Deux livres pour découvrir et mieux comprendre l’univers et les engagements de la romancière canadienne
Deux livres pour découvrir et mieux comprendre l’univers et les engagements de la romancière canadienne
Alors que la série revient sur OCS, tentez de remporter la nouvelle la traduction du chef-d’œuvre de Margaret Atwood
Plus de 30 ans après "La Servante écarlate", la romancière canadienne publie la suite de son roman culte
On aime, on vous fait gagner le roman dystopique culte de Margaret Atwood
Margaret Atwood... décidemment une grande écrivaine! connue pour "la servante écarlate", elle récidive avec ce lire d'anticipation. Il date de 2005, mais tout ce qu'elle y écrit est si inquiétant par les descriptions du monde qui paraissent tellement d'actualités et captivant, on a du mal à le lâcher, une fois commencé.
J’aime la poésie qui émeut, me fait vibrer. Dans ces « Poèmes tardifs », je n’ai rien trouvé de cela et cette découverte de Margaret Atwood poète est pour moi très décevante.
Dans la préface, Margaret Atwood explique que « la poésie prend pour thèmes tout ce qui se situe au cœur de l’existence humaine : la vie, la mort, le renouveau, le changement… » Mais à vouloir embrasser tant de thèmes, l’auteure finit par nous égarer.
J’ai trouvé l’ensemble très prosaïque, voire d’une platitude affligeante. Faut-il y voir des faiblesses dans la traduction ? Je ne pense pas que ce soit l’explication.
Malheureusement, je suis restée à côté et me suis bien ennuyée.
Et même les poèmes aux accents écolos ne m’ont pas émue
« Oh enfants, allez-vous grandir dans un monde sans oiseaux ?
Y aura-t-il des grillons, là où vous êtes ?
Y aura-t-il des asters ?
Des palourdes, au minimum.
Peut-être pas des palourdes. »
Bien sûr, tout cela est mon propre ressenti et j’ignore ce qu’en pensent les palourdes…
Recueil de nouvelles. La vie de chacun des personnages est perturbée par le fait d'une rencontre : un amant, un collègue, un(e) ami (e)... Plus j'avançais, plus je me régalais. L'auteur puise dans le tréfonds des personnages, remontant parfois jusque dans leur enfance. Des nouvelles donc plutôt psychologiques où la vengeance a parfois sa place.
Au vue du titre, ce récit de Margaret ATWOOD raconte ce qu’a fait Pénélope pendant que son mari vivait l’Odyssée.
Le récit commence même par son enfance et son père le Roi Icare qui tente de la noyer ; son mariage qu’elle pense dû à une ruse d’Ulysse suite à un accord avec Ménélas.
Car dans ce récit, sa cousine Hélène n’est jamais loin : Hélène la plus belle, Hélène sur qui tous les hommes se retournent, Hélène qui la taquine encore après leurs morts à toutes les deux.
J’ai découvert le prénom de la femme d’Ulysse : Pénélope le petit canard.
J’ai aimé son point de vue sur son fils qui grandit, sur les prétendants.
J’ai aimé le choeur des servantes qui revient presque entre chaque chapitre nous éclairer un peu plus sur les paroles de Pénélope. Car, comme elle aime à le répété, elle et Ulysse sont de bons raconteurs d’histoire.
J’ai aimé l’humour et le détachement de Pénélope, même si elle laisse des part d’ombres sur son histoire.
L’image que je retiendrai :
Celle du pré d’asphodèle dans lequel Pénélope se promène sans cesse.
https://alexmotamots.fr/lodyssee-de-penelope-margaret-atwood/
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
Un roman graphique exceptionnel qui raconte l'incroyable parcours de George Lucas, le créateur de Star Wars
Auteur et traducteur de son roman en « FALC », Fabien Clavel nous explique en quoi consiste cette méthode et à qui elle s’adresse
Vincent vit seul, envahi par ses interrogations existentielles, jusqu'au jour où une jolie jeune femme se présente à lui
Inspiré de la vie de l'autrice, un récit qui nous questionne sur la part du biologique et du culturel dans la filiation