Haletante et glaçante, la série policière « The Outsider » est actuellement diffusée sur OCS
Haletante et glaçante, la série policière « The Outsider » est actuellement diffusée sur OCS
Du surnaturel, de l’angoisse, du mystère… la relève est assurée chez les King.
Les psychopathes sont au meilleur de leur forme et les maîtres du polar au meilleur de leur talent pour raconter leur folie. Une imagination à faire froid dans le dos, à réveiller les plus profondes angoisses et surtout à graver avec addiction ces histoires dans vos mémoires puisque chers lecteurs, vous vous jetez dessus avec frénésie ! Alors faites votre choix, le must du thriller vous attend !
22/11/63 nous permet de remonter le temps. de changer l'histoire. Mais pas à n'importe quel moment : au moment de l'assassinat de Kennedy. Dans ce livre, le personnage principal du nom de Jake Epping a pour quête d'empêcher cet assassinat afin de peut-être changer la suite de l'histoire américaine.
Ce livre est vraiment très intéressant à lire. J'aime beaucoup les livres qui me poussent à aller faire des recherches pour savoir la réalité de l'histoire et ce livre en fait parti.
Un livre assez long mais plutôt facile à lire. Beaucoup de contextes politiques, mais cela nous permet d'en apprendre davantage sur l'histoire politique Américaine.
Nous sommes le 23 juillet 2021, en plein Covid et nous retrouvons (avec grand plaisir !) l’enquêtrice Holly Gibney, collaboratrice de Bill Hodges (voir la trilogie de « Mr Mercedes » et « l’outsider » …) Héritière de son agence de détectives (Finders Keepers) elle va devoir se lancer à la recherche de Bonnie Rae Dahl, une jeune femme de vingt-quatre ans, disparue depuis trois semaines. Une bibliothécaire, qui s’est volatilisée à la sortie de sa journée de travail …
Peter, l’associé de Holly a le Covid et ne peut l’aider dans son investigation, si ce n’est à distance. Elle-même vient tout juste d’enterrer sa propre mère, frappée par un virus auquel elle ne croyait pas ! Jérôme et Barbara, employés à l’agence vont devoir s’y mettre … Holly va également apprendre que la situation financière de sa mère va changer la sienne …
À quoi donc jouent Emily et Rodney Harris, les deux professeurs (octogénaires) retraités et propriétaires de la majestueuse demeure, située au 93 Ridge Road ? … Et que sont devenus Jorge Castro (disparu en 2012) Cary Dressler (disparu en 2015) – ou encore Ellen Craslow et Peter « Stinky » Steinman (disparus en 2018) ? Tous vus – pour la dernière fois – aux abords de Red Bank Avenue ? …
Cette fois, Stephen King a construit la trame de son roman en informant le lecteur, dès les premières pages de son récit (un peu comme le scénario d’un « Columbo » où l’on connait le coupable et que l’intérêt est le déroulement de l’enquête …) Il laisse également entrevoir la situation sanitaire catastrophique des États-Unis, profondément touchés en cette année 2021 par une hécatombe, provoquée par un manque de protection de la population, due en partie à un laxisme criant de l’ancien Président. Une Amérique grangrènée par l’attitude (irresponsable) des complotistes (notamment les QAnon) qui refusent – en bloc – vaccins, masques et gestes barrières … Également fragilisée, au lendemain de la défaite de Trump et la folle tentative de renversement du nouveau gouvernement durant l’assaut du Capitole à Wahsington, le 6 janvier …
Un nouveau Stephen King plutôt sympa que ses fans liront avec plaisir je pense. Pas mon préféré, mais agréable moment en tout cas !
Deux petites choses à avouer avant de dire ce que je pense de ce livre : d’une part, j’ai trouvé ce livre en boîte à livres. Telle une furie, lorsque j’ai vu ce livre, je l’ai pris, que dis-je, je l’ai arraché de cette boîte à livres, tel un animal sauvage. La boîte à livre de ma ville est très bien fournie. Je m’étonne que des personnes laissent des livres si populaires parfois. Je ne me l’explique pas, mais j’en profite bien. J’aurais dû me poser des questions, du pourquoi du comment ce livre, du très grand King, pouvait se trouver ici, en attente d’un lecteur (spoiler : j’ai très vite compris à la lecture…).
D’autre part, je ne suis pas particulièrement fan de Stephen King mais je ne veux pas passer à côté de cet auteur. Alors, je me suis lancée à lire ces plus grands classiques. J’ai été très (trop) souvent déçue, notamment pour ses nombreuses digressions. Mais j’ai adoré Simetierre et Marche ou crève par exemple.
Bref, pourquoi je raconte ma vie ? Parce que ce livre est très surprenant et décevant. L’auteur a réussi la prouesse de sortir un livre court mais qui traîne en longueur… Il ne fait pourtant qu’un peu plus de 300 pages, écrit en assez gros… Mais pourtant, c’était long…
Le pitch de l’histoire : un enfant qui voit des morts. Non, vous n’êtes pas dans un vieux remake du film Le sixième sens. Quoique, j’aurais (limite) préféré. J’avais passé un bon moment avec le film. Ici, trop de lourdeurs, trop d’humour qui tombe à plat, des personnages caricaturaux, un discours d’un enfant censé être de bas âge mais qui tient des propos sur le sexe ou sur l’économie,… La liste de mes reproches est longue. J’ai eu du mal à reconnaître King ici. D’habitude, ces débuts de roman sont assez prenants et l’intrigue est vite lancée. Ici, ça traîne beaucoup en longueur et on ne sait pas vraiment vers où il veut nous amener. J’ai comme le sentiment que King, pris par l’obligation de sortir un livre par an, s’est dit que cette année-là, en manque d’inspiration, il allait bâcler cette intrigue. Il devait garder quelque part au fond de son tiroir et pris par flemme, il s’est lancé tête baissée dans cette histoire, histoire de fournir ce que ses fans attendent. Pas sûre que le contrat soit rempli.
C’est avec joie non dissimulée que je vais redéposer ce livre en boîte à livre, en espérant qu’il trouvera preneur et que ce lecteur-là trouvera son bonheur.
Pour les personnes qui souhaitent découvrir Stephen King, ne commencez pas par celui-là qui ne représente en rien son œuvre.
Clayton Riddell, un auteur de bandes dessinées, vient de signer un contrat chez un éditeur de Boston. Il est impatient d’annoncer la nouvelle à son fils John et à Sharon, sa femme avec qui il traverse une mauvaise passe… Tous deux sont restés dans le Maine. Ce contrat va mettre du beurre dans les épinards et sera le commencement pour eux d’un avenir meilleur. Mais alors qu’il sort de la maison d’édition, des évènements horribles se succèdent, les passants deviennent fous et s’agressent les uns les autres sans raison. Des scènes d’horreur animent les rues de la ville. En observant comme nul autre son environnement, Clayton devine qu’un mystérieux virus semble se propager d’un individu à l’autre par le biais des téléphones portables, transformant chaque être humain porteur de l’appareil en zombie sanguinaire. En dépit de la situation catastrophique, Clayton décide de remonter dans le Maine pour retrouver sa famille, encadré de Tom McCourt et de la jeune Alice Maxwell, ses compagnons de route rencontrés au coeur du chaos. Si les phonistes (personnes ayant subi la transformation) reprennent progressivement une attitude à priori inoffensive, le combat entre le bien et le mal est inévitable.
Et Stephen King recréa l’enfer sur terre… Ce livre date de 2006, à l’époque l’auteur n’avait pas encore cédé à l’utilité du téléphone portable (je doute que ce soit encore le cas aujourd’hui), et en réaction à l’invasion massive de cet objet connecté, il imagina le scénario suivant : un signal venu d’on ne sait où se diffuse par les téléphones portables et transforme la population en monstres sanguinaires. Ce phénomène baptisé « Impulsion » par les protagonistes n’a pas d’origine précise et on pourrait symboliquement l’interprêter comme étant l’expression d’une inquiétude face à l’utilisation devenue massive de cet objet connecté, plus que comme une marque de rejet de cette technologie nouvelle. Stephen King donne à réfléchir sur le recul qu’il est bon d’avoir face à l’usage massif et parfois déraisonné d’objets que l’on pourrait un jour ne plus maitriser. Comme tout phénomène de masse il est bon d’avoir une certaine réflexion à son sujet, on est plus que jamais concerné aujourd’hui par la montée en puissance de l’intelligence artificielle qui soulève de nombreuses questions et inquiétudes. Ce qui m’a le plus marqué sont les passages où les « phonistes » décident de parquer les êtres normaux pour ensuite les éliminer… Cela rappelle les camps de la mort et l’impitoyable régime nazi… S’il est loin d’atteindre la profondeur du Fléau, ce roman est un concentré d’horreur dans la plus pure tradition de Stephen King: des scènes de carnage répétées tout au long du périple des protagonistes sans pour autant tomber dans le gore, mais elles ont suffisamment d’impact pour marquer durablement. Je ne suis pas fan du tout des films ou séries à base de zombies et autres dérivés fantastiques, mais l’écriture de Stephen King l’emporte une nouvelle fois sur mes a priori, et c’est encore une fois à regret que je quitte ces personnages attachants, abandonnés là dans une fin assez abrupt mais pleine d’espoir car je m’attendais à une explication finale sur l’origine de l’Impulsion… Je ne peux que me contenter de mon imagination… Je n’ai jamais vu l’adaptation cinématographique et je ne cherche d’ailleurs pas à la voir car d’avis général le film est un fiasco.
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