Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Jack Vance

Jack Vance

Né à San Francisco à une époque où la ville n'était guère plus qu'une bourgade du Far West, Jack Vance (1916-2013) est l'un des plus grands écrivains de l'histoire de la science-fiction.

Il a exercé plusieurs dizaines de métiers, mais c'est sans doute de son expérience de marin que lui viennent ...

Voir plus

Né à San Francisco à une époque où la ville n'était guère plus qu'une bourgade du Far West, Jack Vance (1916-2013) est l'un des plus grands écrivains de l'histoire de la science-fiction.

Il a exercé plusieurs dizaines de métiers, mais c'est sans doute de son expérience de marin que lui viennent ses exceptionnels talents de conteur. Son univers baroque et chatoyant aime peindre des civilisations exotiques aux moeœurs étranges. Parmi ses oeuvres en France les plus connues : Planète géante (le Bélial'), le cycle de Tschaï (tout juste réédité en intégrale chez J'ai Lu), La Geste des Princes-Démons (Le Livre de Poche), ou encore la trilogie de Lyonesse (Folio SF). De Jack Vance, le Bélial a déjà publié quatre recueils (Croisades, Monstres sur orbites, Sjambak et Le Dernier château), un omnibus de deux romans (le cycle de La Planète Géante), ainsi qu'un hors série de la revue Bifrost. Aucun de ces ouvrages ne s'est vendu à moins de 3000 exemplaires en grand format.

Articles en lien avec Jack Vance (1)

Avis sur cet auteur (15)

  • add_box
    Couverture du livre « Les maîtres des dragons » de Jack Vance aux éditions Le Belial

    Maureen sur Les maîtres des dragons de Jack Vance

    Une guerre, une invasion... ou peut-être même les deux.


    Ici nous sommes sur Aerlith, une planète sur laquelle Joaz Banbeck et Ervis Carcolo règnent
    chacun sur une partie de celle-ci. Chacun de leur côté, ils élèvent des races de Dragons plus
    dangereuses et violentes les unes que les...
    Voir plus

    Une guerre, une invasion... ou peut-être même les deux.


    Ici nous sommes sur Aerlith, une planète sur laquelle Joaz Banbeck et Ervis Carcolo règnent
    chacun sur une partie de celle-ci. Chacun de leur côté, ils élèvent des races de Dragons plus
    dangereuses et violentes les unes que les autres. Quand Joaz découvre qu'ils vont être
    envahis par les Basiques, il essaye tant bien que mal de faire alliance avec Ervis ainsi
    qu'avec les Sacerdotes, un peuple qui se dit supérieur aux hommes. Mais il va vite se rendre
    compte que c'est chacun pour sa peau et que la planète cours peut-être à sa perte.


    Dans l'ensemble j'ai plutôt bien aimé ma lecture même si j'ai eu du mal à me mettre dedans.
    Alors peut-être est-ce dû au fait que c'est un récit, à la base, assez vieux et qui a été
    rééditer et donc la plume m'est un peu difficile à assimiler. À l'inverse j'ai trouvé
    celle-ci très poétique malgré la difficulté que j'ai eu. De plus c'st la première fois que
    je découvre Jack Vance et son univers, et je peux dire que celui-ci est très fourni.
    J'ai beaucoup aimé les créatures de ce roman, de plus les illustrations qui sont intégrées
    ici, sont vraiment de belle qualité et du coup on se rends compte de la dangerosité et de la
    violence qui règne sur cette planète.
    À travers la trame de l'histoire, on parle tout de même d'égo, de maltraitance des plus
    faibles, le traitement de la femme à travers un portrait de celle-ci ainsi que la guerre et
    l'extinction de civilisations.
    Les personnages quant à eux, même si ils nous sont antipathiques et égoïstes, ils arrivent
    tout de même à remonter dans nos estimés de part la fin du récit.
    Au final, il me manque quand même quelque chose pour pouvoir dire que ma lecture est aboutie.
    Le point à souligner est la qualité des illustrations et je ne peux que rester admirative
    devant le travail de l'illustrateur qui, à travers son travail, réussi à nous replonger dans
    le récit pour apprécier sa qualité.


    En bref, un récit de Fantasy dans un monde de SF qui pourra plaire mais qui peut s'essouffler
    de par son âge.

  • add_box
    Couverture du livre « Cugel l'astucieux » de Jack Vance aux éditions J'ai Lu

    Bernard Viallet sur Cugel l'astucieux de Jack Vance

    Les affaires de Cugel n’étant guère florissantes, le voilà qui tente de cambrioler Iucounu, le Magicien Rieur, riche collectionneur de gris-gris et sortilèges en tous genres. Mais il se fait surprendre en pleine action. Pour compenser l’offense, il pourrait lui être infligé le sortilège de...
    Voir plus

    Les affaires de Cugel n’étant guère florissantes, le voilà qui tente de cambrioler Iucounu, le Magicien Rieur, riche collectionneur de gris-gris et sortilèges en tous genres. Mais il se fait surprendre en pleine action. Pour compenser l’offense, il pourrait lui être infligé le sortilège de l’Enkystement lointain :être enfermé à seize pieds sous terre. Mais comme cette sanction ne permettrait pas de compenser le dommage causé, le Magicien préfère finalement lui demander de lui rapporter du pays de Cutz la seconde lentille magique qui lui manque pour vraiment jouir de la vision du Monde Supérieur. Et pour être bien certain que Cugel accomplira sa mission, il lui adjoint Firx, petit créature maléfique qui s’insinue dans ses viscères. Iucounu lui suspend au cou une tablette qui peut rendre comestible n’importe quelle matière et qui carillonne en présence du moindre poison. Il est enfin enfermé dans une cage qu’un diable volant emmène au loin et largue dans un désert…
    « Cugel l’astucieux » est un roman de fantaisie pure, classé un peu à tort dans le registre de la science-fiction amusante. L’intrigue est originale et même parfois surprenante. L’auteur n’y va pas avec le dos de la cuillère au niveau magie, sortilèges, monstres et sorciers en tous genres. Au fil de l’histoire, les tribulations se multiplient pour le pauvre Cugel pour lequel on finit par éprouver de l'empathie alors que ce n’est qu’une fripouille sans grande envergure. Vers la fin, on ressent quand même un certain essoufflement avec l’épisode des pèlerins et ses développements pseudo métaphysiques trop facilement parodiques de la mystique chrétienne. Au total, un ouvrage distrayant, un style fluide, très agréable à lire, mais quand même assez loin du niveau du « Cycle de Tschaï », meilleur ouvrage de l’auteur à mon sens.

  • add_box
    Couverture du livre « Un monde d'azur » de Jack Vance aux éditions Le Livre De Poche

    Azivance49 sur Un monde d'azur de Jack Vance

    Cet excellent roman de SF est aussi une fable sur les maitres que se donnent les hommes. Le Roi Kragen, un monstre marin devenu gigantesque à force d'être alimenté par les hommes, peut aussi bien représenter un Etat totaltaire qu'une divinité trop intrusive. Quand le prix que paient les hommes...
    Voir plus

    Cet excellent roman de SF est aussi une fable sur les maitres que se donnent les hommes. Le Roi Kragen, un monstre marin devenu gigantesque à force d'être alimenté par les hommes, peut aussi bien représenter un Etat totaltaire qu'une divinité trop intrusive. Quand le prix que paient les hommes pour les services que leur rend le Roi Kragen devient exorbitant, ils tentent de se dresser contre lui. Mais le Roi a bien profité de leur tribut et s'avère difficile à vaincre.

  • add_box
    Couverture du livre « Cugel l'astucieux » de Jack Vance aux éditions J'ai Lu

    Azivance49 sur Cugel l'astucieux de Jack Vance

    Cugel est un curieux personnage qui vit dans le cadre de la Terre mourante, alors que le soleil rouge occupe une bonne part du ciel, et que des sorciers plus ou moins habile et des êtres venant d'autres mondes ou créés par des généticiens dévoyés marchent à la surface d'une Terre épuisée. Cugel...
    Voir plus

    Cugel est un curieux personnage qui vit dans le cadre de la Terre mourante, alors que le soleil rouge occupe une bonne part du ciel, et que des sorciers plus ou moins habile et des êtres venant d'autres mondes ou créés par des généticiens dévoyés marchent à la surface d'une Terre épuisée. Cugel est un aventurier, sans grande éthique qui s'improvise régulièrement voleur ou séducteur sans scrupules, ce qui ne semble pas lui porter chance car ses activités ont tendance à se terminer en déroutes. Ce personnage picaresque reste néanmoins attachant et ses aventures teintées d'un humour sombre et corrosif.constituent un pur délice.

Récemment sur lecteurs.com