Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Andree A. Michaud

Andree A. Michaud

La biographie de cet auteur n'est pas encore disponible, connectez-vous pour proposez la vôtre :

/1200

Merci d’utiliser une photo au format portrait en indiquant les copyrights éventuels si elle n’est pas libre de droits.

Nous nous réservons le droit de refuser toute biographie qui contreviendrait aux règles énoncées ci-dessus et à celles du site.

Les textes à caractère commercial ou publicitaire ne sont pas autorisés.

Vidéos relatives à l'auteur

Articles en lien avec Andree A. Michaud (1)

Avis sur cet auteur (44)

  • add_box
    Couverture du livre « Proies » de Andree A. Michaud aux éditions Rivages

    Chant'Cris sur Proies de Andree A. Michaud

    Entrer dans l’univers de cette auteure canadienne, c’est pénétrer dans un monde fait de forêts profondes, de mystères, de poésie des lieux mais aussi de cauchemars. Car c’est bien connu, la forêt de nos contes d’enfants recèle peut-être des trésors, mais aussi des monstres auxquels il est...
    Voir plus

    Entrer dans l’univers de cette auteure canadienne, c’est pénétrer dans un monde fait de forêts profondes, de mystères, de poésie des lieux mais aussi de cauchemars. Car c’est bien connu, la forêt de nos contes d’enfants recèle peut-être des trésors, mais aussi des monstres auxquels il est parfois impossible d’échapper.
    Tout avait bien commencé, pourtant, en ce beau matin d’août. Trois adolescents, Jude, Abe et Alex, partent vivre l’aventure de leur jeune vie, à savoir quelques jours dans la nature sauvage qui borde leur village, Rivière-Brûlée, avec une rivière justement, La Brûlée, au-delà de laquelle on entre dans le royaume des contes. Joie des premières vacances sans parents, excitation d’une liberté gagnée, fougue encore enfantine … Ces trois ados respirent la belle vie. Pourtant, le lecteur est prévenu dès la première phrase : « Le mardi 18 août d’une année dont on se souviendrait plus tard comme d’une année de deuil et de stupéfaction ». Voilà, on a une longueur d’avance sur les héros de cette histoire et l’on commence à frissonner avant même qu’il ne se passe quelque chose. Notre imagination va gamberger, et comme à Guignol, on a envie de crier aux trois ados, « Attention ! Fuyez ! ». Et bien sûr, ils n’entendent pas.
    L’auteure instille doucement mais sûrement un climat d’angoisse, en alternant les scènes de bonheur simple et joyeux, avec les petits détails qui nous conduisent du côté du monstre des contes, bien réel celui-là, celui qui va transformer les jeunes gens en proies toute désignées de ses pulsions malsaines. Rien de pire que de se sentir observés sans en être sûr … Rien de plus inquiétant que de ne pas voir ses affaires à la place où on les avait laissées … Petit à petit, tout devient matière à se poser des questions, jusqu’à ce que le loup sorte du bois et se jette sur une proie …
    Parallèlement à ces heures qui tournent à l’angoisse viscérale, on suit la vie du village, où a lieu la foire annuelle. Autre excitation, celle des adultes cette fois, parenthèse dans la vie rude de ces habitants un peu loin des villes. On découvre alors une sorte de chronique sociale, à travers quelques personnages, tels les parents des trois jeunes, ou Shooter, un peu marginal.
    Quand vient le jour du retour, le père de Jude va comme convenu à leur rencontre, pour ramener les trois ados. Ni Jude ni les deux autres ne sont au rendez-vous.
    Commence alors un autre volet, celui des recherches. On suit les habitants, les parents, effondrés, le monstre aussi, car on le connaît. Ce choix de l’auteure n’en est que plus fort, et augmente le suspens, la tension.
    Ce roman joue avec les nerfs du lecteur de manière tellement puissante qu’on se sent impliqué dans l’histoire comme si l’on était un habitant de Rivière-Brûlée …Il est rare de ressentir cela ! L’écriture d’Andrée A. Michaud, entre tension narrative et descriptions poétiques des lieux, émaillant son texte sans l’alourdir d’expressions québécoises, nous embarque dans un voyage quasi sans retour car on sent bien que « l’après » ne sera pas rose.
    À lire, à découvrir !

  • add_box
    Couverture du livre « Bondrée » de Andree A. Michaud aux éditions Rivages

    voyages au fil des pages sur Bondrée de Andree A. Michaud

    En ce début d’été 1967, l’ambiance est aux vacances au bord du lac de Boundary Pound, lieu de villégiature idyllique entouré de profondes forêts aux confins du Québec et des USA.
    Zaza et Sissi, deux ados meilleures amies du monde, et leurs familles sont au nombre des estivants. Barbecues,...
    Voir plus

    En ce début d’été 1967, l’ambiance est aux vacances au bord du lac de Boundary Pound, lieu de villégiature idyllique entouré de profondes forêts aux confins du Québec et des USA.
    Zaza et Sissi, deux ados meilleures amies du monde, et leurs familles sont au nombre des estivants. Barbecues, bronzage, papotage, canotage et barbotage sont au programme.
    Et puis le paradis devient enfer quand Zaza disparaît. On la retrouve morte, vidée de son sang, la jambe coincée dans un vieux piège à ours rouillé. Malheureux accident ?
    Le doute s’efface quand Sissi disparaît à son tour, et est retrouvée dans les mêmes circonstances : un tueur de jeunes filles sévit à Boundary/Bondrée.
    J’ai acheté ce roman sur la foi de nombreuses critiques positives et de la 4ème de couverture (grande naïve que je suis), qui promettait « Une écriture raffinée au service d’atmosphères angoissantes et de subtiles explorations psychologiques ».
    Et cela avait pourtant bien commencé : mise en place lentement mais sûrement, ample description du décor et des réflexions des personnages, rupture de temporalité avec l’histoire tragique d’un trappeur réfugié dans les bois environnants après avoir déserté pendant la 2ème Guerre mondiale, multiplicité des points de vue, ambiance de plus en plus oppressante.
    Mais les qualités des premiers chapitres sont très vite devenus les défauts du reste du bouquin : l’intrigue est trop mince et le dénouement presque bâclé, les descriptions du paysage et de l’ambiance deviennent d’une lourdeur accablante et sans intérêt, les pensées des personnages se transforment en ruminations larmoyantes d’autant plus pénibles qu’elles sont répétitives et interchangeables, et l’insertion à tout bout de champ de phrases en anglais est carrément horripilante. Beaucoup trop de lyrisme et de pathos pour moi.
    Je reste sur une impression de remplissage et de bavardage.
    Un livre qui m’a ennuyée et que j’ai lu jusqu’au bout mais en diagonale.

  • add_box
    Couverture du livre « Proies » de Andree A. Michaud aux éditions Rivages

    DUPREZ sur Proies de Andree A. Michaud

    C est l été au canada , jude abe et alex, 15 ans partent camper en foret. Un moment attendu de lacher prise dont les 3 ados complices revent depuis des mois. rapidement , passé les baigrances dans la riviere , les marshmallows grillées au dessus du feu de bois, les bieres tiedes descendus et les...
    Voir plus

    C est l été au canada , jude abe et alex, 15 ans partent camper en foret. Un moment attendu de lacher prise dont les 3 ados complices revent depuis des mois. rapidement , passé les baigrances dans la riviere , les marshmallows grillées au dessus du feu de bois, les bieres tiedes descendus et les histoires a se faire peu, les 3 copains se sentent observés. pas question toutefois d écourter cette viree liberatrice. Un drame se produit , alors que non loin de la dans le village de riviere bruelee une fete rurale bat son plein. Ce puissant roman marque tant par son écriture ciselee, ponctuee d expréssions et de jurons quebecois, que par l ambiance qu il essaime au fil de ses pages , autour de destins brisées , à l aube d une vie d adultes

  • add_box
    Couverture du livre « Proies » de Andree A. Michaud aux éditions Rivages

    danielle Cubertafon sur Proies de Andree A. Michaud

    Tout en étant un roman noir le suspens est la ,et coup de cœur aussi pour cette histoire dramatique et que l on voudrais vraiment savoir la fin une bonne lecture

    Tout en étant un roman noir le suspens est la ,et coup de cœur aussi pour cette histoire dramatique et que l on voudrais vraiment savoir la fin une bonne lecture

Récemment sur lecteurs.com