait…
4 alternatives de l'existence d'un même personnage avec l'histoire des Etats-Unis en toile de fond. Et tout ça sur plus de 1000 pages.
Un peu long à lire surtout qu'il y a quelques répétitions dans les différentes vies.
Pour autant, c'est une belle écriture.
Le roman débute par la légende du grand-père de notre héros et se poursuit jusque dans les années 1970.
J'avoue qu'au début, ayant pris ce livre au hasard d'un rayonnage, je ne savais pas à quoi m'attendre et je n'ai pas compris quand des personnages ont fait leur apparition alors qu'ils étaient sensés être morts !!!
Renseignements pris, j'ai pu profiter de ma lecture et avancer dans la vie du personnage. Mais je n'ai pas pu lire dans l'ordre proposé. J'ai donc "triché" et lu une à une chacune des versions de vie.
Aussi déroutant qu'exaltant.
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