Découvrez le petit village paisible de Saint-Allaire, dans les années 60 avec sa galerie de portraits et ses mystères...
Un roman qui revient sur l'histoire des indiens au Québec, autour de 4 personnages, une jeune fille qui s'évade et va en payer le pris, un policier qui démissionne car pas en accord avec la politique et les interventions que les autorités veulent lui faire menées, un indien homme médecine et une jeune institutrice française qui découvre cette culture.
C'est assez déstabilisant dans sa structure avec de nombreux aller - retour dans le temps et des apartés culturelles, mais les chapitres sont assez courts. L'histoire est raconté sans langue de bois et parfois avec une grande violence, comme toute celle que ces peuples ont subi.
Assez intéressant même si j'ai été désarçonnée par la forme de ce roman.
Taqawan ou comment les blanc veulent soumettre la culture des amérindiens à la leur.
Le jour de ses 15 ans, Océane voit son peuple brimé, brisé, humilié.
Meurtrie, elle est recueillie par un garde forestier.
Derrière le récit de l'agression d'Océane, nous sommes plongés dans une lutte, dans des traditions et des légendes.
Le style es poétique, l'histoire prenante et les personnages attachants.
Taqawan est une pépite qu'on lit jusqu'au bout en retenant son souffle.
Oyana est un court mais intense roman.
Oyana a fui, il y a plus de 20, le Pays-Basque. La chute de l'ETA rend son retour possible mais comment renaître après deux décennies de secrets. Elle écrit à son compagnon pour lui expliquer les raisons de son départ.
Le récit alterne entre le présent, les souvenirs d'enfance et les mauvais choix au moment d'entrer dans la vie d'adulte.
Les chapitres très courts de la première partie s'intensifient dans la seconde.
L'écriture si particulière d'Eric Plamondon rend parfaitement l'exil, les remords, la vie vécue à moitié.
Un petit bémol pour la toute fin qui n'est pas à la hauteur de l'émotion du reste du récit.
J'ai vraiment apprécié ce moment de lecture.
Un délicieux petit livre, au goût désuet, à l'accent québecois, aux mots canadiens, du vieux français et de l'anglais mélangés.
L'adolescence au ras des chums, les copains de virée, la bière avalée les fins de semaine, les bouderies contre le père ou la mère, la blonde qui vient le retrouver quand il part au lycée loin de chez lui, les mines d'amiante des années 70/80, toute une vie qui défile avec ses hauts et ses bas, un brin de nostalgie mais pas de mélancolie, des regrets mais pas des remords, des petits riens en fait.
Trois nouvelles composent ce bref ouvrage, des fraises, nous n'en croisons pas, mais des sentiments, des ressentiments, des souvenirs drôles ou touchants, oui, des paysages splendides également.
J'ai préféré le dernier, magnifique dans ses descriptions, troublant par les révélations sur l'exploitation de l'amiante, lent comme les trajets en bus, et dépaysant par les rencontres inattendues dans un paysage à couper le souffle.
Une poésie abordable, à la portée de tous, d'un charme époustouflant par sa proximité avec la vie de tous les jours, et pourtant, tellement magnifiée par la plume de l'auteur.
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