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Monique Canto-Sperber

Monique Canto-Sperber
Monique Canto-Sperber est philosophe. Directrice de recherches au CNRS, directrice d'études à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, elle est aujourd’hui directrice de L’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm. Elle a publié de nombreux ouvrages consacrés à la philosophie ancienne ainsi... Voir plus
Monique Canto-Sperber est philosophe. Directrice de recherches au CNRS, directrice d'études à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, elle est aujourd’hui directrice de L’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm. Elle a publié de nombreux ouvrages consacrés à la philosophie ancienne ainsi qu'à la philosophie politique et morale.

Avis sur cet auteur (1)

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    Couverture du livre « Une école qui peut mieux faire » de Monique Canto-Sperber aux éditions Albin Michel

    Passemoilelivre sur Une école qui peut mieux faire de Monique Canto-Sperber

    L’autrice nous livre un point de vue très éclairé et un diagnostic sans concession sur l’école qui échoue toujours à amoindrir des inégalités géographiques, sociales et culturelles touchant les enfants de la République. En effet, les années se suivent et se ressemblent quant au classement PISA...
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    L’autrice nous livre un point de vue très éclairé et un diagnostic sans concession sur l’école qui échoue toujours à amoindrir des inégalités géographiques, sociales et culturelles touchant les enfants de la République. En effet, les années se suivent et se ressemblent quant au classement PISA des écoliers Français, toujours situé dans la moyenne basse et pire encore avec des inégalités qui augmentent. Et pourtant, l’historique détaillé du diagnostic des différentes analyses successives du problème rapporté par Monique Canto Sperber prouve qu’il est parfaitement identifié, ainsi que des solutions possibles ! Alors pourquoi cet immobilisme coupable ? L’institution « Education Nationale », le mammouth que le ministre « Allègre » voulait dégraisser est difficile à bouger. Des exemples de ce qui se pratique ailleurs, en suède, en Angleterre et aux Etats-unis confirment (malgré quelques échecs identifiés dus à une marchandisation inadéquate) qu’une large autonomie des établissements peut constituer une solution inintéressante pour atteindre des objectifs de réduction des inégalités. Le souci d’une stricte égalité républicaine de vouloir enseigner partout la même chose, de la même manière et en même temps à des publics différents est finalement contre-productif, on le sait mais on continue à le faire! Souhaitons que ces recommandations, s’appuyant sur des expériences réussies puissent être rapidement mises en œuvre pour une accession mieux partagée au savoir.

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