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Maillard Vincent

Maillard Vincent
Ancien grand reporter, Vincent Maillard est réalisateur de documentaires et scénariste. Après Springsteen-sur-Seine (Éd. Fanlac, 2019), est sorti L'Os de Lebowski, un roman noir subtil et hilarant, à l'écriture ciselée, qui a été couronné par le Prix Littéraire 30 Millions d'Amis 2021.

Avis sur cet auteur (6)

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    Couverture du livre « Le smoking des orques » de Maillard Vincent aux éditions Philippe Rey

    Pascale Pay sur Le smoking des orques de Maillard Vincent

    Ce roman prêté par une amie m'interpellait par son tire, mais aussi parce que mon grand chien, mon géant au cœur d'or, porte le nom d'une orque tueuse, O'Tilikum (nous n'avons pas choisi).

    Je me suis donc plongée dedans avec avidité. J'ai toutefois rapidement été freinée par un début pour le...
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    Ce roman prêté par une amie m'interpellait par son tire, mais aussi parce que mon grand chien, mon géant au cœur d'or, porte le nom d'une orque tueuse, O'Tilikum (nous n'avons pas choisi).

    Je me suis donc plongée dedans avec avidité. J'ai toutefois rapidement été freinée par un début pour le moins poussif. Si j'ai adoré toute la partie consacrée aux orques et de manière plus générale le rapport de l'homme à la nature, les longues tirades sur le monde vérolé de la télé et de l'audiovisuel m'a plutôt ennuyée.

    J'ai tout particulièrement aimé les entames de chapitres où les orques "prennent la parole". J'ignore pourquoi, mais ces soliloques imaginaires m'ont profondément émue.

    A lire.

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    Couverture du livre « L'os de Lebowski » de Maillard Vincent aux éditions Philippe Rey

    Morgane Maelou sur L'os de Lebowski de Maillard Vincent

    Une régalade. Ce polar est unique en son genre. Le style est goulayant : frais, léger et très agréable à lire. Cocktail d'impertinence, d'observation des classes sociales et d'amour pour les chiens. Caustique, ironique et grinçant jusqu'au surprenant final qui vous laissera de quoi réfléchir un...
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    Une régalade. Ce polar est unique en son genre. Le style est goulayant : frais, léger et très agréable à lire. Cocktail d'impertinence, d'observation des classes sociales et d'amour pour les chiens. Caustique, ironique et grinçant jusqu'au surprenant final qui vous laissera de quoi réfléchir un bout de temps sur la nature humaine.

    L'histoire :
    Le chien du jardinier Jim Carlos trouve un os humain dans le jardin d'une belle propriété. Intrigué, puis très vite en danger, Jim raconte à son journal les étapes de son enquête.

    Ce roman est une originale comédie humaine au style qui donne le sourire. La construction est astucieuse. Avez-vous lu cette gourmandise littéraire ?

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    Couverture du livre « L'os de Lebowski » de Maillard Vincent aux éditions Philippe Rey

    Eireval sur L'os de Lebowski de Maillard Vincent

    Je n’ai pas de préjugés (bon, si j’en ai comme tout le monde) mais le bandeau du -Meilleur Roman 30 Millions d’Amis- ne m’accrochait pas vraiment… ça faisait trop « gentil » pour un polar… Maintenant que je l’ai lu, je me dis que c’est un prix bien mérité. Que Lebowski le valait bien ! Il...
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    Je n’ai pas de préjugés (bon, si j’en ai comme tout le monde) mais le bandeau du -Meilleur Roman 30 Millions d’Amis- ne m’accrochait pas vraiment… ça faisait trop « gentil » pour un polar… Maintenant que je l’ai lu, je me dis que c’est un prix bien mérité. Que Lebowski le valait bien ! Il pourrait aussi décrocher le prix du meilleur roman de l’Ami des jardins ou de Rustica (s’ils existent…), des bandeaux qui m’auraient eux aussi aussi laissée dubitative… Et pour autant : quel bon moment ! C’est léger certes, mais la plume est mordante (non, je ne l’ai pas fait exprès) et l’intrigue franchement sympathique. On ne va pas vers du moche, du pervers avec déballage de tortures, ce n’est pas non plus une démonstration de maitrise du vocabulaire judiciaire ou des rouages d’une enquête policière. Simplement un roman qui fonctionne bien, surprend parfois et ne laisse pas de goût d’inachevé ou d’escroquerie sur les rebondissements. Lu avec un vrai plaisir donc. Maintenant, c’est à vous de voir ;)

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    Couverture du livre « L'os de Lebowski » de Maillard Vincent aux éditions Philippe Rey

    Chant'Cris sur L'os de Lebowski de Maillard Vincent

    J’ai reçu ce roman dans le cadre du Prix du meilleur Polar, Points, et j’avoue que la couverture ne m’a pas forcément accrochée … Mais, « Lebowski » … j’ai tout de suite pensé au film des frères Coen, The big Lebowski, et ma curiosité a été piquée. Bien m’en a pris, car une fois ouvert, le roman...
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    J’ai reçu ce roman dans le cadre du Prix du meilleur Polar, Points, et j’avoue que la couverture ne m’a pas forcément accrochée … Mais, « Lebowski » … j’ai tout de suite pensé au film des frères Coen, The big Lebowski, et ma curiosité a été piquée. Bien m’en a pris, car une fois ouvert, le roman a été difficile à refermer !
    Au départ, on se demande un peu ce que fait ce titre dans la sélection du prix polar, et puis insidieusement, l’apparente banalité de l’histoire devient inquiétante. Le héros, Jim Carlos, est un jardinier offrant ses services à qui veut bien l’employer. Il accepte tout travail à condition de pouvoir emmener son chien avec lui. En fait, à lire le titre, c’est lui, le héros, ce chien qui ne ressemble à aucun autre, et de par sa masse, impressionnante, et de par sa capacité à ne pratiquement jamais bouger, ou le moins possible. Et l’un de ces rares moment d’activité va l’entraîner à déterrer un os. Quoi de plus banal pour un chien ? Mais son jardinier de maître va trouver un peu incongrue cette découverte, dans le parc de son employeur. À partir de là, Jim, de pensée en réflexion et recherches, apprend qu’il s’agit d’un os humain. Le parc à aménager, les propriétaires, fort aisés, une de leurs connaissances … tout va devenir motif à suspicion. Et s’ensuit une quête, pour ne pas dire enquête, de la vérité, quête qui pourrait bien être fatale
    Le récit est en plusieurs parties, tantôt racontées à la première personne, le jardinier tenant un journal (deux gros cahiers et un petit), tantôt à la troisième. Le lecteur suit alors une juge, Carole Tomasi, qui, justement, comme nous, lit ces journaux. Mais pourquoi sont-ils entre ses mains? Le style de ceux-ci est brillant, le narrateur ayant un humour acéré et corrosif, posant un regard sans indulgence mais ô combien vif sur notre société moderne et les rapports humains. On est pris par cette histoire, où un premier rebondissement crée un bon suspens qui nous pousse à continuer la lecture. Lebowski accompagne son maître jusqu’au bout si l’on peut dire, et l’on ne peut qu’aimer cet animal, chien hors-norme s’il en est, par qui le malheur arrive …
    J’ai fort apprécié ce polar, qui semble toucher au genre sans en avoir l’air mais qui nous scotche néanmoins, et dont, jusqu’à la fin, on ne sait s’il sera tragédie ou comédie. Un peu des deux peut-être …

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