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Etienne Davodeau

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Articles en lien avec Etienne Davodeau (1)

  • Portrait d'Etienne Davodeau auteur de la BD "Le Chien qui louche"
    Portrait d'Etienne Davodeau auteur de la BD "Le Chien qui louche"

    Etienne Davodeau est longtemps resté ce petit secret que s'échangeaient les amateurs de romans graphiques. L'auteur, né dans une famille ouvrière de la campagne angevine, donnait l'impression, et il ne s'en cache pas, d'établir un lien privilégié avec son lecteur, manifestant une empathie exceptionnelle pour ses personnages ordinaires, mêlée à un goût de l'observation délicate et passionnée.

Avis sur cet auteur (47)

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    Couverture du livre « Rural t.1 ; chronique d'une collision politique » de Etienne Davodeau aux éditions Delcourt

    Ellexa sur Rural t.1 ; chronique d'une collision politique de Etienne Davodeau

    Trouvée dans une boîte à livres, cette bande dessinée est une vraie petite pépite ! Je l’ai commencé ne sachant pas trop où j’allais mais elle m’a plongée dans la vie de ces personnage. Dès la première page j’ai été happée par le style d’Etienne Davodeau et je ne suis pas sortie indifférente de...
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    Trouvée dans une boîte à livres, cette bande dessinée est une vraie petite pépite ! Je l’ai commencé ne sachant pas trop où j’allais mais elle m’a plongée dans la vie de ces personnage. Dès la première page j’ai été happée par le style d’Etienne Davodeau et je ne suis pas sortie indifférente de cette lecture !

    « As-tu le temps d’apercevoir le fil de fer barbelé qui sépare ce pré de l’autoroute ? D’un côté s’invente une nouvelle approche de l’environnement, respectueuse, légère, et durable. De l’autre, c’est une infrastructure lourde et polluante qui s’impose en force au nom de la rentabilité à court terme. L’inconvénient de ce genre de barrière, c’est qu’il faut forcément se situer d’un côté ou de l’autre. S’assoir dessus, c’est se piquer le cul.»

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    Couverture du livre « Les ignorants ; récit d'une initiation croisée » de Etienne Davodeau aux éditions Futuropolis

    Michel Giraud sur Les ignorants ; récit d'une initiation croisée de Etienne Davodeau

    Quand un auteur de bandes dessinées rencontre un vigneron, que se racontent-ils ? Pas des histoires de... mais leur métier et leur passion !
    Étienne Davodeau nous fait donc partager une année de travail de la vigne et du vin, et d'initiation à la dégustation, aux cotés de Richard Leroy, un...
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    Quand un auteur de bandes dessinées rencontre un vigneron, que se racontent-ils ? Pas des histoires de... mais leur métier et leur passion !
    Étienne Davodeau nous fait donc partager une année de travail de la vigne et du vin, et d'initiation à la dégustation, aux cotés de Richard Leroy, un vigneron du Maine-et-Loire. Il nous raconte comment il a fait découvrir la BD à son mentor agricole.

    Le dessin, en noir et blanc, paraît simple, mais il fourmille de très nombreux détails. Il illustre parfaitement le dur labeur de la vigne, un peu moins bien les flonflons des salons, qu'ils soient du vin ou de la BD. On sent tout de duite où sont les priorités de Richard et Étienne.
    Les textes et dialogues, plutôt courts, sont percutants, vont à l'essentiel. L'auteur n'hésite pas à utiliser les onomatopées pour leur donner plus de vie.
    L'ensemble diffuse beaucoup de chaleur humaine, faite d'écoute de l'autre, de partage des préoccupations, des modes opératoires, des savoir-faire, d'échange sur ce qui fait la richesse de chacun des deux métiers et la qualité de la vie.
    Une BD très rafraichissante !

    Chronique illustrée : http://michelgiraud.fr/2023/01/11/les-ignorants-etienne-davodeau-futuropolis-rafraichissant/

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    Couverture du livre « Le droit du sol : journal d'un vertige » de Etienne Davodeau aux éditions Futuropolis

    Romain Ambrosini sur Le droit du sol : journal d'un vertige de Etienne Davodeau

    Même si j'entends la démarche un peu partisanne de l'auteur et même si son témoignage en mode alerte résonne / raisonne un peu en moi, j'ai trouvé l'album vraiment trop bavard et je me suis assez vite ennuyé.

    Je n'étais pas embarqué à suer avec lui, et je suis malheureusement resté tanké sur...
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    Même si j'entends la démarche un peu partisanne de l'auteur et même si son témoignage en mode alerte résonne / raisonne un peu en moi, j'ai trouvé l'album vraiment trop bavard et je me suis assez vite ennuyé.

    Je n'étais pas embarqué à suer avec lui, et je suis malheureusement resté tanké sur le bord de la route.

    Je salue la démarche, mais je ne retiendrai pas cet album au panthéon de la BD...

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    Couverture du livre « Le droit du sol : journal d'un vertige » de Etienne Davodeau aux éditions Futuropolis

    Julien Leclerc sur Le droit du sol : journal d'un vertige de Etienne Davodeau

    Étienne Davodeau, depuis toujours, s’intéresse aux autres, d’abord par des portraits fictionnels magnifiques (Lulu femme nue par exemple) puis par des rencontres thématiques. Dans Les Ignorants, il rencontrait des producteurs de vin nature. Dans Cher pays de notre enfance, il suivait une enquête...
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    Étienne Davodeau, depuis toujours, s’intéresse aux autres, d’abord par des portraits fictionnels magnifiques (Lulu femme nue par exemple) puis par des rencontres thématiques. Dans Les Ignorants, il rencontrait des producteurs de vin nature. Dans Cher pays de notre enfance, il suivait une enquête journalistique sur les années de plomb de la Ve République. Etienne Davodeau arpente les heures et les terres de notre société. Ici, dans cette nouvelle BD, il serait facile de réduire le propos à une démarche écologique. Elle est présente mais au cœur d’une histoire qui regroupe philosophie, activité sportive et apprentissage. « Ce récit, au fond, c’est une tentative d’évoquer notre absolue dépendance à cette planète et à son sol. »
    Étienne Davodeau nous parle par son corps et par ses mots du sol, celui que nous foulons tous les jours mais qui est parfois oublié. En effet, nous oublions que c’est lui qui nous porte à chaque seconde. Il recèle des trésors incroyables. Le point de départ, avec les dessins préhistoriques, est un exemple éclatant. L’auteur en tire même tout un dialogue sur la nature même du dessin, de la magie envoutante de l’image. Il parle ainsi de son art, la bande dessinée par l’intermédiaire de ces représentations vieilles de millénaires.
    Sur le chemin, on est à ses côtés, dans une marche parfois difficile. Les paysages nous éblouissent, on avance dans les territoires de la France. Davodeau pointe ces endroits isolés, éloignés de tout transport, perdus même. Cela le renvoie à son propre état. Il nous apparaît ainsi lui aussi seul, bousculé par les aléas de la Terre et les idées de ses interlocuteurs. Les autres trouvent leur place dans ce récit. Étienne Davodeau les croise, pose des questions à un spécialiste de la préhistoire et du site de Pech Merle, à un militant écologique, à un scientifique… Il en tire des intuitions qui prennent sens lorsqu’il foule les 800 km de son périple.
    Cette bande dessinée est un mouvement à double hélice, militant et poétique, physique et théorique, graphique et verbal. Étienne Davodeau nous emmène en voyage, nous remet les pieds sur Terre. C’est magnifique, intense et beau.