Près de 100 auteurs sont attendus pour la 4e édition de ce rendez-vous gratuit et ouvert à tous
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Elle est la Française d’Hollywood. Finie, l’adolescente dont la découverte des premiers émois sexuels avait donné matière à « Clèves », le précédent roman de Marie Darrieussecq. Solange a donc quitté le Pays basque pour traverser l’Atlantique et tourne désormais aux côtés de Matt Damon et de George Clooney.
Auteur de polar et de fantasy, Olivier Gay débute une carrière d'écrivain sur les chapeaux de roue puisqu'il remporte en 2012, le prix du premier roman policier du Festival du film policier de Beaune avec Les talons hauts rapprochent les filles du ciel. Apparaît le personnage récurrent Fitz que l'on retrouve dans Les mannequins ne sont pas des filles modèles (2013) ainsi que dans son dernier roman, Mais je fzis quoi du corps ?. Rencontre avec un jeune écrivain prometteur.
Pour certains, leur premier opus a fait mouche. Leur livre a séduit l’éditeur qui a accepté de le publier et la notoriété leur est tombée dessus. On a tout de suite crié au succès, au génie…. ou au scandale. La presse les a encensé de critiques dithyrambiques ou au contraire porté leur œuvre au pilori mais ils sont devenu célèbres grâce à un talent d’écriture. Ils ont su surprendre. Certains ont écrit d’autres livres à succès et d’autres sont entrés dans la légende avec un seul….ou tombés dans l’oubli. Petit florilège de pépites.
Excellent essai du néophyte en « non-fiction », Bret Easton Ellis. Charge virulente et saine contre l’affadissement de la pensée, le conformisme nécessaire, la négation des différences. Cri du cœur contre notre époque au moralisme délétère, contre cette prétendue supériorité morale qu’auraient certains, contre ces donneurs de leçons qui proclament leur amour de l’autre, leur volonté d’inclure tout le monde, et qui pour autant n’en crachent pas moins à la figure de « ceux qui pensent autrement ».
Cela dit, la police de la pensée et le fait qu’elle soit nuisible a déjà été théorisée par d’autres, et si j’ai pris plaisir à lire la prose de Bret Easton Ellis dans « White », c’est tout autant pour ce qu’il dit de lui, pour ses coups de cœur et coups de gueule personnels, pour l’analyse de ses échecs et de ses succès, pour son regard sur son métier d’écrivain, pour « sa » vision de notre monde. Cette patte personnelle, c’est celle qui en filigrane s’exprimait dans ses romans, par la voix de leurs narrateurs ou de leurs personnages. C’est elle qui me fait sentir proche de cet auteur, de son œuvre, et c’est une joie de voir qu’elle est toujours là. Malheureusement, M. Ellis n’atteint pas la puissance de son œuvre romanesque, qui a de loin ma préférence. J’espère qu’un autre « Lunar Park » est à venir, ou un nouvel « American Psycho », même s’il nous confie ne plus s’intéresser au matériau qu’est le roman.
Bref, en conclusion, un livre qui présente un regard sur le monde empli d’un intérêt vivifiant, que beaucoup d’intellectuels poseurs et donneurs de leçons devraient lire ne serait-ce que pour parfois se remettre en question, et accepter qu’on puisse ne pas toujours penser comme eux. Et qui en plus nous fait un peu (trop peu), entrer dans la tête d’un écrivain libre-penseur, et voir comment il appréhende son œuvre, ce qui m’a également passionné. Je recommande !
Ce livre est en quelque sorte un ovni.
J'ai eu un peu de mal à rentrer dans sa lecture !
L'auteur nous parle de ses rencontres avec les acteurs, journalistes, de ses références filmiques, littéraires, des podcasts dont il était l'interviewer, mais surtout de son désenchantement quant à l'évolution de la société américaine. Il y a beaucoup de justesse - et aussi de provocation - dans ce livre. Si vous n'avez pas une opinion qui ressemble à celle de tout le monde, vous êtes taxé de raciste ou de misogyne. Il n'hésite pas à égratigner de très grands acteurs, de grands réalisateurs, et ceci d'une façon assez agressive. Ce qui me gêne, c'est que je n'ai pas retrouvé dans ce livre la qualité de son best seller American Psycho.
Ce livre, c'est l'analyse d'un homme qui dit détester le narcissisme dont il parle énormément alors que pages après pages, c'est son propre narcissisme qu'il nous dépeint.
Il y a quelques passages de très grande qualité mais j'ai trouvé le niveau assez inégal d'un chapitre à l'autre.
Œuvre autobiographie à travers laquelle les souvenirs de Bret Easton Ellis décrit la société américaine au fil de ses romans. Jeune auteur atypique très décrié de part son audace et sa facilité à aborder des sujets, situations dans l’air du temps.. on comprend ainsi sa vie d’auteur adulé par certains et descendu par d’autre, tres clivant.
Merci à vous de m'avoir permis de découvrir ce nouvel opus que j'attendais avec impatience mais je n'ai pas réussi à rentrer dedans, contrairement à ses autres chefs d'oeuvre (American Psycho figure dans mon Panthéon), il n'y pas d'histoire, l'écriture est très difficile à suivre et ce côté inclassable au lieu d'être charmant est irritant voire fatigant...
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