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Francois Baranger

Francois Baranger
Né en 1970, François Baranger est un artiste aux multiples talents. Illustrateur pour le cinéma (Harry Potter 7 ou La Belle et la Bête de Christophe Gans), réalisateur de courts-métrages d'animation, il est aussi concept artist dans le domaine du jeu vidéo (Heavy Rain, Beyond Two Souls). Dominiu... Voir plus
Né en 1970, François Baranger est un artiste aux multiples talents. Illustrateur pour le cinéma (Harry Potter 7 ou La Belle et la Bête de Christophe Gans), réalisateur de courts-métrages d'animation, il est aussi concept artist dans le domaine du jeu vidéo (Heavy Rain, Beyond Two Souls). Dominium Mundi, gigantesque fresque parue en deux tomes en 2013 et 2014 aux éditions de SF Critic, et inspirée du poème épique du XVIe siècle La Jérusalem délivrée, est l'aboutissement impressionnant de maîtrise d'une dizaine d'années de travail.

Avis sur cet auteur (14)

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    Couverture du livre « Dominium mundi Tome 1 » de Francois Baranger aux éditions Pocket

    AsmoStark sur Dominium mundi Tome 1 de Francois Baranger

    Résumé :
    2202. Sur une Terre ravagée, irradiée, l'humanité survit sous l'hégémonie de l'Empire Chrétien Moderne et du tout-puissant pape Urbain IX.
    L'avenir ne pourra s'écrire que dans de nouveaux territoires.
    Une mission rejoint une planète d'Alpha du Centaure. Mais celle-ci est déjà habitée...
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    Résumé :
    2202. Sur une Terre ravagée, irradiée, l'humanité survit sous l'hégémonie de l'Empire Chrétien Moderne et du tout-puissant pape Urbain IX.
    L'avenir ne pourra s'écrire que dans de nouveaux territoires.
    Une mission rejoint une planète d'Alpha du Centaure. Mais celle-ci est déjà habitée par les Atamides, protecteurs du plus saint et sacré des lieux : le tombeau du Christ.
    Sur Terre, une nouvelle croisade se prépare alors. Le Saint-Michel, un vaisseau capable d'emporter un million d'hommes, s'apprête à prendre la route de la nouvelle Jérusalem.

    L'année débute avec un coup de cœur. J'ai adoré ma lecture! Et pour cause, elle allie voyage vers une exoplanète et croisade chrétienne, deux thèmes qui ne pouvaient que me plaire.
    Dominium mundi est un dyptique, dans ce premier tome on embarque avec les soldats du Christ sur le Saint Michel, un vaisseau gigantesque équipé des toutes dernières technologies, pour un long voyage vers Akya, une planète d'Alpha du centaure. Le but? Mettre la main sur le tombeau du Christ découvert par les premiers explorateurs et venger les pèlerins massacrés par les Atamides, le peuple d'Akya. On va suivre le quotidien des soldats à bord, mais surtout être confronté à des manœuvres politiques de la part des seigneurs croisés et à un mystérieux passager clandestin... Ce premier tome lève beaucoup de questions si bien que l'on a hâte de se plonger dans le second et découvrir ce qui nous attend sur Akya!
    J'ai dévoré ce roman, j'ai aimé que l'auteur reprenne le système médiéval des seigneurs et la rigidité des règles de l'Église, j'ai beaucoup aimé les personnages, la camaraderie entre les soldats, les manigances des seigneurs, les mystères et les questions qui s'accumulent au fil de l'histoire. J'ai hâte de me lancer dans les presque mille pages du second tome.

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    Couverture du livre « L'effet Domino » de Francois Baranger aux éditions Bragelonne

    muriel bouche sur L'effet Domino de Francois Baranger

    Un excellent bond en arrière !
    Merci à lecteurs.com de m’avoir offert l’opportunité de découvrir ce nouveau roman de François Baranger.
    Ici nous sommes très loin de Dominium Mundi, son roman précédent : pas de science fiction, mais une plongée dans le Paris de 1907, et dans une enquête...
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    Un excellent bond en arrière !
    Merci à lecteurs.com de m’avoir offert l’opportunité de découvrir ce nouveau roman de François Baranger.
    Ici nous sommes très loin de Dominium Mundi, son roman précédent : pas de science fiction, mais une plongée dans le Paris de 1907, et dans une enquête policière à la poursuite d’un tueur fou qu’alors on ne nommait pas tueur en série.
    L’enquête est menée par un quatuor assez improbable pour l’époque : un flic de province doué mais détesté par ses pairs, une jeune femme qui se bat pour être reconnue pour ses compétences, un « bleu » prometteur tout juste sortir de l’école de police et un journaliste issu de la haute bourgeoisie et très orienté politiquement.
    Ce quatuor, nous allons le suivre dans une ville en plein bouleversement : les travaux lancés par Haussmann, quoi que très avancés, ne sont pas encore terminés, et Paris est divisée entre beaux quartiers aux appartements et maisons cossus, et quartiers populaires extrêmement pauvres, sales, sombres, dangereux. Bourgeois et ouvriers, femmes du monde et prostituées, tous vivent dans cette ville, et se côtoient rarement. Cette description est excellente, et clairement l’auteur m’a embarqué dans ce début de 20eme siècle qui découvre les voitures,
    Il m’y a embarquée aussi du fait du vocabulaire utilisé, suranné, désuet mais tellement parlant, qui m’a ramenée des années en arrière quand, enfant, je regardais Les brigades du Tigre et trouvais leur façon de parler tellement drôle et différentes. La gouaille de certains personnages correspond totalement à l’image que j’ai de cette époque dans laquelle l’argot parisien était monnaie courante, et j’ai pu m’imaginer sans peine certaines scènes et dialogues.
    L’enquête, elle, est longue, ardue, mais jamais ennuyeuse ; les rebondissements et les temps plus calmes s’enchainent bien et rendent le récit à la fois prenant et didactique. Tout est cohérent et précis, chaque personnage à sa place et suffisamment intéressant pour qu’on le suive avec plaisir (peut-être la place tenue par le jeune flic aurait-elle mérité d’être un peu plus étoffée pour le rendre plus présent et nécessaire à l’histoire).
    Bref, j’ai retrouvé dans ce roman tout ce que j’apprécie d’un policier historique : plongeon dans le passé, réalisme et respect historique, récit qui tient la route (même s’il reste un peu en deçà de ce qui pour moi se fait de mieux dans le genre : L’aliéniste de Caleb Carr). Je vous le recommande donc chaudement !

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    Couverture du livre « L'effet Domino » de Francois Baranger aux éditions Bragelonne

    Maud Bleu sur L'effet Domino de Francois Baranger

    J'ai eu la chance de recevoir ce livre avec l'opération "Explorateurs du polar" organisée par lecteurs.com.

    Malgré une histoire intéressante, et finissant par se lire facilement, je ne mets que étoiles à ce roman. Pourquoi?
    Ce qui ne m'a pas transportée :
    Le côté historique du roman....
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    J'ai eu la chance de recevoir ce livre avec l'opération "Explorateurs du polar" organisée par lecteurs.com.

    Malgré une histoire intéressante, et finissant par se lire facilement, je ne mets que étoiles à ce roman. Pourquoi?
    Ce qui ne m'a pas transportée :
    Le côté historique du roman. Malgré un travail impressionnant de retranscription de personnages de l'époque se voulant être assez proches de la réalité je n'ai pas voyagé dans cet univers historique.
    La lenteur de la mise en place de l'histoire. Le premiers tiers du roman est très long narrativement parlant, sans compter que nous sommes sur une enquête se déroulant au début du 20ème siècle, incluant un voyage en dirigeable pour faire 250 kilomètres. Oui, c'est long.
    Les références à demi-mots fantastiques qui n'étaient pas indispensables étant donné qu'elles étaient trop peu nombreuses.
    Les mathématiques. Je n'ai jamais aimé les maths ^^
    L'identité du tueur. J'ai du trop regarder "Les Experts" ou autres séries du genre, mais je l'avais démasqué dès sa deuxième apparition dans le livre.

    Ce qui vaut 3 étoiles :
    L'histoire dans son intégralité. Une bonne enquête qui passé le premier tiers du roman se lit vite et bien.
    La complexité des personnages.

    Pour résumer, ce roman a été agréable à lire, mais il a fallu que je me fasse violence pour passer cette longue phase de mise en place. Une fois les bases placées, c'était un bon roman. N'étant pas mon genre de prédilection, je recommande cependant ce livre à toute personne aimant les policiers sortant un peu de l'ordinaire. Une bonne expérience en somme!

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    Couverture du livre « L'effet Domino » de Francois Baranger aux éditions Bragelonne

    Laure Lutun sur L'effet Domino de Francois Baranger

    Tout d'abord, un grand merci aux Editions Bragelonne et à lecteurs.com qui m'ont permis de découvrir ce livre dans le cadre des Explorateurs du Polar.
    Il s'agira je pense d'une de mes critiques les plus ardues. Le roman a beaucoup de bons côtés... et aussi de moins bons et on bascule facilement...
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    Tout d'abord, un grand merci aux Editions Bragelonne et à lecteurs.com qui m'ont permis de découvrir ce livre dans le cadre des Explorateurs du Polar.
    Il s'agira je pense d'une de mes critiques les plus ardues. Le roman a beaucoup de bons côtés... et aussi de moins bons et on bascule facilement d'une lecture très enthousiaste à une lecture beaucoup plus fastidieuse. D'où une notation un peu "à la normande" (3 étoiles) mais qui peut franchement ne pas refléter du tout votre point de vue. Les pour tout d'abord: un scénario qui change : on suit un inspecteur breton qui est envoyé à Paris pour enquêter secrètement sur des meurtres en série qui sévissent dans la capital et demeurent insoluble... cela semble rappeler beaucoup d'autres livres et pourtant! une dimension occulte/mathématique s'y glisse, un contexte historique intéressant (Paris en 1907, sous le préfet Lépine) et fouillé, un assassin... surprenant! (je ne vous en dis pas plus), une équipe originale, un découpage par jour et heure qui change et augmente le suspense, bref beaucoup de bon dans ce roman. Franchement les 200 dernières pages se lisent très vite, on a envie à tout prix de connaître l'identité du meurtrier... mais malheureusement ce ne fut pas le cas des 200 premières, et ce sera mon principal point négatif : la lecture des premières pages est franchement fastidieuse. La concentration de détails et "effets" de réel fait de ce début de roman un exercice pénible et peu fluide. Je ne suis pas contre la profusion de détails et descriptions mais là cela a un vrai aspect scolaire qui m'a véritablement gênée, surtout que je n'en voyais pas vraiment l'intérêt (contrairement à Millenium par exemple où les 100 premières pages posent un contexte certes complexe et un peu fastidieux à suivre mais ô combien important). Le passé de l'enquêteur aussi (notamment avec son amour russe) ne m'a pas vraiment emballée (et les incessants retours mélancoliques vers celui-ci). Je trouve que cela n'ajoute pas grand-chose si ce n'est une vision un peu cliché.
    Un roman intéressant donc, mais imparfait. Lisez vite les 200 premières pages pour entrer (enfin!) au coeur du sujet!

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