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Mikael Ollivier

Mikael Ollivier

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Avis sur cet auteur (19)

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    Couverture du livre « Premier rôle » de Laurent Besson et Mikael Ollivier aux éditions Thierry Magnier

    Reve sur Premier rôle de Laurent Besson - Mikael Ollivier

    Un énorme coup de cœur pour cette ode à l amour, le cinéma. L histoire émouvante d une jeune fille qui raconte sa vie avec sa grand-mère. J en ai ressenti beaucoup d émotions.

    Un énorme coup de cœur pour cette ode à l amour, le cinéma. L histoire émouvante d une jeune fille qui raconte sa vie avec sa grand-mère. J en ai ressenti beaucoup d émotions.

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    Couverture du livre « Hantée » de Mikael Ollivier et Nicolas Pitz aux éditions Jungle

    Mes écrits d'un jour sur Hantée de Mikael Ollivier - Nicolas Pitz

    Tilda se rend responsable de la mort de sa sœur, disparue tragiquement dans un accident de scooter. Placée dans un centre d’aide pour jeunes en difficulté, la jeune fille se voit embarquer un soir dans une séance de spiritisme. Là, devant elle, prône un homme, inconnu. Que lui veut-il ?...
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    Tilda se rend responsable de la mort de sa sœur, disparue tragiquement dans un accident de scooter. Placée dans un centre d’aide pour jeunes en difficulté, la jeune fille se voit embarquer un soir dans une séance de spiritisme. Là, devant elle, prône un homme, inconnu. Que lui veut-il ? Progressivement d’autres spectres lui apparaissent. Entrant en contact avec une chasseuse de fantômes, dont les intentions sont quelque peu étranges, Tilda y voit soudain un intérêt particulier : retrouver sa sœur.

    Une BD jeunesse assez trompeuse. Il est question de deuil mais avec une bonne dose de fantastique. Et ça fonctionne comme par magie car les sujets abordés sont bien plus complexes. L’ouvrage parle de santé mentale, d’isolement, de culpabilité…Et bien évidemment, de vie après la mort. Autant de thèmes, qui dans la tête d’un ado se bousculent à une vitesse folle lorsqu’il y est confronté. Hantée est un support intéressant, permettant ainsi de poser une trame vers l’acceptation du drame et répondant ainsi, peut-être, aux questions que l’on se pose sur la mort.

    Les morts sont des invisibles, mais non des absents. Victor Hugo

    http://www.mesecritsdunjour.com/archives/2023/10/03/40061679.html

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    Couverture du livre « Celui qui n'aimait pas lire » de Mikael Ollivier aux éditions La Martiniere Jeunesse

    calypso sur Celui qui n'aimait pas lire de Mikael Ollivier

    Vous avez tous déjà entendu un enfant ou un adolescent prononcer cette phrase sans appel : « Moi, j'aime pas lire. » Pour un amoureux des livres, c'est toujours difficile à entendre et à concevoir… et pourtant ! La littérature est un apprentissage et l'intérêt porté aux livres n'est pas inné. On...
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    Vous avez tous déjà entendu un enfant ou un adolescent prononcer cette phrase sans appel : « Moi, j'aime pas lire. » Pour un amoureux des livres, c'est toujours difficile à entendre et à concevoir… et pourtant ! La littérature est un apprentissage et l'intérêt porté aux livres n'est pas inné. On ne naît pas lecteur, on le devient, avec plus ou moins de facilité, et c'est ce processus qui est le point de départ du roman de Mikaël Ollivier, Celui qui n'aimait pas lire. Dans cette courte autobiographie, le romancier et scénariste revient sur l'opposition fraternelle qui a marqué son enfance : tandis que son frère dévorait Guerre et Paix, lui souffrait des lectures scolaires obligatoires, des dictées et des récitations. Au lycée, il s'est même débrouillé pour ne pas lire les oeuvres au programme du Bac. Il a fallu attendre des études de cinéma pour que naisse cet intérêt pour la littérature qui ne le quittera plus…
    Celui qui n'aimait pas lire est une lecture plutôt sympathique, mais je dois dire que je m'attendais à quelque chose d'un peu plus fouillé en débutant ma lecture. Si l'on cherche une réponse à la question « Comment donner le goût de lire ? », ce roman n'est sans doute pas le plus indiqué ; il livre cependant une expérience intéressante sur ce thème, avec quelques passages qui prêtent à sourire et à réfléchir. La sincérité et l'humour de l'auteur affleurent tout au long du récit, c'est toujours appréciable !

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    Couverture du livre « Tout doit disparaître » de Mikael Ollivier aux éditions Thierry Magnier

    Bleuchocolat sur Tout doit disparaître de Mikael Ollivier

    Un roman que j'ai eu le plaisir de découvrir avant la rentrée scolaire : il fera partie de mes suggestions de lectures complémentaires pour mes élèves de 3ème, autour de la critique de la société. Mon collègue d'histoire le travaillera également dans son chapitre sur les Outre-mers.
    Le roman se...
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    Un roman que j'ai eu le plaisir de découvrir avant la rentrée scolaire : il fera partie de mes suggestions de lectures complémentaires pour mes élèves de 3ème, autour de la critique de la société. Mon collègue d'histoire le travaillera également dans son chapitre sur les Outre-mers.
    Le roman se divise en deux parties. Tout d'abord, la découverte de Mayotte par le narrateur, enfant d'enseignants expatriés : j'ai trouvé que la vie "expat" était bien analysée, avec un regard critique et distancié, très juste. Comment sont perçus les gens originaires de Mayotte, comment au bout d'un an, les expatriés prétendent tout connaître des us et coutumes des locaux alors qu'ils restent dans leur microcosme... Et la seconde partie, qui constitue un choc plus grand pour l'enfant devenu adolescent (quatre ans ont passé) : le retour en métropole et la prise de conscience brutale d'une société de l'apparence et de la consommation à tout va.
    J'ai trouvé ce roman de littérature jeunesse bien écrit, simple dans l'écriture mais pas simpliste, et je pense que même les "petits lecteurs" seront intéressés par ce regard critique posé par un "je" de leur âge.
    A suivre !

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