« Au commencement était la peur... ».
Hors des flots déchaînés, une main tendue vers le ciel. Un pont de bateau qui tangue, la pluie qui s'abat, et la nuit... Le début d'une « putain d'histoire ».
Une histoire d'amour et de peur, de bruit et de fureur. L'histoire de Henry, 17 ans, que le meurtre de sa petite amie plonge dans l'enfer du soupçon. Sur son île, Glass Island, battue par les vents, cernée par la brume 360 jours par an et uniquement accessible par ferry, tout le monde connaît tout le monde, jusqu'au plus noir de ses secrets. Ou du moins le croit-on.
Quand la peur gagne, la vérité s'y perd...
Ce livre a reçu le prix Cognac du meilleur roman francophone.
Un agréable moment de lecture avec un final surprenant que l'on ne voit pas venir. Peut-être trop surprenant finalement tellement nous étions en empathie avec le jeune héros de cette histoire. Quelques invraisemblances par ailleurs aussi, mais si l'on n'en tient pas compte on se prend au jeu sans bouder son plaisir.
" Ce que je vais vous raconter va vous paraître incroyable. Ce n'est pas une histoire banale."
Un vraiment bon polar de Bernard Minier.
Henry, un adolescent de 16 qui vit une petite île isolée avec son petit groupe d'ami, prend le ferry tous les jours pour aller au lycée et son enfer commence lorsque sa petite amie Naomie disparaît lors du retour en bateau et est retrouvée morte quelques heures plus tard sur une plage de l'île. La mère de cette dernière a elle aussi disparu. Après le visionnage de la vidéo-surveillance du bateau, il apparaît qu'Henry est le dernier à l'avoir vue vivante et qu'en plus ils se sont disputés. Tout accable le jeune homme nouvellement arrivé sur l'île avec ses deux mamans Liv et France.
Après, n'éteins pas la lumière du même auteur que je n'avais guère apprécié de part les éloges de cet auteur, je me suis dit que j'allais tenter un second livre me voilà donc avec une putain d'histoire. J'ai apprécié la façon dont cela est raconté via Henry et Jay la plupart du temps, mais je lui ferai le même reproche que le précèdent que de longueur , un livre qui sans problème aurait put être réduit de moitié, putain (je reprends Minier qui impose ce mot, je ne sais pas combien de fois dans ce bouquin.) mais qu'est ce que c'était long , le rythme ne s'accélère qu'a la toute fin , tout cela pour en arriver à une chute concernant Henry prévisible des les premières pages même si une petite surprise est venue de la part de Jay ... Bon allez vu que j'ai subis ce mot pendant tous le livre un dernier pour finir la critique, Putain, il faut que j'arrête de lire des Bernard Minier, ce n'est apparemment pas mon style de livre !
Ce livre est le premier que je lisais de cet auteur. Superbe découverte, l'auteur sait nous tenir en haleine avec une chute à laquelle on ne s'attendait pas. J'ai trouvé néanmoins qu'il y avait quelque fois beaucoup trop de détail.
Hâte de lire un autre roman de Bernard Minier.
Polar bien ficelé. Super histoire
Ce roman allie tout ce que ce que j’aime. Un meurtre, une enquête et la technologie. J’avais découvert l’univers de l’auteur avec la série télévisée glacé. Et une amie m’a parlé de ce livre, en me disant : « il faut a tout pris que tu lises ce livre, il porte super bien son nom ! »
Intrigué, je file dans ma bouquinerie préférée, et il était dans leur rayon. Aussitôt acheté, aussitôt commencé. Je n’ai pas réussi a décroché tant j’étais emporté par le « film » qui se déroulait devant mes yeux. L’écriture est très imagée, il est donc très facile de s’imaginer les scènes. L’intrigue est très bien amenée, et le soir, c’était à contre cœur que je fermais mon livre pour aller me coucher… (entre nous, il m’arrivait de me réveiller en pleine nuit pour continuer à le lire… mais chut ! ça reste entre nous)
Pour l’image, j’ai voulu reprendre le thème du livre, la végétation qui à une part présente dans le livre, puisque tout se passe dans une petite île et le côté très technologie. J’espère que ça vous plaira… N’hésitez pas à laisser des commentaires pour dire ça vous plait, ou au contraire si ça ne vous plait pas et pourquoi afin que je puisse m’améliorer.
Henry vit sur une ile qui s'appelle Glass Island avec ses deux mères, Liv et France, une petite amie, Naomi, et une bande amis.
Jusqu'au jour, ou Naomi disparait, et la police découvre son corps sur la plage, Henry est vite suspectée par la police, car c'est la dernière l'avoir vue vivant, donc ses amis décident de rechercher son coupable.
C'est une histoire qui monte crescendo, au début ça l'air d'une histoire, simple banale dans une jolie ile. Mais plus les pages défilent, et plus ça devient intense et la tension monte.
Ça a un côté mystérieux surtout au début, et après peu à peu on découvre les indices, et coup de chapeau pour une fin qui vous retourne comme une crêpe.
Le récit est bien orchestré, avec énormément de complexités, que j'avoue me plait énormément
Les personnages principaux sont des jeunes ados, un peu le club des cinq améliorée, mais avec énormément de rebondissements.
Beaucoup de sujets sont abordés, l'homoparentalité, la recherche de ses origines, l'adoption...etc.
Une trame intéressante et édifiante avec beaucoup de personnages, les ados, l'équipe qui enquête, les voyous de services, et la garde rapprochée du père.
Premier opus de l'auteur, et j'ai beaucoup aimer, l'écriture assez mystérieuse, mais qui monte en crescendo - Très envie de découvrir la saga de Servaz.
Je découvre Bernard Minier avec ce roman, une enquête prenante pour découvrir la vérité.
De belles surprises côté thriller en ce moment, j'étais pleine d'à priori qui sont en train de tomber petit à petit... Peut-être une porte qui s'ouvre vers de nouvelles lectures.
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