La revue de presse d’Abeline Majorel
La revue de presse d’Abeline Majorel
Les psychopathes sont au meilleur de leur forme et les maîtres du polar au meilleur de leur talent pour raconter leur folie. Une imagination à faire froid dans le dos, à réveiller les plus profondes angoisses et surtout à graver avec addiction ces histoires dans vos mémoires puisque chers lecteurs, vous vous jetez dessus avec frénésie ! Alors faites votre choix, le must du thriller vous attend !
Coup de coeur pour le nouveau roman de Michel Bussi ❤️
C’est le deuxième ouvrage que je lis de l’auteur.
Et si dans le premier que j’ai lu j’avais ressenti un petit manque de suspense.
Il en est tout autre ici !
J’ai été happé dès les premières minutes d’écoute.
Un vrai régal !!
Une histoire de vengeance.
Une vengeance prend le pas sur la vie d’Ophélie.
Je me suis beaucoup attachée à elle d’ailleurs.
Perdre sa maman a 7 ans, en être témoin. Je n’ose imaginer…
Se retrouver ensuite dans un foyer, savoir son père en prison pour le meurtres de sa mère.
On peut entendre qu’au fil des années elle ait nourri cette envie de vengeance.
J’ai tout aimé dans ce livre, même la fin ! ❤️
Petit coup de coeur aussi pour Bolduc le chat d’Ophélie
Quel bonheur de retrouver la plume de Michel Bussi dans ce génial thriller psychologique, véritable pageturner, comme il sait si bien les écrire ! Vous ne serez pas déçu, l’intrigue est prenante, les rebondissements à la pelle, les fausses pistes, les diverses vérités, les interprétations surprenantes, tous les ingrédients sont présents pour vous faire passer un bon moment.
L’histoire est simple. Dans la banlieue de Rouen, à 7 ans, Ophélie, dite Folette, assiste « presque » à la l’assassinat de sa mère par son père alcoolique, au chômage, drogué, en manque d’argent et de lucidité. Mais le fait déclencheur, ce dont elle se souvient, c’est de Richard Vidame, leur tuteur, qui a refusé de prendre en compte les angoisses de sa mère Maja et sa peur de son mari, qui n’est pas venu à son secours bien que prévenu par téléphone. A partir de là, Ophélie n’aura de cesse de vouloir se venger de Vidame, lui faire payer la mort de sa mère, détruire sa famille et sa vie. Elle est placée en foyer où elle rencontrera Nina qui partagera sa chambre, ses secrets, ses bêtises, sa quête de retrouver les potentiels témoins qui ne dormaient pas la nuit du meurtre, ceux dont les lumières étaient allumées dans la cité Sorano, son envie de vengeance. L’histoire se déroule sur une quinzaine d’années entre 1983 et 2000.
Car ce roman fait aussi la part belle à l’humanité, à l’amitié avec un grand A, indéfectible, et à l’amour sous toutes ses formes. Il traite de thèmes graves, abordés avec intelligence, comme les violences familiales diverses, le féminicide, la pauvreté vs la richesse, les enfants qui vivent en foyer après des drames, des éducateurs et de leur mission auprès de ces enfants cabossés, de l’adolescence, de la survie, de la vengeance, des tuteurs, des manipulations, des malfaiteurs, des dealers de cité, du pouvoir des hommes importants…On s’attache très vite aux personnages, même secondaires. Un roman qu’on ne lâche pas, qui tient ses promesses, le meilleur de Bussi depuis « un avion sans elle » au niveau récit et suspense, avec un petit plus pour la fresque sociale qu’il décrit merveilleusement bien. L’écriture est belle, le sens du rythme maitrisé, le suspens habilement construit. J’ai pris un immense plaisir à cette lecture.
Quand un roman montre ce que peut cacher le mental d’un enfant…
Rouen. Années 1983 à 1999. Ophélie a 7 ans quand sa mère quitte le logement familial poursuivie par son mari. Elle voit sa mère mourir et son père partir en prison. Mais elle pense qu’un autre homme est coupable. Elle cherchera la vérité pendant plus de 15 ans. Qui l’y aidera ? Quelle vérité émergera des multiples tentatives pour retrouver des témoins de la scène ?
Merci à Laure Filiu et à Jean-Marc Coudert, les narrateurs, pour avoir su adapter leurs voix lors des moments forts du récit, donnant ainsi un relief particulier à l’intrigue et une profondeur aux personnages, particulièrement à Pholet.
Michel Bussi, souvent lu et diversement apprécié, m’a convaincu dans ce roman de sa capacité à faire du dramatique sans occulter les moments de tendresse et les capacités de résilience que toute personne trouve dans les moments les plus graves. Ophélie ne peut rien oublier mais la vie vibre autour d’elle et ses amis, des vrais qui ne l’abandonneront jamais.
C’est un état des lieux réaliste de l’Aide à l’enfance qui est présenté dans un contexte plus large d’Aide aux familles en difficulté. Les informations qui remontent pour alimenter le récit éclairent de façon précise des atouts et des manques qui perdurent.
La richesse des personnages d’Ophélie et de Nina, fortes, combattantes et tenaces, riches de leur amitié intangible, donne au récit toute l’ampleur que le simple récit d’un meurtre n’aurait pu offrir. Féminicide ou accident, le suspense durera jusqu’aux dernières pages : il faut vous préparer à aller de fausse réponse en nouvelle vérité sujette à caution.
Si la trame du roman est accrocheuse et parfaitement servie, je regrette néanmoins quelques faits insuffisamment éclaircis par l’enquête et une fin qui me laisse perplexe
Avec une quête ayant viré à l’obsession et une héroïne au fond noir mais portée par de nobles amitiés, l’auteur gagne la curiosité addictive du lecteur.
Je remercie Lizzie et NetGalleyFrance pour le Service presse non rémunéré de #Moncoeuradéménagé.
Quel bon moment en compagnie d'Ophélie, Nina....
On suit l'évolution de son enquête, de ses découvertes, de ses manigances pour venger le décès de sa mère lorsqu'elle avait 7 ans.
Du suspense du début à la fin.
Comme à ses habitudes, Michel Bussi nous tient par l'intrigue, les sentiments, les relations humaines
Un pur bonheur d'écoute.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
Un roman graphique exceptionnel qui raconte l'incroyable parcours de George Lucas, le créateur de Star Wars
Auteur et traducteur de son roman en « FALC », Fabien Clavel nous explique en quoi consiste cette méthode et à qui elle s’adresse
Vincent vit seul, envahi par ses interrogations existentielles, jusqu'au jour où une jolie jeune femme se présente à lui
Inspiré de la vie de l'autrice, un récit qui nous questionne sur la part du biologique et du culturel dans la filiation