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Création d'un atelier d'écriture en ligne. Accroche du jour:

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  • Saint-Fort a dit :
    Belle photo du crépuscule vu tout là-haut de ta terrasse fleurie, tu as saisi un moment de calme et de sérénité !
    À bientôt pour tes écrits, amicalement,

    Claude


    C'est adorable Claude, en fait c'est une amie qui a fait la photo de chez elle elle me l'a envoyée... Et je voulais vous faire participer à ce bon moment d'amitié, de douceur.
    Et c'est vrai que dans le ciel on dirait qu'il y a comme cœur et j'ai trouvé ça génial !!!
  • Kryan a dit :
    Quelle imagination ma chère Dominique !

    :):):):):) merciiii
  • Saint-Fort a dit :
    De la myopie et de ses avantages

    Il était myope, tellement myope que parfois il lui fallait remonter ses super lunettes anti-myopie sur son front afin de rapprocher de son œil droit, qui n’était pas autant myope que son œil gauche, le document qu’il n’arrivait pas à déchiffrer.
    C’était un mathématicien solitaire non par choix, il aimait la compagnie de ses collègues, mais parce qu’il était timide et redoutait le monde extérieur : des gens qu’il côtoyait il n’en connaissait que la silhouette et la voix. Et c’est d’une voix qu’il tomba amoureux : une voix de femme si mélodieuse qu’il s’en éprit aussitôt.
    « Une nouvelle collègue, lui dit-on, très forte en mathématiques, « et célibataire », ajouta quelqu’un.
    Il fit sa cour à cette femme à la voix envoûtante puis la demanda en mariage, ce qu’elle accepta.
    La nouvelle fit sensation dans les bureaux car personne ne s’imaginait que ce mathématicien hors pair mais à la
    vue courte séduirait une femme aussi belle.
    Qu’advint-il de cette union ? Un nouveau théorème et un enfant qui sera peut-être mathématicien à son tour.

    Comme j'aime les belles histoires!!!! Tu nous fait rêver !!!Belle journée à tous et toutes
  • Saint-Fort a dit :
    Le grain de sable dans la chaussure ( réponse à Bernard Dominique )

    La proposition m’allât droit au cœur car, hélas, je fais partie de cette catégorie de gens qui récupèrent très régulièrement un petit caillou dans leur chaussure. Souvent c’est mon pied gauche qui est attaqué ( allez me dire pourquoi !) Ce caillou me rappelle un grand-père qui trouvait toujours « le » caillou dans les lentilles cuisinées soigneusement, pourtant, par sa femme. Moi c’est le caillou dans la chaussure.
    .
    Chercher un banc ou un endroit herbeux, sans orties, défaire les lacets, secouer la chaussure pour en chasser le fautif est devenu une sorte de rituel si bien qu’un jour sans caillou me surprend toujours.
    J’ai eu beau changer de chaussure de marche il y a assurément un tout petit caillou qui m’attend !

    Un petit peu de toi ou d'un personnage imaginaire mais une histoire tellement touchante . Belle journée
  • Cymone a dit :
    « Être au bord du précipice » Phrase de Dominique
    Marianne n’arrivait plus à s’en sortir. Son mariage avec un homme sans scrupule, fut un désastre. Il n’hésitait pas à dépenser leurs dernières économies afin d’assouvir tous ses plaisirs personnels. Avec, il acheta une voiture de sport, fit sa valise, et quitta sa petite famille. Quand Marianne découvrit le pot-aux-roses, elle fut anéantie. Elle pleura longtemps dans les bras de ses deux jumeaux encore en bas âge. Au bord du précipice, et de ce gouffre affectueux et financier, elle décida de trouver rapidement un emploi plutôt que d’aller se jeter du haut de la falaise, comme le fut pourtant sa première réaction. Ils allaient s’en sortir tous les trois.

    Merci Cymone pour trouver l'espoir même dans les situations difficiles :) . Gros bisous
  • Saint-Fort a dit :
    Pour Bernard Dominique en réponse à sa proposition « Qui à la solution ? »


    Qui a la solution ?

    Le public écoutait sagement le conférencier qui achevait la dernière partie de son exposé. Il ne lui restait que quelques phrases de conclusion bien choisies et il aurait le train de 18 heures. Et ce soir….il s’installerait devant sa télé pour un repos bien gagné !
    Au dernier mot de sa dernière phrase le silence du public le sidéra. Même la petite dame du premier rang qui lui avait parue bien gentille ne se préparait pas à l’applaudir.
    Que se passait-il ? Que voulaient-ils entendre ?

    Quelqu’un dit : « Tout ce que vous nous racontez nous le savons, maintenant dites-nous quelle est votre solution. Comme vous êtes invité partout dans les médias vous devez bien avoir quelques idées sur le problème.
    - Moi? Non je ne fais que répéter ce que j’entends.
    - Alors vous nous avez parlé de choses que vous ne connaissez pas? Où allez-vous pêcher vos récits ? Faut-il vous croire ? Nous vous avons écouté parce que vous avez une bonne réputation mais en fait vous n’êtes qu’un perroquet !
    Là-dessus les spectateurs se mirent à rigoler, d’autres crièrent : Remboursez ! Remboursez !
    Enfin il réussit à dire dans le micro : « je vous le dis : celui qui a la solution n’a pas encore vu le jour. Alors pour le moment entraînons-nous à survivre ! »
    Dans un silence glacial il sortit de la salle.

    Oh , j'ai de la peine pour le conférencier ...Mais c'est vrai , qui peut se vanter de trouver LA solution . Belle journée
  • Kryan a dit :

    C'est tellement incroyable !!! Un message d'amour pour tous les étages , pour toute la ville ....comme un miracle de douceur , pour nous dire peut-être : croyez en la beauté du monde , aux beaux rêves , gardez l'espoir !!!
  • REPONSE A UN TITRE : "le bien vivre ensemble"
    Roland se réveilla du pied gauche , il glissa sur une des voiturettes de son petit fils , eut l'impression un bref instant de voler au- dessus du tapis du salon et "fracata!" se retrouva assis par terre , prêt à exploser quand il vit Marianne avec son sourire d'ange et ses rides plein le visage , installée la table du petit déjeuner en chantant . Sur ses entrefaites , sa fille arriva avec son nourrisson qui pleurait de toutes ses forces en attendant le biberon que le papa préparait , en se trompant pour le nombre de cuillerées de lait en poudre et recommençant un énième biberon. Pendant ce temps Michaël , toujours aussi impatient , aves ses six enfants et petits enfants de Marianne et Roland , tambourinait à la porte d'entrée , pour qu'ils puissent prendre le petit déjeuner tous ensemble ... Alors que Roland essayait de se redresser , massant son dos , sept petits chenapans se jetèrent sur lui pour l'entraîner dans le jardin , continuer la fabrication d'une nouvelle cabane dans les arbres .... D'un côté et de l'autre ce n'était que cris et rires . Roland soupira : il aimait les siens mais surtout que jamais plus il n'entende son beau frère psychologue le bassiner avec "le bien vivre ensemble" .... Mais à la fin de cette journée, il regarda Marianne qui lisait un conte à ses petits enfants , pendant que Noémi chantait une berceuse à la petite dernière . Plus loin dans le jardin , il entendait le débat joyeux et mouvementé de son fils , de son gendre , de son frère et ses beaux frères et belles soeurs et il pensa , que c'est bon d'aimer
  • BERNARD DOMINIQUE a dit :
    REPONSE A UN TITRE : "le bien vivre ensemble"
    Roland se réveilla du pied gauche , il glissa sur une des voiturettes de son petit fils , eut l'impression un bref instant de voler au- dessus du tapis du salon et "fracata!" se retrouva assis par terre , prêt à exploser quand il vit Marianne avec son sourire d'ange et ses rides plein le visage , installée la table du petit déjeuner en chantant . Sur ses entrefaites , sa fille arriva avec son nourrisson qui pleurait de toutes ses forces en attendant le biberon que le papa préparait , en se trompant pour le nombre de cuillerées de lait en poudre et recommençant un énième biberon. Pendant ce temps Michaël , toujours aussi impatient , aves ses six enfants et petits enfants de Marianne et Roland , tambourinait à la porte d'entrée , pour qu'ils puissent prendre le petit déjeuner tous ensemble ... Alors que Roland essayait de se redresser , massant son dos , sept petits chenapans se jetèrent sur lui pour l'entraîner dans le jardin , continuer la fabrication d'une nouvelle cabane dans les arbres .... D'un côté et de l'autre ce n'était que cris et rires . Roland soupira : il aimait les siens mais surtout que jamais plus il n'entende son beau frère psychologue le bassiner avec "le bien vivre ensemble" .... Mais à la fin de cette journée, il regarda Marianne qui lisait un conte à ses petits enfants , pendant que Noémi chantait une berceuse à la petite dernière . Plus loin dans le jardin , il entendait le débat joyeux et mouvementé de son fils , de son gendre , de son frère et ses beaux frères et belles soeurs et il pensa , que c'est bon d'aimer

    Très joli tableau d'une famille pleine de vie et de couleurs plus ou moins criardes! C'est ça la vie.
  • BERNARD DOMINIQUE a dit :
    Un petit peu de toi ou d'un personnage imaginaire mais une histoire tellement touchante . Belle journée


    Non je n’ai pas inventé le petit caillou dans ma chaussure, c’est vécu, pas tous les jours tout de même mais régulièrement avec mes tennis quels qu’ils soient. Je devrais peut-être les collectionner comme je collectionne les coquillages ?
    Amitiés,
    Claude

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