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Catherine Mavrikakis

Catherine Mavrikakis
Catherine Mavrikakis est née à Chicago en 1961, d'un père grec et d'une mère française. Elle enseigne la littérature à l'université de Montréal. Elle est l'auteur de plusieurs livres, dont Le Ciel de Bay City, très remarqué lors de sa parution chez Sabine Wespieser éditeur en 2009.

Avis sur cet auteur (9)

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    Couverture du livre « Les derniers jours de Smokey Nelson » de Catherine Mavrikakis aux éditions 10/18

    Agathe B. sur Les derniers jours de Smokey Nelson de Catherine Mavrikakis

    Jamais facile le roman polyphonique. Aurait mérité un peu plus de concision.

    Jamais facile le roman polyphonique. Aurait mérité un peu plus de concision.

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    Couverture du livre « L'annexe » de Catherine Mavrikakis aux éditions Sabine Wespieser

    Itzamna librairie sur L'annexe de Catherine Mavrikakis

    J'ai apprécié ce huis-clos entre des personnages si différents et tous aussi inquiétants les uns que les autres. Par contre, les références littéraires m'ont laissée sur le bord du chemin, et la référence à Anne Franck m'a paru un peu forcée. Même chose pour cette histoire d'agents secrets qui...
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    J'ai apprécié ce huis-clos entre des personnages si différents et tous aussi inquiétants les uns que les autres. Par contre, les références littéraires m'ont laissée sur le bord du chemin, et la référence à Anne Franck m'a paru un peu forcée. Même chose pour cette histoire d'agents secrets qui n'apporte finalement pas grand chose au récit. L'idée était intéressante : le confinement, la tension et le suspens à la Agatha Christie, les références littéraires (même si elles ne me parlent pas à moi)… Mais Anne Franck et les espions étaient de trop.

    https://itzamna-librairie.blogspot.com/2020/05/lannexe-catherine-mavrikakis_14.html

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    Couverture du livre « L'annexe » de Catherine Mavrikakis aux éditions Sabine Wespieser

    Marie-Laure VANIER sur L'annexe de Catherine Mavrikakis

    Ah ma bonne dame… les goûts et les couleurs…
    Sur les conseils de ma libraire, je me lance dans la lecture de ce roman sorti en mars et dont je n'ai absolument pas entendu parler ni dans la presse ni sur la blogosphère…
    Le ton des premières pages retient mon attention mais très vite, le...
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    Ah ma bonne dame… les goûts et les couleurs…
    Sur les conseils de ma libraire, je me lance dans la lecture de ce roman sorti en mars et dont je n'ai absolument pas entendu parler ni dans la presse ni sur la blogosphère…
    Le ton des premières pages retient mon attention mais très vite, le soufflé retombe… Quel est le projet, quel est le sens de ce roman dans lequel tout me paraît artificiel, inutilement bavard, extrêmement redondant, très ennuyeux et un brin prétentieux… C'est donc une très grande déception… Si certains lecteurs de ce billet y ont compris quelque chose, qu'ils n'hésitent pas à laisser un avis !
    Dans l'émission de France Culture « Par les temps qui courent » (2 mars 2020), l'auteur confie : « Je n'avais pas envie d'écrire un livre très clair... » Si c'était le projet, alors c'est effectivement réussi. Je comprends qu'un auteur veuille que le lecteur n'accède pas immédiatement au sens profond de l'oeuvre mais ce que je crains, c'est qu'ici, ce pseudo-hermétisme cache un vide sidéral ou tout au moins une absence d'objectif bien défini ou suffisamment clair pour le lecteur. J'y vois plutôt une démonstration lourdingue et sans originalité sur l'idée que la littérature peut être une grille de lecture du réel. Ou bien qu'il faut s'en méfier, elle est susceptible de nous faire perdre pied (ou nous sauver) ...
    Bon, abordons le sujet : la narratrice, Anna, dont on comprend très vite qu'elle est agent secret, aime se rendre à Amsterdam dans la maison d'Anne Frank pour y effectuer des espèces de pèlerinages. Elle établit un parallélisme (tiré par les cheveux – mais pourquoi pas...) entre son existence et celle de la jeune fille déportée en 1944 : une vie d'errance, de planque, des questionnements sur l'identité, de difficiles rapports aux autres etc etc... Comprenant qu'elle a été repérée, la narratrice suivra les ordres de son employeur : l'Agathos, prendra le premier avion et se retrouvera confinée dans un lieu tenu secret avec d'autres agents de son espèce… Elle y rencontrera un majordome homo d'origine cubaine très bavard (accrochez-vous!), dont les propos sont truffés de références littéraires… Anna l'écoute et en perd tout son discernement… (moi aussi d'ailleurs!) Qui est-il vraiment, que cherche-t-il ? (à ce stade-là du roman, je suis perdue et surtout saoulée de la logorrhée de ce personnage) L'espionne, quant à elle, en rajoute une couche en rebaptisant tous ses compagnons de réclusion du nom d'un personnage de la littérature… Comme le dit la 4e de couv : « un vieux couple slave devient les Tourgueniev ; un agent d'apparence banale… Meursault ; le chat, Moortje, comme celui d'Anne Frank... » Pourquoi pas mais… tout ça pour dire quoi exactement ? C'est bien ça le problème…
    Je me suis perdue et ennuyée : tout m'a semblé poussif et artificiel (et dire que j'ai lu ici ou là que le suspense était insoutenable… c'est ironique ou quoi?)
    Allez, j'attends vos avis éclairés !

    LIRE AU LIT http://lireaulit.blogspot.fr/

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    Couverture du livre « Oscar de Profundis » de Catherine Mavrikakis aux éditions Sabine Wespieser

    Marie Letellier sur Oscar de Profundis de Catherine Mavrikakis

    La fin du monde est proche, les riches vivent dans les banlieues et ont laissé les centre ville à l'abandon et peuplés de hordes de pauvres. Le climat est complètement déréglé, la culture et le respect n'existent plus.
    Une vision pessimiste du monde ... Un sujet qui malgré tout était tentant,...
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    La fin du monde est proche, les riches vivent dans les banlieues et ont laissé les centre ville à l'abandon et peuplés de hordes de pauvres. Le climat est complètement déréglé, la culture et le respect n'existent plus.
    Une vision pessimiste du monde ... Un sujet qui malgré tout était tentant, des idées originales, mais c'est assez décevant au final. J'ai trouvé que c'était trop long, certains passages n'apportent rien à l'histoire, et diluent le propos. Dommage.

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