Cujo est un saint-bernard de cent kilos, le meilleur ami de Brett Camber, qui a dix ans. Un jour, Cujo chasse un lapin qui se réfugie dans une sorte de petite grotte souterraine habitée par des chauves-souris.
Ce qui va arriver à Cujo et à ceux qui auront le malheur de l'approcher constitue le sujet du roman le plus terrifiant que Stephen King ait jamais écrit. Brett et ses parents, leur voisin Vic Trenton et sa femme Donna, un couple en crise, Tad, leur petit garçon, en proie depuis des semaines à des terreurs nocturnes : tous vont être précipités dans un véritable typhon d'épouvante, un cauchemar nommé Cujo...
Publié il y a vingt-cinq ans, Cujo reste une des oeuvres majeures de Stephen King, et un classique de l'épouvante.
J'ai toujours préféré les chiens aux chats mais s'il y a un livre qui aurait pu me faire changer d'avis, c'est bien celui-là !
Si ton conjoint, tes ados ou ta belle-mère te saoulent pour que tu adoptes un chien, offre leur d'abord ce roman, ils devraient te ficher la paix pour quelques temps …
Brave bête, hein, pourtant, le Cujo, jusqu'au jour où il se fait mordre le museau par une chauve-souris … On ne se méfie jamais de ces sales bestioles … Cujo, le gros saint-bernard un peu pataud, va se retrouver la rage au ventre et ce n'est pas qu'une image !
Cujo est un monument du genre. Epouvantable et terrifiant car ancré dans le réel, cette marque de fabrique du King qui fait que l'on tremble vraiment pour ses héros !
Stephen King, ici, fait ce que j'apprécie particulièrement dans la plupart de ses grands romans. Il croise les portraits de différents habitants de l'illustre Castle Rock, on les rencontre, on les suit dans leur ordinaire, dans leur quotidien jusqu'à ce que tout bascule et qu'on ne puisse plus refermer le livre jusqu'à cette fin qui nous laisse complétement haletant et bouleversé.
On s'attache à certains, on en déteste d'autres et peu à peu la tension monte, en même temps que le gentil chienchien à son pépère commence peu à peu à péter les plombs. La force de ce roman étant dans cette façon qu'on a également de s'attacher à ce pauvre toutou …
Cujo est un roman culte dans la bibliographie de Stephen King et on comprend bien pourquoi à sa lecture. Une belle porte d'entrée à son univers, tiens, si tu connais pas ou peu ! Tu risques d'en redemander !
Je peux te dire que, depuis, je surveille Kenzo, mon Shitzu d'amour, faudrait pas qu'il croise une chauve-souris lors d'une de ses balades quotidiennes dans Paris !
Avec Simetierre, Stephen King signe ici l’un des ouvrages les plus dérangeants qu’il m’est été donné de lire de sa plume. Fidèle à lui-même, il fait s’entremêler avec brio fantastique et réalisme même s’il me semble qu’ici ce soit le deuxième aspect qui l’emporte. Une campagne de pub pour des céréales pas si anodines que ça, des familles en miroir auxquelles il manque toujours, pour diverses raisons, le bonheur. Le maître de l’horreur jette, ici, sa malédiction sur une ville : Castle Rock, calme en apparence... Pourtant, au fond des placards des maisons de banlieues pourrait bien se cacher le croque-mitaine et la Rage investit la campagne... Une dernière chose, après cette lecture, sachez que vous ne regarderez plus jamais un Saint-Bernard sans une pointe d’inquiétude.
C'est mon tout premier king que je lis. Je fais une lecture commune avec d'autres personnes et c'est ce livre là qui a été choisi.
Dans l'ensemble je suis très satisfaite de ma lecture. Même si le début de l'histoire est long à se mettre en marche. King nous présente les différents personnages du roman et prend son temps. Il faut attendre la page 135 (pour mon édition de 1986) pour que cela commence à bouger.
Mais j'ai aimé découvrir les personnages, leur vie, leurs problèmes. Il les décrit dans le détail, tout comme les attaques du chien. J'ai eu le sentiment de voir les images d'un film dans ma tête : Les yeux rouge du chien, le sang et l'écume séchés, les bonds quand il attaque...
Dans les 50 dernières pages, la tension était tellement forte, que je voulais que l'histoire finisse vite, pour que la souffrance de la mère et du petit Tad s'arrête. J'étais comme devant un film, "non, ne fait pas ça !", "attention, derrière toi !!".
Je comprends ceux qui voient stephen king comme un génie. Depuis toutes ces années que je lis, c'est la 1ère fois qu'un roman me met dans cet état là.
Cujo, c'est le nom du chien d'un enfant d'un petit village, dans le Maine, aux Etats-Unis. Un jour, il se promenait et il tombe sur un petit lapin. Instinct animal, Cujo court à la poursuite du lapin, qui trouve refuge dans une grotte pleine de chauve-souris. Une des chauve-souris s'attaque à la tête de Cujo. Celle-ci est atteinte de la rage. Cujo rentre chez lui, et les symptômes l'atteignent un par un....
Alors là, c'est un auteur que j'aime bien lire donc je savais à peu près à quoi m'attendre même si ces livres ne se ressemblent pas tous. Comme souvent, c'est une histoire sans chapitres, mais tellement prenante qu'on ne s'en rend même pas compte. Je me suis attachée à chaque personnage de ce petit village, leurs histoires, et leurs mésaventures. Certains vont croiser le chemin de Cujo, d'autres presque, et d'autres non ^^. C'est une histoire haletante, pleine de suspens, d'espoir et qui montre l'amour familial. J'ai tout de suite reconnue la belle plume de l'auteur, et c'est toujours plaisant de le retrouver.
Ce n'est pas le meilleur des Stephen King que j'ai lu, mais j'ai tout de même passer un bon moment ! :)
j'ai adoré ce livre!!! même dans la journée je pensais aux héros, à ce qu'ils allaient devenir, comment ils allaient s'échapper de cette voiture et de ce chien!!!!
Livre haletant, il m'a donné la larme à l’œil. Le chien qui à la base était gentil devient le pire ennemi qui puisse être., tout cela à cause d'une maladie. Le mécano est bête et méchant, sa femme est futée et on est ravi de voir son plan à l’œuvre. On est, au paroxysme du livre, dans une intrigue impossible à délaisser.
Je l'avais lu lorsque j'étais adolescente et je viens de le relire! Toujours aussi terrifiant du bon King évidemment.
Le King qui m’a fait le plus peur !!!
Peut-être parce que j’avais déjà peur des chiens avant !!! C’est un bon Stephen King, un classique de sa bibliographie !
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