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James Salter

James Salter
James Salter est né en 1925 à New York. Styliste remarquable, souvent comparé à Nabokov, il est également l'auteur d'Un bonheur parfait, d'Un sport et un passe-temps et d'American Express, disponibles en Points.

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    A redécouvrir : été 2015, les 10 romans à lire absolument !

    Chaque année révèle ses surprises et bien heureusement les pépites foisonnent !Un bon cru que celle-ci où les auteurs confirmés nous ont surpris, d'autres ont acquis leur notoriété en recevant de nombreux prix, certains sont carrément époustouflants par leur talent ou leur œuvre colossale. Prenez le temps de les lire, vous ne serez pas déçus !

  • Ils se disputent (encore) sur lecteurs.com

    Spécial Rentrée littéraire 2014 avec les Explorateurs... Les Explorateurs ne sont pas d’accord, mais pas d’accord du tout sur certains romans de cette rentrée, et ils le font savoir, arguments à l’appui. Le Pour-Contre (épisode 4/5) de Thierry et Michel au sujet du livre Et rien d’autre de James Salter, éditions L'Olivier  

Avis sur cet auteur (17)

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    Couverture du livre « Un bonheur parfait » de James Salter aux éditions Points

    Anne-Marie Lemoigne sur Un bonheur parfait de James Salter

    Un couple fusionnel presque exemplaire, dont on envie la réussite : celui de Viri et Nedra, qui laisse apparaître un bonheur conjugal parfait. Parfait seulement aux yeux des autres, en réalité plutôt un bonheur qui se défait au fil des ans .
    Dès les premières pages, Salter établit une...
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    Un couple fusionnel presque exemplaire, dont on envie la réussite : celui de Viri et Nedra, qui laisse apparaître un bonheur conjugal parfait. Parfait seulement aux yeux des autres, en réalité plutôt un bonheur qui se défait au fil des ans .
    Dès les premières pages, Salter établit une distinction entre l’image que la société perçoit d’ un couple et celle que le couple se fait de lui-même « En réalité, il existe deux sortes de vie, celle que les gens croient que vous menez, et l'autre . Et c'est l'autre qui pose des problèmes, et que nous désirons ardemment voir. »

    En alternant des séquences de ces deux vies, James Salter crée le tissu d’une vie conjugale à double face . Derrière une vie sociale et son réseau d’amis, derrière les scènes détendues d’un dîner ou dans la maison des douces vacances d’Amangasset, se révèle une vie conjugale quotidienne où sans colères, sans affrontements directs, le couple se dissout progressivement. La passion fait place à l’affection, la froideur s’installe, vivre ensemble n’est plus qu’une habitude « ils dormaient comme s'ils avaient signé un contrat. Même leurs pieds ne se touchaient jamais »

    C’est à Nedra surtout que le mariage pèse, « le mariage m’est devenu indifférent .j’en ai assez des couples heureux . Je ne crois pas à leur bonheur.  ……notre couple est pomponné comme un cadavre, mais il est déjà pourri »
    Il lui apparaît comme un frein à l’épanouissement personnel, à la conquête de soi, un carcan qui l’oppresse «  je suis comme écrasée, meulée entre ce que je ne peux pas faire et ce que je dois faire. Je me transforme en poussière». C’est elle qui proposera le divorce, que Viri acceptera mais qu’il vivra comme la disparition de « l’arôme de sa propre vie »

    Un roman grave qui porte sur le mariage un regard désabusé, qui met en lumière les effets du temps sur les cœur et sur les corps.

    J’ai découvert James Salter par ce livre . Il m’est apparu ici comme le romancier de l’intime, du bonheur empreint de tristesse, celui qui sait capter des instantanés de la vie, faits tantôt d’instants de doute, tantôt de moments de plénitude .
    Il est aussi celui qui sans souci de description exhaustive, traduit une scène par une sélection de quelques fragments éclatés , de quelques éléments épars, de quelques sensations qui suffisent à révéler tout un climat, celui dont l’écriture est souvent faite de phrases courtes, toujours juxtaposées, sans lien direct apparent mais qui constituant un ensemble suggestif et cohérent .
    C'est ce que j'appellerais une écriture cubiste, un peu à l'image de la peinture de Picasso dans ses portraits de femmes. Une écriture qui mérite l’attention qu’elle exige du lecteur.

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    Couverture du livre « Un bonheur parfait » de James Salter aux éditions Points

    Manulitmanuvit sur Un bonheur parfait de James Salter

    Un bonheur parfait : l'un de mes romans choisis pour les vacances. J'en avais entendu de bonnes critiques. Je suis donc partie, ce livre dans ma valise, remplie d'espoir!

    Un sujet intéressant! Un couple, en apparence, vu de l'extérieur, si harmonieux, si heureux, si parfait finalement. Et...
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    Un bonheur parfait : l'un de mes romans choisis pour les vacances. J'en avais entendu de bonnes critiques. Je suis donc partie, ce livre dans ma valise, remplie d'espoir!

    Un sujet intéressant! Un couple, en apparence, vu de l'extérieur, si harmonieux, si heureux, si parfait finalement. Et dans l'intimité, deux êtres vivant côte à côte. L'amour a laissé place à l'amitié. L'amour que chacun recherche à l'extérieur.

    Mais Déception : la magie n'a pas opéré pour moi!

    L'écriture est belle mais les personnages sont distants. Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire, je m'y suis même perdue à certain moment. Mais j'ai tout de même persévéré jusqu'à la fin somme toute banale.

    Dommage!

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    Couverture du livre « Et rien d'autre » de James Salter aux éditions Editions De L'olivier

    Valerie Brz sur Et rien d'autre de James Salter

    Je me permet,une fois n'est pas coutume de faire une critique négative d'un roman (sachant que cette critique ne nuira pas à la carrière de l'auteur)
    Trompée par la 4eme de couverture ,j'ai abandonné la lecture que j'ai trouvé sans intérêt du fait de la lassitude qu'on ressent jusque dans les...
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    Je me permet,une fois n'est pas coutume de faire une critique négative d'un roman (sachant que cette critique ne nuira pas à la carrière de l'auteur)
    Trompée par la 4eme de couverture ,j'ai abandonné la lecture que j'ai trouvé sans intérêt du fait de la lassitude qu'on ressent jusque dans les personnages qui eux même s'ennuient dans leur existences dorées. On attends les événements qui viennent sans arriver à susciter l'engouement et on lit les pages le une après les autres sans réussir à accrocher.
    j'ai pensé a la fin que le titre "et rien d'autre " se justifiait. Pourquoi dans certaines critiques est il qualifié de chef d’œuvre ? Je ne sais pas !

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    Couverture du livre « L'homme des hautes solitudes » de James Salter aux éditions Points

    Pascale Gaubert sur L'homme des hautes solitudes de James Salter

    L'action se passe à Chamonix et aux Etats-Unis. Le héros est un américain solitaire qui ne vit que pour l'escalade. Faut-il aimer la montagne pour apprécier ce livre ? Je ne pense pas car le style de James Salter est tel que c'est un plaisir indicible que de le lire et le relire.

    L'action se passe à Chamonix et aux Etats-Unis. Le héros est un américain solitaire qui ne vit que pour l'escalade. Faut-il aimer la montagne pour apprécier ce livre ? Je ne pense pas car le style de James Salter est tel que c'est un plaisir indicible que de le lire et le relire.

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